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Synopsis de films Cinéma (Movie Script & Screenplay) Auteur Emmanuel DIGNAT
Apple Pie (la Tarte aux Pommes)
Jolies Magic fee’s
Présente
Apple Pie
(la Tarte aux Pommes)
Comedy funny !
Paris Thoiry 1994
Author
Emmanuel DIGNAT (With all his pretty Chéries & the lovely “Ô”!)
Golden Spring's Consulting - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
… sur honoraires !
(si pratique aujourd’hui de ne pas payer avec les Computers ?)
Apple Pie
(la Tarte aux Pommes)
L'histoire se déroule à la campagne pendant l'été, avec de beaux champs de blé, les animaux de la ferme près d’un petit village traditionnel (Boulangerie, Poste, épicerie, bar- Tabac, « bazar », église, mairie...)
Synopsis
C’est l’époque du début des moissons, il fait bon dans la journée , Zoe (7 ans) joue avec Zette (7 ans) ils s’amusent avec joie dans les champs magnifiques bordés de coquelicots à l’aube d’un amour d’enfance jouant à cache-cache entre les rouleaux de foins qui attendent d’être ramassés comme la promesse d’une vie de grand bonheur... Zoe est en vacances à la campagne dans la petite ferme de sa Tante, une dame très gentille & respectable qui a perdu son mari mais vit maintenant un autre amour avec son amant qui voyage à travers le monde lui adressant maintes cartes postales ornées de petits mots d’amour. Ce jour là Zoe avec beaucoup de charme s’était promené à la recherche de la jolie Zette mais ne la trouvant pas il s’était amusé à taquiner un Taureau, se moquant de lui et lui jetant même des caillasses sur les cuisses pour le faire enrager avant de le laisser furieux à taper des pattes en soufflant de rage enfermé dans son pré. Sur le chemin du retour, un peu attristé à vrai dire de ne pas avoir vu Zette il croisa justement une jeune femme assez cool qui revenait du marché en portant des sacs de gourmandises et lui demanda
LA JEUNE FEMME (Complice & jolie)
C’est bien toi Zoe ?
ZOE (un peu boudeur & effronté)
Et alors ?
LA JEUNE FEMME (Complice & jolie)
Zette m’a dit que tu étais en vacances chez la Tante « Apple Pie », elle m’a donné ce petit mot pour toi
(puis elle chuchota) c’est pour un rendez-vous...
ZOE (un peu boudeur & cachant sa joie)
Ah bon... fais voir... (il prit le petit mot) de toute façon Zette je l’aime pas !
Zoe avait donc fait la connaissance de la jolie Zette, fille du maire du village dont il s’était épris et ce jour là quand il revint à la ferme de sa Tante qu’il aimait beaucoup il voulait repartir aussitôt pour retrouver la jolie Zette qui lui avait donné rendez-vous mais voilà que la gentille Tante « Apple Pie » comme on la surnommait au village doit justement aller au village faire quelques courses et demande à Zoe de surveiller la cuisson de sa délicieuse tarte aux pommes. Zut ! Zoe est alors partagé entre l'idée de retrouver sa jolie Zette et la mission de confiance que lui demande sa Tante bien aimée. Car sa délicieuse tarte aux pommes à la réputation d'être la plus fameuse du village, on se presse même à sa porte pour en manger !
Il se dit alors que sa Tante n’en aura pas pour longtemps mais le temps passe, elle n’arrive toujours pas, Zoe en devient des plus malheureux à chaque seconde à surveiller la cuisson de la délicieuse tarte lorsqu’il a le bonheur de voir arriver Zette inquiète de ne pas l’avoir vu à l’heure du rendez-vous. Toujours de bonne humeur, elle vient justement le taquiner, un peu chipie, tout heureux maintenant Zoe montre à Zette la belle tarte aux pommes que sa Tante a préparée pour les invités qui vont venir tout à l’heure pour le Thé. Hélas, il la fait tomber, tente de la reconstituer mais le chien de la ferme arrive et la mange. Que faire ? Zoe va se faire remonter les bretelles !
Une seule solution : faire une nouvelle tarte. Mais ils ne savent pas la faire. Il faut malgré tout se dépêcher avant que la Tante « Apple Pie » ne rentre du marché. Joe & Zette se mettent à l'œuvre en rassemblant des œufs, de la farine, du beurre, ils se chamaillent tout sourire pour les ingrédients ou les quantités et réussissent tant bien que mal à préparer la pâte à tarte mais ils s'aperçoivent alors qu'il n'y a plus de pommes dans la réserve. Il faut aller au village pour en acheter, fouillent leurs poches en vain car ni lui ni Zette n’a le moindre sou. Ils se demandent alors en toute innocence ou nécessité si la Tante « Apple Pie » n’aurait pas quelques pièces de cachées quelque part et finissent à grand renfort de fous rire à trouver quelques sous dans une boite de biscuits « ? » en métal d’or cachée dans le placard à provisions derrières des paquets de « ? »...
Zoe & Zette partent ensuite tous les deux sur un grand vélo, Zette étant assise sur le porte-bagage avec un panier et ils se rendent ainsi au village à travers les magnifiques chemins de campagne mais voilà qu’au détour d’un virage un gamin des campagnes se moque de leur équipée pour les embêter et manque de les faire tomber. Zoe en habile cycliste réussi cependant à ne pas chuter, le traitant de « blaireau » ils arrivent finalement au village, chez le marchand de fruits & légumes où se trouve justement la Tante « Apple Pie » en grande conversation, ils ne peuvent donc pas acheter de pommes, Zette se rappelle alors d’un vieux pommier dans un champs. Ils se pressent d’y aller toujours en vélo, passent sous la clôture et vont jusqu'au vieux pommier qui donne des pommes magnifiques. Zoe monte dans l’arbre et cueille les belles pommes que Zette met dans le panier. Mais soudain surgit le Taureau que Zoe avait embêté auparavant, ils ne peuvent plus rentrer, Zette se réfugie dans l’arbre avec Zoe. Survient alors le jeune gamin « brigand de grand chemin » qui les avait embêté en chemin, il les aperçoit dans l’arbre, passe la clôture pour les rejoindre mais le Taureau le remarque et se met à le poursuivre. Zoe & Zette en profitent pour redescendre et réussissent à s'enfuir alors que le gamin n’a pas eu d’autre choix que de grimper à l’arbre où il se retrouve perché maintenant assailli par le Taureau plus furieux que jamais mais Zoe & Zette pressés par le temps, doivent le laisser là à son sort
ZOE (Plutôt content, un peu menteur)
On reviendra te chercher plus tard !
LE GAMIN (un peu béta)
Qu'est-ce que je vais faire en attendant ?!
ZETTE (Taquine)
T'as qu'à manger des Pommes !
Ils se pressent de rentrer à la ferme de la Tante « Apple Pie » en vélo avec le panier rempli de belles pommes, se mettent tout de suite à l’œuvre, Zoe & Zette sont sur le point de terminer la Tarte pour la mettre au four mais voilà que la Tante revient du marché, ils se pressent alors d’emporter discrètement la pâte et les ingrédients dans des torchons et vont se réfugier dans l’étable tout près des vaches pour finir de préparer la tarte en cachette de la Tante. Tous sourires Zoe & Zette se pressent de finir leur tarte aux pommes mais dans leur précipitation un morceau de bouse de vache est malencontreusement mêlé à la pâte. Il manque cependant la gelée de Coings, Zette est chargé d’aller à la cuisine où elle se rend mais elle se fait surprendre par la gentille Tante « Apple Pie » qui bienheureuse de la voir, veut lui offrir un morceau de sa tarte aux pommes qu’elle croit être au chaud au four ce qui oblige Zette à jouer de malice pour refuser sachant que personne au village ne pourrait refuser de goûter une part de la délicieuse Tarte aux pommes de la Tante « Apple Pie » c’est alors que survient Zoe qui s’inquiétait de ne pas la voir revenir, la Tante est encore plus heureuse de les voir ensemble, si adorables et se lance dans une longue causerie, Zoe & Zette doivent se montrer très malins en toute innocence pour réussir à s’emparer du pot de gelée de Coing sans que la Tante « Apple Pie » ne s’en aperçoive puis retourner finir leur préparation alors que la Tante se rend compte soudain qu’elle est en retard pour recevoir ses invités du goûter, ce qui les arrange bien car elle doit « penser à mille choses » pour préparer le Thé ce qui lui fait oublier sa tarte et permet à Zoe & Zette, toujours en cachette, de venir mettre la nouvelle tarte aux pommes au four pour la cuisson tout en surveillant les allées et venues de la Tante « Apple Pie » qui prépare les couverts dans le jardin alors qu’arrive déjà les invités attisés par la gourmandise, vantant ensuite les délices et la réputation dans toute la région de la fameuse Tarte aux Pommes de la Tante « Apple Pie » ce qui oblige Zoe & Zette à se rendre d’autant plus serviables pour les occuper le temps que la nouvelle Tarte soit enfin cuite prête à être servi toujours pour éviter que la Tante ne se rende dans la cuisine où cuit la délicieuse Tarte aux Pommes, c’est du moins ce qu’ils espèrent. Tout le monde salive avec joie en attendant de bonne humeur, la Tante « Apple Pie » demande que l’on apporte la Tarte mais voilà que les petits enfants des invités en chahutant cassent la chaise où est assis l’un des notables un peu rondelet qui tombe à la renverse et qu’il faut relever, Zoe ne peut alors aller chercher la nouvelle tarte, il redoute que si sa Tante y va elle s’aperçoive que ce n’est pas sa tarte originale, la voilà justement qui se décide à aller chercher la tarte aux pommes pendant que l’on finit de relever le gros bonhomme, par chance le téléphone sonne, ce qui oblige la Tante à aller répondre, Zette en profite pour courir chercher la tarte au four qui commençait à brûler, Zoe la rejoint et découvre que la tarte ne ressemble en rien à celle de sa Tante, d’autant que tout le dessous est calciné, il prépare cependant des part avec Zette qui les arrange comme elle peut, rajoutant avec fantaisie un morceau de pomme ou une cuillerée de gelée de Coing et se pressent de servir les parts aux invités qui se pourlèchent déjà pendant que la Tante « Apple Pie » est retenue au téléphone (il parait que c’est son amant qui voyage dans le monde) on voit juste sa tête apparaitre à la fenêtre de la salle à manger pour leur dire de commencer la dégustation sans elle
TANTE « APPLE PIE » (bienheureuse)
Je vous rejoins tout de suite, régalez-vous !
... mais c’est bien avec stupeur en vérité que les invités découvrent la nouvelle tarte aux pommes (qui a mauvais goût) « elle n’était pas tout à fait comme d’habitude » mais tous & toutes s’efforcent cependant de manger en souriant pendant que la gentille Tante « Apple Pie » les observe par la fenêtre en souriant avec bonheur, c’est le gros notable gourmand qui tombe sur le morceau de bouse cuite, il ne sait comment le recracher sans que personne ne s’en aperçoive d’autant que la Tante est ravie de le voir se régaler, Zoe & Zette par chance réussissent à se débarrasser de leurs parts en les refilant au chien alors que voilà justement la Tante « Apple Pie » qui revient maintenant, certains l’invitent avec une « fausse politesse » à manger sa part de tarte aux pommes mais heureusement encore la gentille Tante se sent « un peu flagada » pensant encore sans doute à son amant en voyage et décide de ne pas manger de tarte ce qui arrange bien Zoe & Zette, les invités doivent maintenant repartir, la Tante « Apple Pie » si charmante voudrait bien qu’ils & elles emportent les morceaux de tarte qui restent mais ils essayent alors de trouver bien des prétextes pour refuser sans en avoir l’air sans pour autant réussir à déjouer l’insistance habile de Zoe & Zette ce qui les oblige à repartir avec les restes de la tarte aux pommes toujours avec le sourire en vantant bien encore la délicieuse tarte de la charmante Tante « Apple Pie » mais voilà que l’on entend soudain des gémissements, c’est le chien qui est malade à mourir après voir dévoré les parts de Zoe & Zette ce qui laisse présager bien des inquiétude quand au sort des invités !
Plus tard le soir à la fenêtre du ciel clair d’une nuit étoilée dans la cuisine de la ferme une douce lumière dorée de bonheur lorsque le Tante « Apple Pie » ouvre le four pour sortir une délicieuse tarte aux pommes avec de la gelée de coings qu’elle vient de préparer
TANTE « APPLE PIE »
Comme ça elle sera prête pour le goûter des enfants demain !
Elle se retourne, seule dans la pièce, parlant simplement au chien plus loin assoupi sur le coussin d’un panier confortable avec un petit sac de glaçons sur la tête qui la regarde avec des yeux pathétiques
TANTE « APPLE PIE »
Nos invités auront bien de la chance ! (elle regarde les cartes postales magnifiques du monde que lui a envoyé son
amant qui voyage) je pourrais même en envoyer des petites par la Poste !
La nuit maintenant sur la campagne l’on entend « Ohé ? » d’une voix peu rassurée sur le vieux pommier le jeune gamin « brigand de grand chemin » est toujours coincé dans l'arbre surveillé par le Taureau qui tape du sabot en soufflant des nasaux, il tient son ventre gonflé par toutes les pommes qu'il a mangées, de temps à autre le gamin appelle un peu inquiet « Ohé ? »
Plus loin sous les étoiles Zoe & Zette regardent le ciel allongés avec nonchalance sur une grosse meule de foin
ZETTE (rêveuse)
C’est cool la vie... tu trouves pas ?
ZOE (comme un prince bienheureux)
Ouais c’est cool
ZETTE (rêveuse)
Cool cool !
FIN
FBI – EUROPOL - KGB
Encore bien des étranges coïncidences avec des situations inacceptables que certains « pouvoirs » me font endurer à Rennes, encore des caricatures ou « antithèse » de ce que j’écris qui mettent ma vie en jeu à grands renfort de cruauté, moqueries, provocations...
Elle s'appelle Annabelle (l'Oiseau dans la tête)
Jolies Magic fee’s
Présente
Elle s’appelle Annabelle
(l’oiseau dans la tête)
Thriller !
Paris Thoiry 1992
Author
Emmanuel DIGNAT (With all his pretty Chéries & the lovely “Ô”!)
Golden Spring's Consulting - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
… sur honoraires !
(si pratique aujourd’hui de ne pas payer avec les Computers ?)
Elle s’appelle Annabelle
(l’Oiseau dans la Tête)
Thriller
Synopsis (esquisse)
ACTE I
1. Annabelle (26 ans) est une assez jolie jeune femme cool, généreuse & « funny ». Après quelques aventures heureuses mais un peu fantaisistes elle rêve maintenant de rencontrer le grand amour de sa vie, aussi pour répondre (à son désir de babies) (& partager le bonheur d’une maison bienheureuse). Elle se sent cependant bien seule dans cette grande métropole où elle est venue pour régler l’affaire d’une succession litigieuse qui l’oppose à des avides cousins éloignés « James », «Kill » & « Odette » qui sont des cousins par alliance. En effet « James » qui a un certain talent de séducteur a épousé la fille d’une cousine de l’Oncle « de Nemours » qui lui-même ne sait jamais marié (et n’a pas eu d’enfant) mais c’est bien « Kill » son frère aîné avec sa sœur « Odette » (très perfide) qui est le véritable instigateur de leur stratégie impitoyable pour s’emparer de la fortune de leur famille par alliance. Avec cependant une grave contrariété que « Kill » ne peut supporter c’est que Pénélope l’épouse de son frère « James » ne peut pas le supporter, ni lui ni sa sœur Odette
PENELOPE (épouse de James)
Si j’avais sû que James avait une telle famille je ne l’aurais tout simplement pas épousé !
ODETTE (avec une mime satisfaite)
Son Oncle « de Nemours » c’est « Ducon » qu’il aurait dû s’appeler !
Annabelle a pris pour l’occasion une petite suite dans un bel hôtel charmant de style simple (mais d’une élégance prestigieuse) dans un quartier plutôt calme de la métropole puisqu’elle n’a pas de soucis financier ayant la chance d’être la fille unique de parents assez fortunés eux-mêmes bien que son père ne soit plus de ce monde depuis quelques années, emporté mystérieusement par un grave problème de santé. Elle aimait beaucoup son père, c’est pour elle aujourd’hui comme s’il était toujours vivant en son cœur, elle s’entend très bien avec sa mère « Rosalie » qui vit sa propre vie avec classe & discrétion laissant toutes ses libertés à sa fille Annabelle qu’elle a toujours gâté depuis son enfance & qu’elle gâte toujours à l’occasion avec une élégance naturelle & complice. Annabelle dispose donc de toutes les facilités dont elle peut avoir besoin (& bien au-delà)
ROSALIE (avec une élégante complicité)
Elle était de si belle esthétique que j’ai pensé qu’elle irait bien avec ...
ANNABELLE (funny papillon toute bonheur)
C’est génial Mum... comment tu as deviné pour la couleur ?
ROSALIE (d’une élégante complicité)
Les Anges du ciel sans doute !
C’est ainsi qu’Annabelle en sortant d’un salon de Thé avec l’une de ses amies avait découvert ornée d’un joli(e) ruban rose en fleur sur le capot une magnifique « Jaguar » étincelante (de belle esthétique) pour simple raison que son adorable mère Rosalie avait eu une belle pensée pour sa fille Annabelle qu’elle aimerait parfois voir plus souvent. Annabelle en avait eu presque « une joie de petite fille » du temps où elles étaient si heureuses les jours de goûter en compagnie de « Daddy » son père bien aimé aujourd’hui disparu. Bien qu’elle aime surtout flâner « funny cool » à passer une grande partie de son temps à rêver (de jolis papillons d’amour) Annabelle est donc venue dans la grande métropole pour régler une succession car elle est cohéritière de son richissime Oncle « de Nemours », frère aîné de son père disparu qui n’a pas eu d’enfant. Cela ne la réjouie pas spécialement car elle a déjà tout ce qu’il faut pour vivre avec une grande aisance, d’autant qu’elle ne s’entend pas avec ses cousins éloignés qui se montrent très perfides alors qu’elle est plutôt attristée par la disparition de son Oncle « de Nemours » bien aimé. Ses cousins par alliance « James », « Kill » & « Odette » sont empruntés de manières un peu hautaines, ils ne disposent pas à l’origine de fortune ni de classe particulière bien qu’ils se montrent très habiles en société avec de grandes facultés de manipulations psy mais surtout fine lame quand il s’agit d’étendre leur emprise jusqu’à « en tuer l‘autre » et bien qu’ils s’en cachent avec une grande faculté de mensonge ils ne pensent qu’à se presser de prendre leur part d’héritage, un héritage justement mal estimé aux dépends d’Annabelle.
KILL (partageant son cynisme satisfait)
J’ai pourtant payé ce qu’il fallait pour la première estimation, non ?
JAMES (se prenant pour un célèbre acteur de cinéma)
Une signature et c’est dans la poche !
ODETTE (le regard vif, sûre de parvenir à ses fins)
Elle pourra toujours aller faire le trottoir avec sa Jaguar !
Annabelle se retrouve donc dans une situation éprouvante qui pèse sur sa tendance naturelle au bonheur et qu’elle voudrait fuir.
2. « Golden Boy » (28 ans) travaille dans la finance (il a beaucoup de charme) d’une grande sympathie envers les autres, il est aussi très speed, sur le chemin de la fortune et ne perd pas une seule minute de son temps alors qu’il manie avec une vive intelligence des sommes financières d’envergure sur les marchés internationaux avec une certaine tendance « à s’épuiser au travail ».
GOLDEN BOY (charming speed)
J’ai pas encore tous les bons chiffres sur mon compte en banque !
UNE JOLIE BLONDE (qui passe)
Ni sur sa montre pour les rendez-vous d’amour !
Bien qu’il ait fait quelques études de Business « Golden Boy » est plutôt « Self made man », audacieux mais toujours célibataire et toujours entremêlé dans des liaisons affectives fluctuantes (comme les marchés) avec des jeunes femmes généralement capricieuses, des liaisons cependant agréables mais qu’il ne prend pas vraiment le temps de vivre, quand l’une passe...
UNE JOLIE BRUNE (qui se rend en Taxi à son rendez-vous)
Une autre prend sa place...
La destinée de « Golden Boy » croise une première fois celle de la jolie Annabelle venue dans la grande métropole où il habite lorsqu’elle est malencontreusement victime d’un accident de voiture qui provoque des réactions en chaîne (sans doute l’effet papillon) et que « Golden Boy » en bout de course (& de chaîne) est donc victime lui aussi d’un accident de voiture (avec sa belle voiture « Mercédès » solaire mixte) qui monte à 250 km/heure (avec parachute d’arrêt d’urgence) un magnifique accident absolument extraordinaire au même moment (au même endroit) sans pour autant qu’il rencontre vraiment la jolie Annabelle (très émue & bouleversée). Cette magnifique série d’accidents en chaîne est vraiment spectaculaire avec grande élégance mais sans grande gravité (plus de peur ou d’effets que de mal) sous la grande chance du ciel...
3. Sans le savoir Annabelle & « Golden Boy » très émus l’un comme l’autre se retrouvent donc peu après justement dans le même hôpital sans se connaître, un peu transportés « dans un autre monde » (plutôt surréaliste) ils se croisent, se posent des questions, passent avec une certaine appréhension des examens médicaux ou des consultations sans jamais se rencontrer, tout en pressentant une sorte de « phénomène magique », voilà même que « Golden Boy » déjà pressé de repartir passe un scanner du crâne, les clichés sont posés sur plusieurs autres pochettes qui tombent sur le sol, laissant échapper d’autres clichés, une jeune assistante un peu débordée par les urgences se précipite pour les ramasser et remet les clichés rapidement dans les pochettes.
4. « Golden Boy » est sorti rapidement de l’hôpital, il a quand même été bouleversé par l’accident de voiture mais reprend quand même tout de suite après son Job avec son ami « Bill » (& associé) dans leur société de conseillers financiers internationaux. « Bill » est un homme de 42 ans, cool, simple & classe qui a déjà fait sa fortune. C’est quelqu’un de stable, très expérimenté dans la finance (& ses revers) plutôt heureux de vivre, il est marié à une femme charmante légèrement « snob » et père de deux petits enfants (garçon & fille). « Bill » conseille alors à son ami (& jeune associé) « Golden Boy » de prendre un peu le temps de vivre d’autant qu’il serait peut-être temps de penser à trouver (une jolie petite Nana) et lui faire plein de babies avec bonheur !
BILL (Cool, classe avec son humour bien à lui)
C’est même parfois le Jackpot !
5. Alors que « Golden Boy » se rend à une consultation à l’hôpital il rencontre justement Annabelle, c’est aussitôt « le coup de foudre » (& le monde devînt lumière)
GOLDEN BOY (funny, un peu tendu in love)
C’est peut être incroyable mais ça me semble pas possible qu’on se soit pas déjà rencontré !
ANNABELLE (funny papillon avec l’humour de l’amour in love)
C’était sûrement quand j’ai fait mon baptême de l’air en Jet à Disneyland ? !
En un même temps les médecins spécialistes en réunion à l’hôpital parlent justement du cas de « Golden Boy » qu’ils pensent être « désespéré » car s’il n’a eu aucune séquelle suite à l’accident de voiture ils ont découvert à l’occasion sur les radios de son scanner une tumeur cancérigène critique et veulent d’ailleurs tenter de l’opérer d’urgence au cerveau. Pendant qu’il attend sa consultation avec impatience et qu’Annabelle est déjà repartie « Golden Boy » regarde machinalement le cahier de rendez-vous de la secrétaire où est inscrit le numéro de téléphone d’Annabelle (un peu par instinct) sans qu’il y attache une importance particulière, se demandant sans doute comment il pourrait faire pour la retrouver et regrettant quand même de ne pas avoir fait preuve de plus d’audace avec elle mais il pressent un changement important dans sa vie
GOLDEN BOY (impatient, funny, un peu anxieux, visionnaire)
C’est comme une suite de chiffres exponentielle où tous les numéros ne peuvent pas relever du simple hasard...il existe
forcément une logique invisible que la démonstration par l’évidence met en lumière... comme la course des étoiles dans
la rotation céleste qui ne peuvent pas ne pas se retrouver alors que deux comètes amoureuses nées du même instant
doivent alors obligatoirement se rejoindre en amour après avoir fait le tour de la Terre !
Le médecin spécialiste le reçoit pour lui donner les résultats de ses examens et lui apprend alors (avec précaution & philosophie) qu’il a découvert sans lien avec l’accident de voiture qu’il est gravement atteint d’une tumeur au cerveau qu’il se propose d’opérer d’urgence
LE MEDECIN SPECIALISTE (Avec humanité & un courage pro)
Vous pourriez même perdre connaissance d’une minute à l’autre !
Pris de panique « Golden Boy » s’enfuit.
ACTE II
6. C’est déjà la fin du jour alors que le ciel de la grande métropole se teinte de lumières orangées « Golden Boy » au volant de sa belle voiture « Mercédès 500 CLS » (qui n’a que quelques égratignures) roule sur les grandes voies de circulation (il est sous le choc de ce que vient de lui dire le spécialiste) il conduit avec l’assurance & le style d’un pro du volant mais sans vraiment savoir où aller et semble parler tout seul, regrettant alors de ne pas être avec Annabelle.
GOLDEN BOY (tendu, un peu perdu, funny in love)
J’aurai pas dû aller à cette consultation et rester avec elle !
A l’hôtel, dans le salon de sa suite Annabelle justement est aussi très énervée. Elle est en train de se disputer avec ses cousins « James », « Kill » & « Odette » qui sont venus faire pression sur elle afin qu’elle se presse de signer les papiers pour qu’ils puissent se répartir l’héritage de l’Oncle (de Nemours), ce qui la met en colère si bien qu’elle les met à la porte. Annabelle est d’autant plus bouleversée que « Kill » a fait allusion à son accident de voiture alors qu’il ne devrait pas le savoir. Il l’a même averti de prendre garde en conduisant « sa jolie Jaguar » que cela ne se reproduise pas à nouveau...
Dans sa voiture toujours « Golden Boy » (un peu perdu) roule avec grâce, luttant contre l’anxiété, il essaye de retrouver son calme lorsque soudain un gros camion citerne emballé tente de le dépasser sans y arriver, se montre menaçant, essayant même d’engager (une sorte de duel) sur les grandes voies aériennes de circulation si bien que « Golden Boy » (sur point de péter les plombs) finit par s’arrêter brusquement sur le bord de la route juste à côté d’un grand panneau publicitaire lumineux alors qu’à l’horizon le ciel s’éclaire d’une lumière d’or...
7. « Golden Boy » encore énervé par le chauffard du camion citerne descend de voiture puis fait quelques pas pour essayer de respirer, bouleversé, rongé par ses pensées. Sur la grande affiche publicitaire éclairée il remarque alors que la jeune femme charmante qui fait de la publicité (pour des produits naturels de beauté) ressemble étrangement à la jolie Annabelle qui toujours occupe ses pensées (& fait battre son cœur) si bien qu’il en devient presque furieux contre lui-même, ne sachant plus où aller ni que faire lorsque soudain « Golden Boy » aperçoit un oiseau adorable (une jolie mésange) qui vient se poser avec grâce sur le panneau publicitaire, ce qui l’amuse beaucoup, il se prend même à rire un peu nerveusement s’approchant d’elle avec des gestes un peu théâtral en lui disant son chagrin mais soudain la jolie mésange qui semblait l’écouter avec tendresse s’envole dans un battement d’ailes (comme pour lui ouvrir la voie des cieux)
GOLDEN BOY (surpris parlant à l’oiseau)
Hey ! Where do you go ?!
« Golden Boy » surpris semble redouter de se retrouver seul (abandonné) si bien qu’il se met à la poursuivre (presque comme un jeu) il la retrouve voletant ici ou là, s’éloigne ainsi peu à peu de sa voiture et fini par se perdre dans un quartier plutôt résidentiel. « Golden Boy » se retrouve dans une petite avenue bordée de magnifiques Cocotiers où s’élèvent de grands immeubles de style baignés dans une lumière d’or alors qu’il aperçoit une dernière fois l’adorable mésange qui finit par s’envoler jusqu’au ciel pour disparaitre dans la lumière du soleil couchant.
8. « Golden Boy » seul à nouveau n’arrive plus à retrouver son chemin, il angoisse (il est pris de panique) les passants assez peu nombreux semblent vouloir l’éviter, il semble même ne plus exister malgré les belles voitures qui passent par instant alors qu’il se retrouve « dans une autre dimension » où tout lui échappe, se demandant avec une certaine anxiété s’il n’est pas en train de devenir un peu « fou » lorsque soudain « Golden Boy » fini par tomber sur une cabine téléphonique. Il essaye alors d’appeler son ami « Bill » qui malheureusement n’est pas là (ce qui l’énerve) il se demande encore où il a pû garer sa voiture, se fâche contre lui-même, sa tête soudain lui fait mal, « Golden Boy » est alors sur le point de craquer lorsqu’il a l’idée de faire un numéro de téléphone au hasard.
GOLDEN BOY (nerveux, chargé d’anxiété, funny hopes)
Il faut que je parle à quelqu’un, n’importe qui !
Il tombe alors sur une jeune femme un peu étonnée qu’il ne connaît pas mais qui se montre charmante (après avoir échangé quelques mots). C’est en vérité Annabelle mais tous deux ne se reconnaissent pas tout en ayant l’impression de se connaître déjà. L’Hôtel où réside Annabelle n’est d’ailleurs pas loin de l’endroit d’où « Golden Boy » téléphone, elle pourrait même l’apercevoir par la fenêtre plus loin en bas au téléphone. Leur conversation, un peu hésitante au début (& en émotion) devient même parfois assez amusante les rapprochant peu à peu toujours sans se rendre compte vraiment qu’ils se sont rencontrés peu avant avec un gros « coup de foudre » qui maintenant se reproduit à nouveau sur fond d’interrogation (& de doutes)
GOLDEN BOY (un peu tendu, funny)
Vous allez vraiment pas me croire mais ça me semble pas possible qu’on se soit pas déjà rencontré !
ANNABELLE (funny papillon avec humour)
Sans doute dans une autre vie !
GOLDEN BOY (un peu tendu, funny, cherchant à l’amuser)
No, no... c’est plutôt une question d’éléments statistiques et de probabilités !
Laissant parler le cœur vient maintenant l’amour, ils finissent par se dire qu’ils s’aiment
ANNABELLE (funny papillon in love hopes)
On se sent parfois si proches...
GOLDEN BOY (un peu tendu, funny, si proche du bonheur)
... comme 2 bons numéros de la combinaison du bonheur avec encore...
ANNABELLE (funny papillon in love hopes)
… du grand bonhe...
Soudain la ligne est interrompue, « Golden Boy » est pris d’un certain affolement, impossible d’avoir une connexion à nouveau, il s’énerve, le téléphone ne fonctionne plus, « Golden Boy » qui avait retrouvé un peu de joie de vivre se retrouve seul à nouveau comme si son destin était encore en train de s’effondrer en plein coucher de soleil.
9. C’est alors que la jolie mésange arrive dans un battement d’ailes amoureuses pour se poser juste sur la cabine de téléphone ! « Golden Boy » la remarque aussitôt, esquisse un sourire, s’approche d’elle à nouveau en lui parlant avec tendresse tout en tendant le bras pour qu’elle vienne se poser sur sa main mais la jolie mésange (chante juste quelques notes joyeuses) avant de s’envoler à nouveau dans la lumière d’or du ciel couchant
GOLDEN BOY (tendu, irradié & radieux d’amour love)
L’amour qui toujours s’envole comme un fragile oiseau...
Golden Boy se sent seul, à la fois hésitant (& énervé) mais aussi le cœur ravivé par ce nouvel amour qui déjà lui échappe à nouveau, il serait pourtant prêt à bondir, courir même pour retrouver cette adorable jeune femme (Annabelle qu’il n’a pas reconnu) ne sachant dans quelle direction se lancer alors il trépigne sur place, s’en prenant au téléphone avec dérision lorsqu’il voit passer sa belle voiture tirée par une dépanneuse de la fourrière. Il se met alors à courir comme un fou après la dépanneuse pour essayer de récupérer sa voiture pendant qu’Annabelle, bouleversée (un peu « flying love ») descend faire quelques pas dans le quartier
ANNABELLE (funny papillon, un peu seule in love hopes)
En attendant la venue des premières étoiles...
10. Après une course folle « Golden Boy » réussit à retrouver la dépanneuse et bondit pour lui barrer la route. La dépanneuse s’arrête in extremis à la grande surprise des Convoyeurs très mécontents. « Golden Boy » essaye alors d’apaiser leur colère puis tente de les convaincre de lui rendre sa voiture tout de suite sans attendre d’être obligé d’aller à la fourrière pour la récupérer. Il est d’ailleurs prêt à payer toute de suite la contravention mais les 2 convoyeurs semblent se montrer retissant, déjà prêts à repartir d’autant que « Golden Boy » à la fois au bord des nerfs et contenant sa colère se met à leur raconter qu’il a une tumeur au cerveau (qu’il en a plus pour longtemps à vivre) ce qui ne change en rien l’attitude des Convoyeurs qui le prennent maintenant pour un vrai fou. C’est alors que « Golden Boy » excédé sort son portefeuille, prends tous les billets et leur tend presque sous le nez en insistant (probablement plusieurs mois de salaire) si bien qu’ils en deviennent soudain plus compréhensifs et finissent par accepter sans en avoir l’air (faussement serviable) de descendre pour lui décrocher sa belle voiture. « Golden Boy » monte aussitôt dans « sa Mercédès 500 CLS » et repart à toute vitesse, fait brusquement demi-tour au frein à main et repasse à fond à côté des convoyeurs ahuris...
GOLDEN BOY (par la vitre ouverte, en conduisant)
Bastards !
11. Annabelle se promène dans le quartier résidentiel en flânant « funny papillon » (le cœur soupirant de solitude) à guetter l’apparition des premières étoiles au-delà les magnifiques Cocotiers pendant que « Golden Boy » essaye de retrouver sa route, repris par son angoisse, il regarde de tous côtés entre les immeubles de style (baignés de lumière d’or & d’amour en attente) le moteur rugissant, pouvant même sembler « un peu fou » mais il conduit cependant en pro avec une grande précision, voilà maintenant qu’il croit enfin trouver une solution, fait soudain demi-tour brutalement en faisant crisser les pneus
GOLDEN BOY (soudain inspiré de génie)
i find !
D’une main il décroche son téléphone de voiture, essaye à nouveau de composer de mémoire le numéro qu’il avait appelé au hasard pour parler à nouveau avec la jeune femme charmante (Annabelle qu’il n’a pas reconnue) mais dont la conversion d’amour a de nouveau chaviré son cœur, personne ne répond, il essaye encore, conduisant d’une seule main, sans arriver à se rappeler vraiment du numéro. Cela l’énerve de plus en plus alors qu’il ne sait plus vraiment où aller, faisant rugir le moteur alors qu’il n’arrive toujours pas à retrouver sa route, semblant à la fois écouter « une magie céleste » mais en même temps désorienté, lorsque soudain le gros camion citerne (qui voulait le dépasser lorsqu’il conduisait sur les grandes voies) surgit en face de lui sur l’autre voie alors qu’une jeune femme traverse la route, le camion klaxonne sans s’arrêter, la jeune femme surprise l’évite de justesse, « Golden Boy » donne un grand coup de frein, il dérape, cherchant à éviter la jeune femme qui chute sur le capot de sa voiture.
« Golden Boy » sort aussitôt de voiture, affolé et se précipite vers elle pour l’aider à se relever. C’est Annabelle ! Elle le regarde à son tour, aussi stupéfaite que lui. Heureusement elle n’a rien. Bonheur ! Dans une stupeur mêlée de joie tous deux se rappellent très bien s’être rencontrés (quelques heures plus tôt à la consultation de l’hôpital) comme s’ils ne s’étaient pas quittés un seul instant. Ils sont aussi surpris que troublés de se retrouver ainsi car ils s’aiment toujours d’un amour qui les dépasse
GOLDEN BOY (bouleversé, nerveux, murmurant, presque les larmes aux yeux)
Et l’oiseau d’amour qui soudain s’en revient...
ANNABELLE (s’éclairant soudain)
Vous êtes sûr que ça va ?
« Golden Boy » veut alors trouver une pharmacie, il lui propose de la raccompagner, elle accepte, il redémarre, tout deux discutent un peu timidement en roulant lorsque soudain « Golden Boy » se met à trembler, il donne un grand coup de frein, se range en travers d’un trottoir puis s’effondre en larmes car il se dit qu’il aurait pû la tuer. Annabelle un peu surprise essaye de le réconforter (pleine de gentillesse) il lui avoue alors qu’il a une tumeur au cerveau, qu’il risque de mourir, ne sachant plus vraiment que faire du temps qui lui reste à vivre, il en vient même à lui dire qu’il vient de téléphoner à quelqu’un, au hasard, une jeune femme qui lui a redonné beaucoup d’espoir
GOLDEN BOY (presque les larmes aux yeux)
Je lui ai même dit...
ANNABELLE (s’éclairant soudain)
... que je l’aimais
Annabelle & Golden Boy se reconnaissent alors (ils débordent d’amour l’un pour l’autre) Annabelle de tout son cœur lui dit qu’elle ne le laissera pas seul et restera avec lui, peut-être y a-t-il une chance qu’il survive ?
GOLDEN BOY (fou d’amour)
Where do you want to go ?
ANNABELLE (toute bonheur)
Où tu veux, juste suivre le coucher de soleil !
12. MIDDLE. Pendant ce temps, les 3 héritiers « James », « Kill » & « Odette » retournent à l’hôtel d’Annabelle. Ils attendent dans le salon du hall, se préparant à l’amadouer car ils ont impérativement besoin de sa signature pour faire avancer la procédure de recouvrement de l’héritage. Bien qu’ils se donnent de belles apparences « James » & « Kill » sont très contractés de même que « Odette », très énervée d’attendre le retour de ANNABELLE (avec qui elle est en rivalité) en a soudain un vertige alors qu’elle voulait se lever...
JAMES (la soutenant)
Odette ? Tu m’entends ?
ODETTE (retrouvant ses esprits, un peu furieuse)
C’est rien, laisse-moi
KILL (le regard dur)
C’est cette Annabelle qui nous tire sur les nerfs !
JAMES (à Odette)
Tu avais bien passé des examens ?
ODETTE (à James)
Je te dis que ça va !
KILL (à James, s’interposant)
Tu devrais essayer de monter voir si Annabelle est rentrée
« James » se décide finalement à monter jusqu’à la suite d’Annabelle, il frappe, pas de réponse, la porte est fermée lorsque soudain arrive une femme de chambre avec des serviettes de bain, elle entre dans la suite puis ressort, laissant la porte entrouverte. « James » se précipite alors furtivement à l’intérieur, regarde dans le salon, va jusqu’à la chambre qui est déserte, jette un coup d’œil dans la salle de bain, il fouille tout d’abord le tiroir de la commode, la penderie, un peu affolé par le risque d’être surpris puis retourne dans le salon pour fouiller un buffet où il trouve des papiers. C’est alors qu’il entend une voix de femme appeler dans le couloir, il se dirige aussitôt vers la porte d’entrée de la chambre qui s’ouvre sous son nez pour laisser apparaitre la femme de chambre qui entre avec un magnifique drap de lit. « James » reste plaqué entre la porte et le mur pendant que la femme de chambre se rend dans la chambre, il demeure encore caché derrière la porte quelques instants, hésite à aller prendre les documents qu’il a entraperçu dans le buffet mais se décide finalement à ressortir prudemment dans le couloir pour rejoindre « Kill» & « Odette» qui en ont assez d’attendre et se décident à repartir.
ODETTE (très retenue, avec un regard sciant)
Si on peut se procurer les papiers il y aura aucun problème pour imiter sa signature
JAMES (mécontent mais gardant sa contenance)
Elle s’en tirera pas comme ça !
KILL (mystérieux, souriant avec cynisme)
Si toutefois nous la revoyons un jour !
13. La tombée du jour au soleil couchant, Annabelle & « Golden Boy » roulent cool en voiture (en écoutant une musique magnifique à la radio) ils s’apprêtent à quitter la grande métropole, se parlent avec amour (presque au bord des larmes) « Golden Boy » lui dit maintenant qu’il pourrait avoir une crise (de son cerveau) et même perdre connaissance d’une minute à l’autre mais Annabelle qui trouve qu’il à l’air d’aller bien le prend avec humour, les deux amants traversent ainsi la grande ville, ils se plaisent chaque seconde davantage. Annabelle, touchée au cœur, lui promet de l’accompagner dans ses derniers jours s’il venait à disparaître, noyés tous deux dans un océan de bonheur qui pourrait disparaître à chaque instant. Annabelle qui regarde par la vitre pour essayer de retenir ses larmes remarque alors une affiche de publicité avec un bel avion ce qui leur donne l’idée de partir tout au loin, ils retrouvent alors l’enthousiasme de la vie.
GOLDEN BOY (toujours fou d’amour)
And now, where do we go ?
ANNABELLE (toute bonheur)
Au bout du monde !
14. L’Hôpital à la tombée du jour. Le médecin spécialiste est avec son assistante, il a été surpris par l’attitude de « Golden Boy » qui s’est enfui et se penche à nouveau sur son dossier, très inquiet aussi. Il découvre alors une différence de forme du crâne entre plusieurs radios du scanner qui lui semble bien étrange.
LE MEDECIN SPECIALISTE (soucieux et réfléchi)
Si c’était ça, ce serait vraiment grave !
15. La Nuit sous les étoiles. Annabelle & « Golden Boy » roulent en voiture, parlant avec passion ou laissant parler le silence comme le font deux amoureux dans le feu de l’amour naissant (poussés par le besoin de confidence) pour essayer de se connaître l’un l’autre davantage en confiance (et n’être ainsi plus qu’un). Au petit matin, ils s’arrêtent au bord de la grande route pour prendre un café mais au moment de payer « Golden Boy » n’a plus un sou, de même qu’Annabelle qui est sortie sans son sac à main. La caissière amusée finit par accepter l’une des cartes de crédit que « Golden Boy » lui demande de choisir à la grande stupéfaction des quelques clients
GOLDEN BOY (toujours fou d’amour)
Qu’est-ce qu’ils ont à nous regarder comme ça ?
ANNABELLE (toute bonheur)
On est fou ! Et alors ?
C’est alors que le gros camion citerne qui avait voulu faire la course avec « Golden Boy » et manquer de renverser Annabelle arrive sur le parking du Café. Il se gare sur le côté, le chauffeur s’apprête à descendre lorsqu’il aperçoit soudain Annabelle & « Golden Boy » qui ressortent (tout heureux de vivre) dans leur voiture et repartent. Le chauffeur remet le moteur en marche pour repartir à son tour à leur suite...
Note de l’Auteur : La suite de ce synopsis magnifique n’est développée que dans les grandes lignes à titre d’esquisse !
16. Le lendemain matin aux premiers rayons du soleil Annabelle & Golden Boy arrivent au bord de l’océan. Ils décident de trouver un hôtel, de prendre un bon petit déjeuner. Ils trouvent un hôtel au bord de la plage, se garent, descendent de voiture, Annabelle veut tout de suite aller marcher sur la plage. Elle retire ses chaussures. La réceptionniste les regarde par le carreau, intriguée. Ils marchent sur la plage, les cheveux dans le vent pendant que le soleil se lève à l’horizon. « Golden Boy » se trouve un peu lâche. Il a fuit l’hôpital, par peur de l’opération. Annabelle le rassure. Elle pense que c’était une opération risquée, qu’il aurait peut-être eu des séquelles et au pire, il serait peut-être même devenu handicapé mental à vie. Elle dit qu’à sa place, elle aurait préféré ne jamais le savoir et qu’elle préférait avoir une mort soudaine plutôt que de risquer d’être handicapée mentale jusqu’à la fin de ses jours mais pour ceux qui sont nés ainsi, ce n’est pas pareil, puisqu’ils ne le savent pas. Ils sont normaux, dans un monde différent.
GOLDEN BOY (toujours fou d’amour)
Comme les surdoué(e)s !
ANNABELLE (toute bonheur)
Ou les Génies !
Annabelle marche dans l’eau, sur les vagues qui viennent mourir à ses pieds. Que « Golden Boy » arrête de se faire trop de soucis ! Elle veut être heureuse et l’entraîne dans son bonheur. Elle s’éclabousse avec de l’eau de mer, le provoque et se sauve pendant que « Golden Boy » se lance à sa poursuite (tel un étalon sauvage courant dans l’écume des jours).
17. L’Hôpital. Pendant ce temps le médecin spécialiste demande des renseignements supplémentaires au laboratoire. Ils découvrent alors l’erreur de dossiers (le spectateur ne sait pas de quoi il s’agit sauf que c’est très important pour « Golden Boy »). Avec son assistante ils cherchent à prévenir « Golden Boy » réussissent à se procurer son téléphone de voiture. Le téléphone sonne dans la voiture garée sur le parking de l’hôtel. Pendant ce temps, « Golden Boy » s’amuse sur la plage, avec Annabelle. Ils sont heureux, se courent après, se rattrapent, s’embrassent. Annabelle a soudain un vertige. C’est rien, c’est l’amour qui lui tourne la tête ou la fatigue.
A peine arrivé à l’hôtel, la réceptionniste (une femme de 60 ans qui rêve de love story) vient au devant d’eux pour prévenir « Golden Boy » que le téléphone n’arrête pas de sonner dans sa voiture. Le téléphone sonne à nouveau, « Golden Boy » se précipite, décroche. Trop tard. Il réfléchit. Annabelle le rejoint. Le téléphone sonne à nouveau. Il décroche et apprend qu’il n’a rien, ce n’était pas les radios de son cerveau qui montraient une tumeur au cerveau mais celle d’une autre patiente suite à une erreur de classement dans les dossiers. « Golden Boy » hurle de joie, sort de voiture et se laisse aller à son bonheur, tournoyant, prenant Annabelle par les mains pour l’entraîner dans sa danse. Ils sont heureux. La réceptionniste, encore plus intrigué les regarde par le carreau.
LA RECEPTIONNISTE (rêvant de love story)
L’amour rend fou !
Annabelle est heureuse. Tant mieux, ils auront toute la vie devant eux !
18. Dans la suite de l’hôtel d’Annabelle dans la grande métropole le téléphone sonne sans que personne ne décroche, l’assistante du médecin lui dit qu’elle la rappellera plus tard. Pendant ce temps « James », « Kill » & « Odette » qui sont à bout de nerfs de ne pouvoir toucher leur part d’héritage appelle le tueur qu’ils ont engagé pour pister Annabelle et lui demande alors de la tuer pour en finir. C’est le mystérieux chauffeur du camion citerne.
19. Le lendemain. Sur la terrasse surélevée de l’hôtel, face à l’océan, Annabelle & « Golden Boy » prennent un petit déjeuner appétissant. Des oiseaux volent. Jour de grand bonheur (après une nuit d’amour) « Golden Boy » parle avec Annabelle tout heureuse. Il se préoccupe de l’autre personne, inconnue, qui va soudain apprendre cette terrifiante nouvelle. Il en vacille. Annabelle le rassure. « Golden Boy » veut savoir qui est l’autre personne. Dans sa voiture, il appelle le médecin spécialiste qui lui apprend que c’est Annabelle dont les radios montrent qu’elle a une tumeur au cerveau. « Golden Boy » est bouleversé, il manque de s’effondrer ! Alors qu’il aime Annabelle plus fort que tout au monde c’est maintenant le chagrin qui revient encore frapper son cœur !
Dans la chambre d’hôtel, Annabelle & « Golden Boy » font l’amour passionnément. « Golden Boy » se met à pleurer d’amour. Sans le lui dire il se jure de l’aimer tout le temps qu’elle le voudra, il sera toujours là avec elle, il se promet de tout faire pour lui rendre la vie heureuse jusqu’à ce que la mort ne l’emporte. Ils décident de partir en voyage pendant longtemps.
20. Le lendemain au téléphone « Golden Boy » demande à son ami « Bill » de liquider toutes ses affaires et de régler ses comptes. « Bill » est inquiet de le voir prendre une décision aussi extrême. « Golden Boy » lui parle alors du cas d’Annabelle (sans préciser) pour savoir selon lui s’il devrait le dire ou non à la personne concernée (Annabelle) si une telle situation arrivait. Son ami « Bill » cherche en vain à en savoir plus désirant en parler avec sa femme et s’engage à exécuter les désirs de son ami. Il se demande alors s’il n’est pas mourant, s’il lui serait arrivé quelque chose de grave, il en parle avec sa femme, très intriguée elle aussi. « Golden Boy » ne lui aurait quand même pas caché quelque chose avec une Nana ?
21. A l’hôpital le « médecin spécialiste » est inquiet de ne pas réussir à joindre « Annabelle » pour lui apprendre qu’elle a une tumeur au cerveau. Il cherche à contacter sa famille, réussit à joindre sa mère « Rosalie » alors qu’elle est en compagnie d’autres personnes de sa famille. Le « médecin spécialiste » pense que sa tumeur peut faire pression sur une partie de son cerveau et lui faire perdre son sens de l’orientation ainsi que la mémoire. Elle a très bien pu se perdre, vu l’état avancé de sa tumeur et risque même de perdre connaissance à chaque instant. « Rosalie » en est extrêmement bouleversée. Elle cherche en vain à joindre sa fille « Annabelle ». Ils doivent en plus la retrouver impérativement pour avoir sa signature et débloquer la procédure de nouvelle estimation de l’héritage afin d’éviter que « James », « Kill » & « Odette » réussissent par un tour de passe-passe juridique à se passer de la signature d’Annabelle pour encaisser l’héritage de l’Oncle (de Nemours) aux dépends d’Annabelle.
22. « James », « Kill » & « Odette » qui étaient justement en réunion à trépigner d’impatience apprennent que si « Annabelle » disparaissait la procédure n‘en serait que plus longue encore et ils ne pourraient pas toucher leur part d’héritage avant bien longtemps encore. Ils partent alors à la recherche « du tueur » (le chauffeur du camion citerne) qu’ils n’arrivent pas à joindre pour essayer de l’empêcher de tuer « Annabelle ».
De son côté « Rosalie » est obligée de lutter avec une grande force pour ne pas s’effondrer. Elle engage discrètement un détective privé « Sam » pour essayer de retrouver sa fille « Annabelle » le plus rapidement possible.
23. « Annabelle » & « Golden Boy » sont à l’aéroport. Annabelle n’a pas de passeport ni de papiers, ils doivent pourtant réussir à passer la douane en fraude pour s’envoler à bord d’un avion. C’est alors que le chauffeur du camion citerne les retrouve. Après bien des péripéties il est sur le point de tuer « Annabelle » mais c’est alors que surgit « Kill » qui le tue pour sauver la vie d’Annabelle qui réussie cependant à s’enfuir. Au cours de l’affrontement « James » a été tué. Seule sa femme « Pénélope » peut alors maintenant prétendre à sa part d’héritage or elle ne peut pas supporter « Kill » ni « Odette » qui décident alors de se venger et de retrouver « Annabelle » pour la tuer à son tour. Toujours à l’aéroport Annabelle & « Golden Boy » réussissent à échapper à « Kill » & « Odette » de justesse pour s’envoler à bord d’un avion pour une destination inconnue
ACTE III
24. Bien arrivés après un vol en avion (très confortable) « Annabelle » & « Golden Boy » en amour (plus proches que jamais) découvrent un beau pays (flying love) « au Pays de l’Amour en fuite ». C’est une grande sensation de liberté qui s’offre à eux (passion d’amour) profondeur de l’instant, découverte d’une autre culture magnifique tout en redoutant cependant d’être retrouvé par « Kill » & « Odette ».
Pendant ce temps très inquiète « Rosalie » (la mum d’Annabelle) rencontre le « médecin spécialiste » et demande à voir le dossier de sa fille « Annabelle ». Elle apprend qu’il y avait eu une confusion avec le dossier de « Golden Boy ». Elle voit le détective privé « Sam » qui a rassemblé les premiers éléments de l’enquête, jusqu’au départ en avion d’Annabelle avec justement un certain « Golden Boy » au pays « de l’amour en fuite ». « Rosalie » en est stupéfaite !
« Rosalie » n’arrive pas à joindre « Golden Boy ». Impatiente (et tenant là une piste pour retrouver sa fille) elle passe à « l’Office » de « Golden Boy » (qui n‘est pas là !) où elle rencontre heureusement son ami & associé « Bill ». Tout deux s’entendent très bien, ils comprennent alors que « Golden Boy » & « Annabelle » se sont rencontrés lors de l’accident de voiture, les erreurs de dossiers, le besoin de liquidités de « Golden Boy » qui selon lui a voulu partir refaire sa vie ailleurs et qu’ils sont bien partis ensemble, ne sachant pas si « Annabelle » a été informée par « Golden Boy » de sa tumeur au cerveau. « Bill » se dit prêt à faire tout son possible pour aider « Rosalie » à les retrouver. Il s’interroge beaucoup sur cette histoire d’erreur de dossier.
25. Au « Pays de l’Amour en fuite » après une bonne quinzaine de jour, il pleut maintenant sous un immense arc-en-ciel. « Annabelle » semble ressentir les premiers signes de sa tumeur au cerveau
ANNABELLE (lovely papillon avec une certaine tristesse)
A moins que ce ne soit la fatigue de trop de bonheur !
Golden Boy fait tout son possible pour lui rendre la vie heureuse de même qu’elle l’aime immensément. « Annabelle » est en vérité bouleversée de voir que « Golden Boy » a repris vie si rapidement alors qu’elle pense toujours que c’est lui qui est atteint d’une tumeur au cerveau. Tous deux pensent maintenant être hors de danger, réfléchissant même à s’établir (pour faire leur nid) lorsqu’ils s’aperçoivent que « Kill » & « Odette » les ont retrouvé (l’air déterminé à en finir avec eux). Leur bonheur aura été de courte durée, « Annabelle » & « Golden Boy » très chagrinés de voir leur bonheur à nouveau menacé décident de partir ailleurs. Ils partent en expédition avec une caravane de voyageurs (& de marchands) pour essayer de passer la frontière mais au cours de l’expédition « Annabelle » se perd et « Golden Boy » ne la retrouve plus. Il se fait un cas de conscience. A t-il pris des risques inutiles en l’emmenant ici ? Ne serait-elle pas mieux à se reposer chez elle ? N’aurait-il pas dû lui dire la vérité ? Elle lui avait pourtant bien dit que si elle était un jour gravement malade dans sa vie elle ne voudrait pas qu’on lui dise ?
26. Heureusement « Golden Boy » retrouve « Annabelle » juste au moment ou « Kill » & « Odette » s’apprêtaient à la tuer mais c’est « Kill » qui perd sa vie, disparaissant à tout jamais dans les gouffres de l’Enfer alors que sa sœur « Odette » réussit à s’enfuir en voiture, jurant de revenir « leur faire la peau ! ». Après avoir réchappée à cette nouvelle tentative de meurtre « Annabelle » semble très affectée d’autant que « Golden Boy » se retrouve à cours d’argent (sans DAB ni possibilité d’utiliser ses cartes de crédit !) dans une région assez pauvre et éloignée où il n’est pas facile de se faire soigner. Ils ont besoin de voir un médecin (ou une infirmière) de même que de médicaments sans parvenir à en trouver. « Golden Boy » & « Annabelle » poursuivent malgré tout leur périple en cherchant à passer la frontière alors que le détective « Sam » (qui a parcouru le pays à leur recherche) est maintenant sur leur piste. « Annabelle » a des crises d’abattement de plus en plus graves se demandant ce qui lui arrive.
27. Alors que « Golden Boy » est sorti d’un petit l’hôtel dans un petit village isolé pour essayer de vendre sa montre en échange de monnaie le détective « Sam » retrouve « Annabelle » et lui apprend que c’est elle qui a une tumeur au cerveau et non pas « Golden Boy ». « Annabelle » sait maintenant qu’elle est condamnée. Elle réalise alors tout ce que « Golden Boy » a fait pour elle et l’aime de tout son cœur. Elle refuse de rentrer dans son pays pour subir une opération. Pour elle, c’est trop tard, elle préfère essayer de vivre encore même au risque de mourir, au moins ce sera en liberté. « Sam » est pris au dépourvu. Elle s’enfuit à son tour avec « Golden Boy »
28. « Bill » qui est très perspicace a fait des recherches sur les dossiers à l’aide du Web (& de son Computer). Il a découvert des incohérences d’informations sur les fichiers pour en déduire que plusieurs radios de scanners avaient très certainement été mélangées dans plusieurs dossiers et ne correspondaient donc pas aux bons patients. Avec «Rosalie » il se rend à l’Hôpital, consulte les dossiers et découvre alors avec certitude que les scanners avec la tumeur au cerveau ne sont pas ceux d’Annabelle. La jeune assistante se souvient d’ailleurs avoir ramassé une pile de dossiers éparpillée le jour de l’accident de voiture. Le médecin spécialiste retrouve alors les vrais examens d’Annabelle qui montrent en effet qu’elle est en parfaite santé. Les radios du scanner correspondent en fait à une autre femme inconnue. « Rosalie » la mère d’Annabelle est à nouveau bien heureuse, elle reçoit justement des nouvelles du détective « Sam » qui les a retrouvé peu de temps avant qu’ils ne repartent dans la nature. Il leur indique les coordonnées du village que « Bill » retrouve aussitôt sur son Computer.
A l’aéroport « Bill » arrive dans une belle voiture (au choix) avec « Rosalie » accueillis par sa femme (un peu « Snob ») et une charmante hôtesse de l’air alors que son Jet magnifique est déjà prêt à partir avec le pilote à son bord pour aller retrouver « Annabelle » & « Golden Boy »
29. Alors que « Odette » s’était enfuie en voiture, roulant comme une folle, elle se retrouve à cours de carburant dans un endroit complètement désertique. Elle sort de voiture, se plaignant de maux de tête et pars en marchant, titubante par instant...
ODETTE (cherchant à composer un numéro sur son téléphone)
Je ne sais pas ce que j’ai... comme un drôle de truc dans ma tête !
30. « Annabelle » & « Golden Boy » fous d’amour « flying love » poursuivent leur périple dans la nature, retrouvant peu à peu le bonheur au moins le temps de ce qu’il leur reste à vivre. Ils avancent en se tenant par la main à travers un immense champ de fleurs en partant vers le sommet d’une très jolie montagne enneigée « Peace & love » (again !) aimer la vie, aimer ceux & celles qu’on aime (as us above all) avec aussi du cœur pour le monde, il n’y a que ça de vraiment important
GOLDEN BOY (So happy, toujours pressé)
Surtout quand le compte en banque est bien rempli !)
ANNABELLE (So happy cool)
Parfois il faut aussi faire le ménage pour pouvoir s’aimer en paix...
Spiritualité, money (& love) « Annabelle » si jolie va beaucoup mieux maintenant toute heureuse à nouveau avec « Golden Boy » (toujours charming speed) elle se dit que dans la vie il y a aussi des miracles !
GOLDEN BOY (So happy, toujours pressé)
Comme réussir à trouver un téléphone pour que Bill vienne nous chercher en Jet !
ANNABELLE (So happy cool)
Pourquoi ? On est pas bien là ?
(Fin)
A venir... « L’Oiseau dans la Tête II » (linote)
FBI – EUROPOL - KGB
Encore bien des étranges coïncidences avec des situations inacceptables que certains « pouvoirs » me font endurer à Rennes, encore des caricatures ou « antithèse » de ce que j’écris qui mettent ma vie en jeu à grands renfort de cruauté, moqueries, provocations...
Ô Yee Ye Ye (Music Movie)
Jolies Magic fee’s
Présente
‘’ Ô Yee ye ye ‘’
… pour une « love Song » à écrire sur le sable de la plage s’effacent les mots sous la douceur des vagues (comme s’effacent nos chagrins)
Music Movie !
Author
Emmanuel DIGNAT (With all his pretty Chéries & the lovely “Ô”!)
Golden Spring's Consulting - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
… sur honoraires !
(si pratique aujourd’hui de copier-coller avec les Computers ?)
… Pour une fois !
… aujourd’hui je chante
‘’ Ô Yee ye ye ! ! ! ‘’
… Avec « Logo filigrane ! »
Good Partner !
… la prochaine question de notre grand jeu « Sponsors games ! » pour gagner « les free Tickets ! Ô love Concerts de Song’s fly ! » à Paris Palais des Congrès (Waoooooo !!! les jolies Gonzesses !!!) … la question sera… « Qui, en 2010, a fait des rajoutures sur le dossier médical prétexte du Kiki de Coconut’s ?... Qui ?
... Who ?
... avec encore 100 places a gagner pour les premiers appels !
(les jolies Gonzesses !! Waoooooo !!!!)
Je chante mon nouveau Tube ! ‘’Ô Yee ye ye ?’’ qui sonne un peu « chant des esclaves »… j’ai d’ailleurs les stigmates des fers à mes pieds, marqués de rouge à vif, avec des œdèmes… je repense alors au « Chant des esclaves » que je chantais lorsque j’ai été interné en psy abusivement après le 3’ Bang Psy ! (lui le Kiki de Coconut’s) un chant déchirant à vous déchirer le cœur comme certains d’ailleurs s’amusent à déchirer mon cœur (ou les nôtres) … peut-être l’ai-je enregistré sur mon Dictaphone avec mes autres chansons (love song) déchirantes aussi, criant le sang de l’injustice qui encore m’avait frappé…. il en est qu’aujourd’hui je chante ‘’ÔYeeyeye ???’’ chant des esclaves certes, mais maintenant magnifique chant de la délivrance aussi « feeling freedom » se libérer des chaînes… ce chant bien sûr me vient de mon sang… un sang de Prince
(so charming…)(merci chérie)
… je dois vous dire mes jolies Beauties qu’en effet il y a bien longtemps l’un de mes ancêtres, un Prince bien « charming » aussi (tout comme lui) vivait heureux dans un beau Royaume tout au bord de l’océan (comme lui encore avant à Paris au Royaume des jolies Chéries) … un beau Prince si aimé de son peuple (ou de ses peuples) avec beaucoup de jolies Gonzesses… (il avait un beau Palais ?) (Oui, bien sûr, avec même un « Music home Studio ! ») … le « charming » Prince d’un beau Royaume in loves… (so good Business man too) en effet car il remplissait de millions de pièces d’or les caisses du Grand Royaume (avec ses « Tubes ! ») ses magnifiques Shows ‘’Ô Yeeyeye ???’’ où dansaient avec lui ses jolies Beauties qui faisaient aussi les Chœurs (all in loves) … le Prince (so charming talentuous) écrivait aussi des Best Sellers ! (... sur Parchemin) mais son grand bonheur faisait aussi bien des envieux (ou terribles jaloux) surtout des plus arrivistes ou effroyables fomenteurs prêts à tout et au pire surtout pour essayer de prendre la place du beau Prince (d’autant qu’il avait commandé une jolie Ferrari Jaune d’Or aux reflets soleil) pour s’emparer bien sûr « du pouvoir », surtout celui de faire le mal, menacer, châtier ou meurtrir pensant aussi surtout avant tout aux belles caisses d’or (sans oublier les Lingots…)
Ainsi les ignobles comploteurs, avec des manants (et des vilains d’ille et vilaine) tendirent un piège des plus pernicieux à mon ancêtre le beau Prince, lui faisant croire qu’une de ses jolies Beauties était mourante avec « ses petites »
…« Ciel ! » s’écria le Beau Prince !
… aussitôt avec son fidèle « flying Computer » (qu’il emportait toujours avec lui) il s’élança sur son cheval sans prendre garde (écoutant juste son cœur) à la lumière du soir au bord de l’océan il traversa toute la grande Cité dorée au triple galop chevauchant (sa belle jument blanche) et se rendit plus rapide que l’éclair au petit hôtel des faubourgs où demeurait sa jolie Beauties (l’une de ses amantes peut-être ?) avec « ses petites » sans doute en larmes à l’attendre, il passa le porche en trombe, sauta de son cheval mais soudain « Paf ! » c’est alors qu’il reçu un grand coup de barre de fer sur la crâne, juste derrière la tête, en traître… ses ennemis des plus laids, vils, insidieux (& minables) venaient bien de le frapper dans le dos, le beau Prince vacilla sous le choc, il essaya malgré tout de sortir son épée mais les effroyables abrutis haineux bien qu’ils étaient plus de 5 maudits (bastards !) presque tremblant de peur à l’idée de se faire embrocher le frappèrent aussitôt à nouveau l’un après l’autre tout en osant s’approcher de trop près, le beau Prince titubant le visage en sang réussit cependant à sortir son épée redoutable, il trancha la tête de l’un d’eux (d’un seul coup !) de même qu’il zébra en diagonal un autre abrutis qui en perdit (son froc) et sa barbe, un troisième larron plus téméraire alors qu’il sentit son tour arriver se rua alors sur le Prince avec sa barre de fer pour le frapper en plein visage se faisant par la même occasion transpercer en pleine gorge (comme un insecte), quatre autres vauriens arrivèrent en renforts, le Prince n’eut pas le temps de (dégorger) son épée que tous se ruèrent sur lui avec rage, le rouant de coups, ces odieux minables n’avaient plein rien d’humain tant la haine de leur jalousie meurtrière était à son comble, le beau Prince malgré son grand courage (& son grand cœur) fini par s’effondrer, prononçant encore le prénom de celle qu’il voulait sauver (sa jolie Beauties) en tendant la main vers le ciel, c’est le monde de l’amour (& de l’abondance) qui s’effondra aussi, peut-être le beau Prince était-il déjà mort alors que ces lâches continuaient de le frapper au sol, au bout d’un certain temps où plus un oiseau ne chanta l’un d’eux qui semblait être le Chef de la conspiration écarta ses comparses avec ses bras, il semblait très satisfait de lui bien que son visage des plus laids était parcouru de sursauts de rage, serrant les dents (à s’en défaire la mâchoire)
La satisfaction de leur défoulement sadique ne dura pas longtemps car ils entendirent soudain des voix s’élever plus loin dans la rue, aussitôt ils furent pris de panique, se pressèrent de saisir le beau Prince (inanimé) qui semblait plus vivre, ils le trainèrent comme un paquet (leur butin) jusqu’à une charrette qui attendait un peu plus loin alors que les chevaux s’impatientaient, ces effroyables manants malgré les voix qui approchaient ne purent s’empêcher cependant de lui faire rapidement les poches (ainsi que ses dossiers sur son Computer) ils le chargèrent à bout de force dans la charrette qui démarra aussitôt au galop alors que de lourds nuages déchiraient le ciel de la nuit, l’attelage traversa une partie des faubourgs déserts avant d’arriver jusqu’au grand Port juste au bord de l’océan où attendait une Goélette embusquée prête à partir pour aller le revendre sur le marché des esclaves, les ignobles conspirateurs voulaient en effet envoyer le beau Prince aux galères (en guise d’adieux) présumant bien qu’ils ne le reverraient jamais plus, sans doute au fil des années à mourir de chagrin ou d’épuisement, le Chef enragé, entouré de ses sales gueux sorti un couteau pour lui porter une marque au visage essayant même de lui arracher un œil en tremblant toujours sous la colère du ciel (de s’en prendre à un être sacré) pendant qu’un autre minable si vilain (d’ille et vilaine) lui arrachait ses belles « Nike » toutes neuves, le beau Prince inanimé semblait cependant essayer de revenir à la vie (agité de sursauts de douleur) il fut trainé en sang sur le quai, jeté à fond de cale, encore roué de coups de pieds par ces gueux des plus lâches
« Quel beau Prince ! »
« (AAAA) ! »
(comme les andouilles d’appellation contrôlée)
... la Goélette disparue au loin rapidement dans la brume, un éclair de tonnerre déchira le ciel sur la Terre entière (so crying injustice) il se mit à pleuvoir sur tout l’horizon peut-être même des larmes de sang... J’en suis encore bouleversé mes jolies Chéries… j’ai presque envie de pleurer (nous aussi) … quand j’y repense… d’autant que toutes les jolies Beauties de son beau royaume pleurèrent ensuite (toutes les nuits sous les étoiles) pendant bien des Lunes (sans miel) fredonnant toujours en leurs cœurs ses belles chansons d’amour love…
‘’Ô Yee ye ye …’’
... ce qui fit même monter le niveau des océans (comme celle des marées) tout au loin l’océan si loin de ses belles le Prince en Enfer ramait aux Galères enchaîné (avec des fers aux pieds) sous les coups de fouets des bourreaux, effroyable calvaire d’injustice, ainsi il traversa bien des océans à travers le monde, sans doute en fit-il plusieurs fois le tour à ramer (sous les coups des salauds) c’est dire ce qu’il endura, avec une grande chance cependant qu’il ne perdit point son œil gauche avec malgré tout la marque de la cicatrice sur son beau visage comme celle d’un éclair (Ô Chocolat, Vanille ou Cofee) dans ses grands moments de chagrin la nuit sous les étoiles il demeurait enchaîné sur le pont de la Galère alors il chantait jusqu’au ciel ‘’Ô Yee ye ye ???’’ sa belle chanson « Tube ! » (number one au Top 50 plusieurs fois disque de platine) ses jolies Beauties de son beau Royaume lui manquaient terriblement, il ne trouvait réconfort qu’auprès de la belle Cantinière (qui servait la soupe) un jour ou plutôt une nuit ils furent d’ailleurs surpris par les vigiles qui encore le rouèrent de coups, débarquèrent la malheureuse Cantinière éplorée dans une chaloupe (les monstres !) ainsi le Prince fut plus malheureux que jamais, toujours il chantait sous les étoiles ‘’Ô Yee ye ye ???’’ plus tristement encore mais voilà qu’un jour alors que le Navire en galère se rendait vers l’Orient à l’approche de la Grèce (« one day or one night ») une jolie Divinities venue du ciel l’entendit chanter, c’était la bien jolie « Déesse d’Ô » … qui se posa de toute évidence la question suivante « so good question »
« Que fait un si beau Prince qui chante si bien de si jolies love Song dans une telle Galère ! Comment est-ce possible !? »
Que de souffrances alors en son cœur (so loves) « Toutes ses souffrances me chagrinent tant le cœur… » songeait-elle à longueur de journée jusqu’à même ne plus arriver à dormir la nuit entendant la voix du beau Prince chanter « Ô Yee ye ye » si tendrement dans son cœur si bien qu’en larmes presque chaque jour elle se décida d’en appeler à Zeus (le Dieu suprême) ainsi qu’à Posséïdon (Dieu des océans & des poissons) qui déclenchèrent alors une tempête fracassante sur l’océan, le Navire en galère fut emporté par les tornades qui brisèrent la coque (comme un œuf !) il commença à couler, déjà les bourreaux ou autres exploiteurs se précipitaient sur le pont (comme des rats) essayant d’abandonner le Navire avec les esclaves toujours enchaînés à l’intérieur qui hurlaient en vain alors que le niveau de l’eau montait de même que des éclairs de foudre frappaient le pont, déchirant toute la voilure qui volait en lambeaux, l’on voyait courir (les gros salauds) ou même les petits courir dans tous les sens pour essayer de fuir à bord des chaloupes allant même jusqu’à s’entretuer en vacillant sous la houle (hurlant de trouille) rageurs alors que tout d’effondrait autour d’eux (un connard à la mer !) plus d’un d’entre eux étaient emportés tour à tour par le souffle du vent passant par dessus bord (comme des fétus de paille) les si vaillants bourreaux dont certains s’accrochaient encore à leur fouets prêt à frapper (le vent) comme d’un geste de survie, les plus chanceux (ou plus salauds) arrivaient cependant à descendre ou s’accrocher à des chaloupes qui tanguaient sur les vagues, rien n’y faisait des rames qui se brisaient bien que les plus vaillants (ou voraces) croyaient déjà s’en sortir vivant en s’éloignant de l’épave à la dérive mais la force des vagues furieuses redoubla de puissance pour les balayer les uns après les autres (« Du balai » dirent les Dieux) car rien ne pouvait maintenant apaiser la colère des Dieux (ou des Divinities) jusqu’à ce que tous ces vilains périssent dans les tourbillons de l’eau emportés au fond de l’océan jusqu’au dernier pendant que le Navire disloqué telle une coquille noix (de cajou) emportée par le souffle aérien du Dieu Posséidon alla s’échouer avec fracas sur une grande plage dorée (de la Grèce antique) que l’on découvrit avec surprise (comme d’une terre promise) sous le ciel chargé de gros nuages noirs bleutés qui défilait sur tout l’horizon au moment même où un éclair puissant vint frapper la Terre avec fracas !
(Zeus es-tu là ?)
… oui mes jolies Chéries ce fût une terrible tempête comme si soudain toutes les larmes des jolies Beauties du beau Royaume du Prince avaient balayés toutes ces années de chagrin (longues secondes d’amour) si longues si seules à chaque seconde sous la Lune l’une d’amour peut-être de miel un jour…
(...ou une nuit ?)
... Et le Prince ?
... il disparu dans la tempête ?
... notre beau Prince mes chéries (so love charming Prince) venait juste d’être la proie des bourreaux qui étaient venus le chercher dans la cale aux esclaves alors qu’il chantait (un nouveau chant révolutionnaire) ils avaient surgis soudain pour le frapper à coups de fouets mais comme il chantait toujours le visage en sang ils l’avaient attrapé par les pieds pour le trainer jusqu’à la salle (des « coups perdus ») pour en finir à tout jamais avec celui qui en imposait si naturellement face (à leur idiotie génétique) les abominables bourreaux (si vilains) étaient justement en train de le rouer de coups lorsque la tempête éclata soudain brisant avec fracas le flanc du Navire, des morceaux de bois volèrent en éclats tuant sur le coup le plus acharné des bourreaux qui déjà avait sorti son couteau prêt à poignarder le cœur du Prince, un éclat de bois projeté avec force vint se planter dans son œil pour le repousser jusqu’au fond de la pièce où il s’écrasa la tête fracassée (contre un porte manteau) comme ça il n’eut pas besoin de passer au vestiaire (pour prendre son chapeau) la force des vagues avaient déjà précipité les autres comparses par la brèche sur le flanc du Navire, le beau Prince en sang ne tenait plus debout, les poignets liés par une lourde chaine, s’accrochant aux parois face au trou dans la brèche d’où l’on voyait l’océan en colère, il leva soudain les yeux au ciel alors que la tempête se déchaina de plus belle pensant peut-être qu’il allait disparaitre à son tour... à ce que racontent les jolies sirènes (de la Grèce) il aurait aperçu dans les nuages le visage de la jolie déesse d’Ô au moment même où une vague gigantesque l’emporta à son tour dans un tourbillon de larmes...
... C’est la Déesse qui pleurait ?
... Alors le Prince alla mourir d’amour avec elle ?
... mes jolies Chéries, c’était sans compter sur la puissance de la destinée alliée aux faveurs (des Divinités) le beau Prince ne se souvint pas lui-même de ce qui lui était arrivé à part qu’il se retrouva transporté (entre les gouttes de pluie) jusqu’à la plage dorée (de la Grèce Antique) alors que le Navire disloqué allait s’échouer plus loin, le Prince aurait pû se noyer sans doute à bien des reprises avec ses chaines aux poignets mais il s’échoua sur le sable complètement épuisé ne pouvant presque plus respirer sous les rouleaux des vagues, sa tête roulait dans un sens ou dans l’autre essayant de happer une bouffée d’oxygène (pour ne pas boire la tasse) il essayait à nouveau d’apercevoir le visage de la bien jolie déesse d’Ô dans les épais nuages (noirs & bleutés) qui défilaient dans les cieux luttant en même temps contre le chagrin (d’amour love) alors qu’il croyait enfin sauvé de ce calvaire, chagrin presque du désespoir de se retrouver là à mourir encore sur une belle plage d’or les mains liés par de lourdes chaines, il luttait cependant de ses dernières forces simplement essayer d’entrevoir encore le regard (d’amour) de sa jolie déesse d’amour pour l’emporter en son cœur (comme le plus grand bonheur de sa vie) avant de disparaitre pour l’éternité et c’est alors l’on se souvient de cet éclair puissant qui frappa la Terre entière, de cet éclair qui en ce dernier souffle de vie vint briser soudain les chaines qui entravaient le beau Prince lui redonnant ainsi toutes ses libertés !
... free to love !
... Et de refaire sa fortune !
C’est croire en effet que ses complicités célestes & divines allaient maintenant exaucer tous ses vœux (les plus chers) sans doute alla-t-il ensuite à bout de forces se mettre à l’abri sous les palmiers qui bordaient le rivage mais lorsque les jolies Sirènes (de la Grèce antique) l’aperçurent à nouveau il marchait librement sur la grande plage de sable dorée regardant au loin l’océan libéré de ses chaînes (plus léger que le souffle du vent) il marcha ainsi des heures, des heures (bien des jours) des nuits parfois même retenant ses larmes tellement ses jolies Beauties adorées de son royaume lui manquaient (so love dreams) la nuit sous les étoiles toujours il chantait (ses love Song) pleurant presque d’amour si seul sous l’immensité de la vie mais voilà qu’un soir alors que s’illumine l’horizon tout de lumière orangée (d’amour love) le beau Prince si seul encore en cet instant son cœur frémissant d’amour au cri de la vie qui passe le cœur débordant d’amour alors qu’il aurait tant voulu partager l’immense beauté divine en cette seconde rien qu’une larme pour dire toute l’immensité de la vie il se mit à chanter de sa belle voix d’Ange quand scintillaient déjà les premières étoiles…
‘’ Ô Yee ye ye…’’
… lorsque soudain il senti sur sa joue le souffle tendre d’un doux baiser (d’amour love) pour découvrir juste à côté de lui (la jolie Déesse d’Ô) de ses grand yeux de sucre qui le regardait elle fit
‘’ Ô…’’
… il répondit « Ô’’ »
(on loves waves ocean)
... sans doute la jolie Déesse d’Ô (& le beau Prince d’amour) s’embrassèrent-ils tout amour (love under the shining stars) roulent les vagues sur la plage l’océan océan d’amour pour toujours passe le temps (flying loves so love kiss on loves) avec tant de bonheur(e)s bienheureusement sans quoi après tant de siècles je ne serais pas né aujourd’hui mes jolies Chéries !
… i know where i come from !
(… and i know where i go !)
(encore une jolie love stories !)
Je pense alors maintenant que cela fera encore bien des Royalties mais je le pense après (so shining love hopes for peoples) car quand je commence à écrire (avant les royalties) c’est mon cœur (en sang) qui parle (feeling love la vie) parce que ça me plait…
(ce qui plait aussi à bien des millions de peoples !)
... comme tout ce que je fais mes Chéries (ou presque…) (oui presque) comme tout ce que je fais ou presque c’est donc plutôt génial, j’ai en plus... (le feeling fortunes) en tout bon sens c’est encore bien des millions (pour les fruits de nos récompenses) oui ma jolie Chérie… (comme de nos envies) encore aujourd’hui je chante
‘’ Ô Yee ye ye … !‘’
… elle me répond en chantant
‘’ Ô yes yes yes … !’’
(en chœurs)
… pour une « love Song » à écrire sur le sable de la plage s’effacent les mots sous la douceur des vagues (comme s’effacent nos chagrins)
Au filigrane des Sentiments (une histoire de diplomatie en love story)
Jolies Magic fee’s
Présente
Au filigrane des Sentiments
Synopsis de film Cinéma
2014 & 2015
Author
Emmanuel DIGNAT (With its pretty Chéries & the lovely “Ô”!)
Golden Spring's Consulting - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
(si pratique aujourd’hui de piller en violant les Computers !)
Au filigrane des sentiments
l’Amant, la belle (& le trompé)
... une histoire de diplomatie en love story !
Movie (Synopsis)
PUB !
(C’est en vérité que tu avais dû passer « par la petite porte » des cuisines chéri ...)
... qui sait ?... parfois ma mémoire « me joue des tours »
(de passe-passe !)
.... d’ailleurs s’il en est une belle (love Song) que je ne jouerais pas ce soir sous les étoiles c’est bien celle de ma jolie Betsy qui sans doute m’envoie tant de messages d’amour à travers le monde (elle a même été voir Coca Cola) « so funny loves ! » pour lui dire de me faire passer un message secret (a love message) d’inscrire donc sur l’étiquette d’une grande bouteille de Coca le mot « frère » (sur une autre elle avait écrit « Chéri(e)» )
... Et sur une autre encore « Princesse » ma jolie Chérie !
… (c’était pour moi sans doute) ... chacun ses secrets (de Polichinelle !) ... on comprends bien que sur Terre nous sommes bien tous frères (bien que certains Blancs soient peut-être un peu plus Dallas ?) peut-être... mais de toutes façons moi je n’aime pas les hommes (moi non plus) on essaye cependant de se dire ça pour éviter de se taper dessus « tous frères » il est vrai quelque part mais le message secret du mot « frère » que ma jolie Betsy m’a envoyé (via Coca Cola) a un tout autre sens que je voulais jouer par une splendide (Bass & Voice improvisation !) un grand message de paix à travers le monde chérie mais comme je n’ai toujours pas de « Sound » sur mon Computer tout le monde hélas en a été ( privé(e) de même mes jolies Beauties d’amour (ce qui nous a fait verser bien des larmes) ma jolie Betsy a même demandé ensuite (à Mlle Coca) d’écrire sur une affiche publicitaire (en grand format) un autre « Secrets love message »
« Emma Théo » (Tu es Haut !)
… je dois d’ailleurs écrire une jolie page sur un jeu que j’ai découvert « le jeu de lights & d’Ô » (ou de lights dans l’Ô) & le temps chérie avec une jolie bouteille d’eau minérale, une autre de bon vin (de Bordeaux) la lumière d’une bougie et bien des reflets (de lumières mouvantes) émouvantes qui se dessinent sur le carrelage blanc de la cuisine (de quoi passer des heures à rêver...) d’amour loves aussi chérie presque l’invention (d’un autre cinéma) … j’ai d’ailleurs découvert ce jeu (« like this dreaming love ») quand ils avaient bousillé mon Computer !
… as Song’s fly !
(You, me, hum ! Ôoo’)
Film Documentaire de Cinéma
... en attendant le film ! ... et les amoureuses en retard chérie !
… je fais trop de Tubes !
(au Top 50 !)
… la Basse (The magic Bass !) fût l’un des tous premiers instruments de musique de l’humanité… bien avant le Piano… de nos plus lointaines origines c’était d’abord les « chants aux champs » (Elysées) avec des cris, plus ou mois en recherche d’accords harmoniques, ainsi que frapper dans ses mains (pour les applaudissements accompagnés là encore de cris assez colorés) ou bien même taper dans la main de l’autre, ce qui voulait dire « top là ! »… soit « affaire conclue ! » soit « viens ma chérie oui mon chéri » ou bien l’inverse « Top là ! »…. « viens mon chéri oui ma chérie »... voir encore frapper de ses mains son corps pour en faire naitre des rythmiques ou résonances en accords ou en attente pour les danses de l’amour sous les étoiles (voir ses recherches musicales rythmiques à Paris avec des Web movies en 2005 notamment)… après ces premiers balbutiements musicaux chérie qui pouvaient aller vers le virtuose, il vînt à l’idée pour bien de nos ancêtres éloignés qu’au lieu de se taper dessus avec les mains on pouvait aussi prendre des cailloux ou des bout de bois, voir des os pour faire des percussions qui accompagnèrent aussi la naissance des langages (sans oublier les « love rythmics ! ») … les percussions furent donc les tout premiers instruments de musique de l’histoire de l’humanité(e), vint ensuite (le Pipo) qui existait déjà dans les esprits mais ne fut révélé que bien plus tard par son invention matérialisée en instrument de musique à l’aide d’un roseau où l’on soufflait ou même d’un bambou pour en faire exister des plus belles mélodies d’amour…
(love)
… c’est maintenant à (« l’Ère des As ») qu’arrive la Basse avec une évolution majeure dans la prise de conscience des feeling loves… oui la Basse, avant même la Guitare (désolée) on pourrait dire effectivement que « la grosse corde de Guitare » est approximativement identique à « la petite corde de Basse » mais la tendance de la Guitare c’est 6 ou 12 cordes (qui sans doute contribua tout comme la Basse à inspirer le Piano avec la table d’harmonique de 92 cordes pour 6 octaves ou sur 8 octaves de 116 cordes frappées par des percussions comme des petits marteaux…) … généralement recouverts d’une légère feutrine ma jolie Chérie... alors qu’il en est seulement de 3 ou 4 cordes pour la Basse, on trouve d’ailleurs toujours dans d’autres cultures des « basse à 3 cordes » mais l’essentiel de cette question repose surtout sur le diamètre, (la solidité) de cette première corde qui ne pouvait être « une fine corde » mais donc bien une corde de Basse peut-être même que certains (ou certaines) utilisèrent une jeune liane accrochée à une branche pour faire résonner en « consonance projective » les toutes premières notes de Basse de l’humanité(e), il est certain que de ces notes fondamentales l’on pouvait dire « ça sonne loves ! » (mais cela reste à vérifier…) bien que très plausible… je pense surtout à cette occasion que la découverte eut lieu en été (propice aussi à l’expression des sens) sachant qu’en hiver les Tribus s’habillaient (de peaux de bêtes) avec parfois même pour certaines jolies Beauties déjà (de jolis manteaux de fourrures chéri) effectivement chérie mais qui en cette saison ne présentait pas en soi l’occasion de (tirer sur la corde) ce fût donc en été que certains eurent l’idée de faire sonner la toute première corde de Basse (qu’on appelle aussi « Corde de Bosses ») cela de toute évidence quand venaient les belles soirées d’été au couchant du soleil tout orangé de mystères en pressentiments aussi de ce que l’on appellerait ensuite « l’amour » (ou l’amour loves) des grands amours les jolies Beauties portaient alors (des petits Bikinis !) avec une corde gracieuse entre les fesses des plus (« feeling fashion») en effet chérie et c’est bien « cette corde » qui tenta bien des uns (ou des autres) qui fut donc la toute première corde de Basse (ou corde de Bosses) on parle même toujours aujourd’hui (de tirer sur la corde) sans même parler (des rebonds de la Basse) avec sans doute là encore les toutes premières paroles de l’histoire de l’humanité(e)…
« Hum… »
... qui donna naissance au tout premier Tube !
« Toi moi hum ! »
(You me Ôooo)
Au filigrane des sentiments
l’Amant, la belle (& le trompé)
... une histoire de diplomatie en love story
THE Movie !
(Synopsis)
... j’ai encore improvisé une « love stories » alors que je racontais mes anecdotes « d’homme de diplomatie » dans une dimension internationale étant moi-même dégagé de tout soucis matériel, financier ou économique (puisque qu’il est millionnaire) plus par plaisir d’œuvrer pour faire de belles choses, étant fort heureux, rendre les gens plus heureux (heureuses) en harmonies (le mieux possible) je parlais d’ailleurs d’une affaire qui avait fait « grand bruit » et que nous avions dû prendre en charge en situation de crise avec mon homologue diplomate... ( Gloops !) ... il s’agit bien sûr de l’histoire d’un homme politique (un Président) où plutôt de sa femme, plutôt jolie d’ailleurs, lorsqu’un beau jour elle fut surprise avec un bien bel homme (et amant) qui réussi cependant à s’enfuir par une fenêtre de la résidence présidentielle !
... vous imaginez ?
... cela rendit (le Président) « fou furieux », bien sûr on ne sait comment l’affaire se répandit dans les journaux (les médias) il se senti blessé, insulté aux yeux du monde entier, lui un si grand homme trahi par sa propre femme (qui lui avait donné d’ailleurs plusieurs enfants pour assurer sa destinée) ... la « malheureuse » fut donc obligée expressément d’aller s’installer dans un grand hôtel avec un service de protection particulier car bien des citoyens ou citoyennes aussi voulaient la « lyncher » (lui arracher les cheveux) la traitant de catin... l’affaire redoubla encore de vigueur quand après l’enquête qui fût menée très rapidement en toute priorité notre « Président » appris qu’il s’agissait en vérité de son homologue d’un autre pays !
... Nom de Dieu ! Putain !
(Putain de Nom de Dieu !)
... il se demanda bien comment sa femme et son amant avaient pû entretenir une liaison amoureuse « dans son dos » (on his back) alors qu’il était protégé par ce qui se faisait de mieux en matière de sécurité (& renseignements) une deuxième enquête révéla alors que (les lovers) réussissaient à s’échanger des mails ou des texto par le Web ou sur leur phone (on retrouva même des lettres manuscrites avec des photos !) si bien que le Président se sentit trahi de toutes parts, se demandant bien à longueur de journée (ou de la nuit) comment ils avaient pû déjouer tous les systèmes de sécurité informatique !
« in my back ! »
... si tout cela provoqua tout d’abord bien des réserves en raison de son rang il en fût ensuite bien des rires sur la scène internationale quand on apprit qui était l’Amant, la belle (& le trompé) certains ou certaines en profitant même pour se moquer, présentant l’Amant comme un héro, véritable expert (pour le « saut de fenêtres ») venant chanter sa romance le soir au clair de lune, parfois même au bout d’une liane emportant sa belle dans ses bras (on le surnomma même « Tarzan ») le grand Président ne décolérait pas du jour au matin, il cassa même à chaque pensée pour elle des objets dans leur résidence (devenu un véritable champs de bataille) si bien qu’il finit par mettre tout le pays en alerte, sur le pieds de guerre, les chars (les bateaux) les avions sortirent des hangars, la tension devint peu à peu de plus en plus perceptible à travers le monde entier, certains cependant cherchaient un peu à « détendre l’atmosphère » c’est pourquoi dès que le Président apparaissait en public on entendait toujours de ci de là venant du public...
« Awouawoua ! »
En tant que diplomates nous étions bien évidemment très embêtés, presque toutes les affaires entre nos deux pays furent mises en standby(e) (ou interrompues) les pays avoisinants prirent aussi des attitudes de réserve, les uns se ralliant plutôt derrière « le Trompé » les autres vers « l’Amant » (ou la belle) les Bourses en tension commençaient à se prémunir d’un nouveau Crack, si bien que toute l’économie mondiale s’en trouva légèrement ralentie, du coup les rires se firent moindre, des délégations diplomatiques vinrent tour à tour essayer (de résonner le grand Président) alors qu’il venait même de faire exploser des missiles aériens en guise d’avertissement s’attirant par là même la colère mondiale (des écologistes) ... les populations commencèrent à bouder ou boycotter tous les produits en provenance de son pays, les recettes extérieurs commencèrent à dégringoler, le grand Président (en devint encore plus furieux) lui qui avait pouvoir de détruire le monde entier de se retrouver ainsi obligé de ne rien pouvoir faire pour venger son honneur blessé (par son ex-épouse) de qui il avait déjà demandé le divorce (qui lui fut aussitôt accordé) pouvant ainsi maintenant l’appeler
« Sale pute ! »
... ce qui le défoulait un peu, on lui présenta même de jolies « créatures » (passant par la petite porte) mais il ne pensait bien toujours qu’à vouloir « faire la peau !» de l’Amant « Tarzan », toutes ses armées maintenant déployées étaient « prêtes à tirer » (en chorégraphies) de plus en plus de par le monde l’on vit apparaître des « petits coqs » faire de même à vouloir jouer au grand jeu de « c’est moi le plus fort » (non c’est moi) les uns les autres à force d’armes se sentant devenir davantage plus puissants, tout puissants même (à l’égal des Dieux !) ...donc « tout permis » (y compris la déloyauté) ou pire encore... la tension devint épouvantable, de même le ralentissement de l’économie mondiale (déjà des famines s’annonçaient) on se demandait même s’il ne fallait pas mettre « quelques substances » discrètement dans les mets du Président (pour le calmer un peu) mais cela n’était bien sûr pas possible en raison de l’engagement de confiance absolu des êtres de notre « niveau d’influence » tout ça pour dire qu’on en était quand même à « deux doigts » d’une nouvelle guerre mondiale !
Ainsi la joie de vivre et l’abondance s’estompait peu à peu pour laisser place à de grandes inquiétudes des populations, nous faisions bien sûr de notre mieux pour aller aux nouvelles, chacun à l’écoute de nos Présidents respectifs, chercher à comprendre un peu mieux « le fond des choses » (ou le « filigrane des sentiments ») nous revenions ensuite nous retrouver régulièrement, continuant toujours à partager de belles idées (ou des gourmandises) élargissant notre table, essayant de dédramatiser la situation, ce qui finalement relève aussi « d’incidents relationnels affectifs » qui en l’occurrence peuvent aussi sembler bien « naturels » comme il en est sans doute chaque jour (ici ou là de par le monde) nous avions même été trouver tour à tour le Président « entre hommes », rappelant aussi
« Tu sais bien comment sont les Gonzesses... »
(Diaboulicus creatures)
... mais il en eut au contraire une réaction toute à l’opposée, se souvenant de leurs premiers temps de l’amour, lui trouvant à nouveau les plus grandes qualités (regrettant même son divorce) ... quelques temps plus tôt si chaque fois qu’il disait « sale pute ! » nous devions répéter après lui
« Ah oui, quelle sale pute ! »
... il ne fallait plus maintenant prononcer ce mot, on le voyait parfois « ébahi » regardant au loin par la fenêtre de son Office après avoir coléré toute la journée à crier après ses Généraux (ou autres domestiques) d’autant qu’on lui reprochait maintenant « la note » de tous ces grands mouvements militaires qui agitaient le monde, cela ne fut donc qu’un soupir dans cette symphonie tragique car il appris de plus, alors que tout avait été fait pour en garder le plus grand secret que le Président « Tarzan » avait une fois de plus réussi à retourner dormir dans les bras de son ex-femme en passant par les toits du Grand Hôtel au bout d’une corde après avoir réussi à survoler tout le pays en Montgolfière !
(Pour un bel envol)
... à nouveau ce fut des tirs de missiles aériens pendant toute une nuit où il détruisit entièrement son Office en poussant des cris de rage (entre deux coups de téléphone) par manque de chance les missiles avaient massacré des milliers d’oiseaux migrateurs qui se rendaient (en vacances) dans les pays chauds, hirondelles ou jolies Colombes blanches (en plus symboles de la paix) l’opinion mondiale en fût presque révoltée, depuis ce jour il l’appela alors
« Salope ! »
...et nous eûmes le droit de répéter (en chœurs)
« Quelle salope ! »
... ce qui contrastait quelque peu avec notre « étiquette » (ou notre bonne tenue) mais nous apportait aussi parfois en secret un peu comme une sorte de « récréation », dans tous les cas, alors que nous faisions tout pour éviter que bien d’autres « disputes latentes » ne ressurgissent, l’économie mondiale était bien en train de perdre en quelques semaines tous les efforts de bien être (bien vivre) améliorations, création de richesses ou dynamiques de croissance que nous avions mis plusieurs années à construire, c’est dire alors que nous en perdîmes même le goût de nos gourmandises, il se mit même à pleuvoir sur le monde pendant des jours et des nuits une pluie parfois torrentielle, nous en étions donc à espérer un miracle, jonglant avec les sceaux, bassines (ou serpillières) car les toits fuyaient de toutes parts jusqu’au jour où après une nuit fracassante sous les foudres de l’orage l’aube à la fenêtre laissa présager la venue (d’une nouvelle ère) par l’immensité d’un ciel de lumière d’or aux nuances orangées de rose amour où s’envolaient avec majesté des milliers d’oiseaux blancs magnifiques, véritable symphonie virtuose en mouvement de ces grands oiseaux de lumières aux belles destinées...
Ce qui réussi tout d’abord à désamorcer ce climat de « tension mondiale » qui en était à la limite de tout faire éclater, c’est... (chose étonnante) la sortie d’une chanson étonnante d’ailleurs qui devint très vite un Tube planétaire...
« You, me Hum ! »
(« Toi, moi oui »)
... on l’entendait partout sur les radios (les Tv) ou le Web, les gens se mettaient à danser dès les premières notes de la mélodie, il s’en fût la renaissance d’un grand mouvement de joie de vivre, le Président (Trompé) lui-même se laissa prendre au jeu, il fit une brillante interprétation du Titre en Karaoké, dansant même sur une seule main « Hum, hum » entouré de trois jolies « Pom Pom Girls ! » si bien que sa côte de popularité remonta (d’un grand bond) il se senti à nouveau aimé du peuple, nous en profitâmes alors pour lui dire qu’il serait apprécié davantage si les soldats pouvaient avoir quelques jours de permission pour rentrer chez eux s’essayer à la jolie chanson « You, me hum ! » qu’il fredonnait lui-même du soir au matin, il s’exclama soudain
« Diable ! Je les avais complètement oubliés ! »
... il demanda alors aussitôt le retour des navires (des chars) des avions, sa popularité remonta encore davantage bien que certains maintenant commençaient à lui demander des comptes sur la facture colossale (des « frais de déplacements ») nous n’insistâmes pas trop cependant par peur d’une « rechute », d’autant que (« la belle divorcée ») se permettait de ci de là des apparitions dans les magasines (parfois même de charme) nous le laissions donc « à sa renaissance », un peu comme « un grand enfant » qui a besoin de caprices après aussi bien des années d’usure du pouvoir (qui sans doute parfois agite un peu les neurones) dès qu’il sortait en public c’était un véritable attroupement joyeux de jolies Gonzesses (ce qui l’amusait beaucoup) suite à son interprétation de « You, me, hum » en dansant sur une main il en était devenu « LA » Star mondiale de « You me hum ! » (éclipsant même l’auteur) toute cette belle fraîcheur colorée lui redonna même de l’appétit, si bien qu’il en vint à penser...
« Après tout ce n’était qu’une connasse ! ... j’ai bien fait de divorcer, en plus j’ai de quoi payer la pension alimentaire pour les enfant(e)s (ils disent tous ça) maintenant je peux enfin avoir la paix (être tranquille) et avec toutes ces jolies Gonzesses j’ai vraiment de belles heures à vivre pour mon plus grand bonheur ! »
... à ces mots nous bondîmes presque de joie... le danger d’une rechute semblait maintenant écarté, il fallait cependant nous affairer (à « réparer les dégâts ») car les relations entre nos deux pays (ainsi que bien d’autres) avaient été mises à rude épreuve... il s’en trouva un véritable (soulagement mondial) revint l’allégresse des foules en chœur qui avec lui chantaient « You me hum ! » l’ air « funny feeling ! » le business, les affaires furent relancées, l’économie libérée de ses doutes repartit de plus belle (avec aussi tant de bonheurs a rattraper !) nous reprîmes goût (à leurs gourmandises) notre Président (Trompé) se plaisait plus que jamais à fredonner « son » Tube constamment entouré d’un essaim (de jolie muses) qui ne le quittait pas du soir au matin (jusqu’au soir) si bien que l’on envisagea de préparer une « rencontre officieuse» avec le Président « Tarzan » en vue de pouvoir présenter prochainement à toutes les populations du monde la symbolique d’une réconciliation entre nos deux pays ce qui apporterait aussi un grand soulagement pour le monde entier !
Ainsi, après avoir frisé (une catastrophe mondiale) il apparût à la sagesse de ce répit que nous en avions oublié l’un des aspects les plus importants de cette affaire, trop préoccupés à modérer la colère de notre grand Président (Trompé), c’est que « la belle » (ex-femme du grand Président) était en vérité belle et bien amoureuse du beau Président « Tarzan » (son Amant) de même qu’il s’était épris d’elle au plus chaud de son cœur (d’Artichaut)
... ou « Show » ... avec le relâchement des tensions, l’amitié retrouvée entre les peuples, les « langues » commençaient à se délier, l’on apprit alors que (« la belle ») était tombée amoureuse du beau « Tarzan » à l’occasion d’une rencontre « au sommet » (bien sûr) au-delà des préoccupations économiques ou sociales internationales, réfléchissant aussi sur le réchauffement climatique ou à l’extraordinaire essor (de l’énergie solaire) les jolies femmes pour qui tout bien sûr n’est toujours semble-t-il qu’évidence en sont de même très ouvertes à de nouvelles ententes (accords ou partenariats) avec toujours l’espérance de concourir à générer de belles prospérités (sur l’ensemble du globe) elles en sont d’autant plus émues qu’elles se montrent à l’occasion davantage séduisantes au regard du monde entier (sensibles à la beauté des esprits virtuoses) voilà pourquoi « la belle » fut bien charmée par le magnifique talent d’orateur du Président « Tarzan » qui cependant portait un beau costume d’élégance (et non un pagne en peau de Panthèse) ... son sens poétique pour les grandes visions « projectives » de l’avenir du monde doté d’un grand talent d’écriture, il paraissait même que c’était un musicien virtuose, écrivant des Tubes ou jolies « love Song » (à ses heures perdues) ... aussitôt après le premier regard où toute la journée elle fût (en « apesanteur ») combien d’années s’écoulèrent (ou bien rien qu’une seule seconde) aussitôt toutes les questions qu’elle semblait se poser tout au long du jour déjà quand vint le soir à la lumière rougeoyante de son amour enflammé s’étaient évanouies déjà de ses pensées car plus rien n’existe plus alors de ce qui pourrait empêcher l’amour, son cœur en secret ne vécu que de palpitations, on ne sait pas vraiment qui d’elle ou lui alla au devant de l’autre...
« Awoua (woua )»
... certains prétendent qu’ils auraient bien aperçu le Président « Tarzan » sauter d’un arbre pour rejoindre « la belle » au balcon de sa suite à l’hôtel (sous les étoiles) à ce que l’on raconte il fit d’ailleurs semblant de se blesser au Tibia en retombant sur le balcon (pour que « la belle » en émoi fut obligée de le réanimer...) il n’en fût ensuite que de rencontres secrètes aux fils des voyages, sommets (ou rencontres diplomatiques) rien que pour elle il murmurait (de douces chansons d’amour à l’oreille de « la belle ») tendre messages d’amour toujours à rêver « dreaming a better shining world !» bien des mails encore (avec tant de complicité(e)s informatiques) car beaucoup déjà savaient qu’il en était bien d’un grand amour comme peuvent le ressentir (si naturellement) deux êtres des plus (charmant) ou charmante... deux êtres des plus complices qui maintenant chaque jour se cherchent à longueur de temps ou se rejoignent avec grand bonheur à travers le monde (ou les déplacements Présidentiels)
... c’est donc la sincérité de ce grand amour qui émue les populations du monde entier, l’immensité du désir d’amour aussi lorsque l’on passe sa vie « à la suite » du grand Président menacé à chaque instant de perdre la vie, entouré presque à chaque pas (d’une cohorte de Bodyguards) plus même une seule seconde d’intimité (ou presque), toujours devoir se présenter malgré tout sous son meilleur jour (quoi qu’il arrive) que reste-t-il alors comme liberté pour une jolie femme autre que celle de rêver d’amour au plus fort de son cœur ? (... l’attente presque à chaque seconde) ... que se réalise enfin... (« la grande lumière de ce monde ») ... c’est exactement ce qu’elle ressentit lorsque son regard croisa celui du Président « Tarzan » dès leur première rencontre (« au sommet ») ainsi les journaux, la presse (les magasines) ... chaînes de Tv, Satellites, Web ou radio ne parlèrent plus que de cette magnifique « love story » (ce qui fit couler bien des larmes) le grand Président lui-même reçu des millions de lettres du monde entier écrites en toutes les langues l’incitant à la plus grande compassion pour son ex-épouse, il en fût ému au plus profond de son être prenant conscience par là même qu’il en avait peut-être bien lui-même (« oublié de vivre ») pleurant alors toute une nuit à chaudes larmes sous les étoiles en demi Lune d’amour puis dans le silence des grandes âmes alla trouver refuge dans les bras de ses jolies Muses en émotions...
« Si j’avais sû ! »
... au lendemain déjà sa bonne humeur était revenue (sans doute ses jolies Muses l’avaient-elle consolé) car il se promena toute la journée en peignoir blanc fredonnant « You, me Hum ! » avec un feeling « funny jazzy » nous en profitâmes alors le soir venu à l’occasion du dîner (en petit comité) je venais d’ailleurs de lui remettre une petite caisse de bouteilles de vin de Saint-Emilion que lui avait offert mon homologue diplomate, nous en profitâmes pour lui proposer un rendez-vous (informel) avec le Président « Tarzan » en vue d’officialiser leur amitié retrouvée et quelle ne fut pas notre surprise lorsqu’il nous dit soudain après nous avoir laissé parler pendant plus d’une heure à essayer de le convaincre pendant qu’il dégustait son vin de Saint-Emilion (un Château Montrachet 1987) il nous dit soudain...
« C’est exactement ce que je voulais faire, j’ai déjà pris rendez-vous ce matin avec le Président Tarzan »
... nous en fûmes « baba !» légèrement inquiet cependant car l’une de ses jolies Muses était venue nous dire qu’avant de prendre sa décision le Président (Trompé) lui avait demandé pendant toute une semaine de lui rapporter discrètement tous les journaux (magasines) ou articles qui parlaient de la liaison de son ex-femme (« la salope ! ») avec... (« Quelle salope ! ») ... avec le Président « Tarzan », il parcouru alors l’ensemble de la Presse, fût complètement bouleversé de lire les interviews (confidentiels exclusifs !) qui ne parlaient plus que de son grand amour pour le beau « Tarzan » à la fois grand visionnaire pacifiste du futur s’investissant de tout son être pour générer (une société d’abondance) pour le monde entier mais aussi des plus « Charming Prince » d’une belle élégance, un bel homme romantique doté d’un extraordinaire talent de musicien qui l’émouvait (comme jamais elle ne l’avait été dans sa vie) quand il lui chantait ses magnifiques « love Song » parfois même de douces larmes d’amour love ruisselaient sur la douce peau de son visage tendresse, elle en était redevenue rêveuse (comme il en est d’un premier amour) et si toutefois elle avait un regret, comme on lui posait souvent la question, c’est bien de ne pas l’avoir rencontré plus tôt dans sa vie !
... à ce que nous dit la jolie Muse le Président en devint « pâle comme un linge », elle crut même qu’il allait (tomber dans les pommes) si bien que la jolie Muse un peu affolée ne trouva rien de mieux à faire pour le divertir que de lui montrer alors un magasine de charme où justement « la belle » posait (dans toute sa splendeur) la jolie Muse jura avoir vu ses yeux « sortir de ses orbites », il resta quelques instants à essayer d’avaler sa salive puis se releva en poussant des râles (de « grand Cerf blessé ») trois autres Muses accoururent aussitôt pour venir aux nouvelles, il leur dit alors comme si le monde venait de s’effondrer...
« Je n’avais jamais vu qu’elle était si belle ! »
... tout ceci ne nous inquiéta pas outre mesure mais ce que nous dit ensuite la jolie Muse nous préoccupa davantage... elle nous dit alors qu’il fit mine de faire croire que tout allait bien (se donnant des airs un peu enjoués) un peu comme celui qui fait semblant de ne pas savoir alors que tout le monde autour de lui sait très bien qu’il sait ce que chacun sait (ou chacune) il se montra de même un peu trop « poli », attentif sans l’être aucunement même pour expédier la soirée au plus vite « l’air de rien » afin que tout le monde puisse aller se coucher sans que l’on puisse éveiller le moindre soupçon ce qui n’échappa pas cependant à la finesse d’analyse de la jolie Muse qui était venue nous confier son inquiétude car si elle avait bien compris que le cœur blessé du Grand Président n’en avait plus que faire de l’amour elle éprouvait cependant pour lui (un réel désir de l’aimer) avec déjà en secret l’audace peut-être de lui donner un jour (un « baby love ») qui serait peut-être même sans doute « LE » (ou « LA ») « baby light » tant attendue de l’humanité(e) toute entière !
... ainsi, elle aussi fit mine de ne rien montrer de sa clairvoyance avec toutefois la volonté sincère de veiller sur lui ayant pressentie une attitude assez ambigüe des plus inquiétante chez les hommes lorsqu’ils reprennent conscience après un gros choc (qui les a terrassé) une attitude comme issue d’un sens atavique de survie mais annonce bien souvent un règlement de comptes des plus (« hard ») qui ne trouvera probablement d’issue que dans la mort de l’un ou l‘autre des antagonistes, c’est dire si notre jolie Muse en éprouvait bien des tourments pour le « baby light » de ses envies dont ses rêves avaient enflammé le corps si bien qu’elle fit semblant de s’endormir dans le grand lit présidentiel en compagnie des autres jolies Muses pour s’apercevoir au beau milieu de la nuit alors qu’elle s’était assoupie que le Président n’était plus dans le lit !
« le malin... il a dû attendre que je m’assoupisse ! »
... sans faire le moindre bruit elle se couvrit d’une jolie descente de lit en soie brodée puis alla à sa recherche (pieds nus) à travers le Palais Présidentiel, elle ne tarda pas à le trouver d’ailleurs mais elle avait fait un détour par la Suite réservée aux invité(e)s qui comportait dans la salle de bain (un joli bidet en faïence bien commode pour rafraîchir ses secrets) elle le trouva donc ensuite très rapidement (avec son petit trésor) prêt à l’usage car il n’était pas loin dans une pièce attenante à son Office qui lui servait à la fois de bibliothèque de complément mais aussi de lieu où il entreposait les cartons de ses propres livres généralement invendus qu’il récupérait ensuite (en douce) pour les revendre discrètement aux bibliothèques municipales contre des enveloppes de Cash qu’il utilisait généralement (pour ses « faux frais ») bien souvent aussi pour récompenser ses proches collaborateurs tout aussi « macho » que lui lorsqu’ils allaient ensemble (voir « les filles ! ») comme tout un chacun d’ailleurs (si l’on peut dire) ... quand la jolie Muse le trouva il semblait tout d’abord chercher quelque chose qu’il ne trouvait pas, prenant ici ou là un livre qu’il regardait à peine pour le remettre aussitôt à sa place c’est alors qu’il se retourna et la vît soudain (si belle sous un rayon de Lune) qu’il en laissa tomber sur l’épaisse moquette moelleuse deux ouvrages précieux qu’il tenait sous son coude tout en réussissant à en rattraper un troisième au vol...
« You me hum ! »
... lança-t-il alors (avec grand style)
« enfin je te retrouve !»
... dit-il encore (en ouvrant les bras...)
« Viens ma douce que je t’embrasse... »
... elle se demanda tout d’abord s’il n’était pas (frappé d’hallucinations) et s’imaginait voir son ex-femme (la salope !) mais à cette heure personne n’était là pour répéter « Quelle salope ! » il lui dit alors
« C’est bien à toi que je pense en t’appelant si tendrement... (Really ?) ...viens donc me faire la lecture de ce livre des merveilles que je croyais ne plus avoir car je craignais qu’elle ne l’emportasse dans ses bagages... »
... il parlait bien sûr de son ex-femme avec la certitude selon elle qu’il n’en aurait plus jamais rien à faire d’elle surtout après le traumatisme (du magasine de charmes) avec les photos de sa belle !
« ... Qu’elle ne l’eusse emporté »
... lui dit la jolie Muse avec une petite moue pulpeuse qui s’apprêtait à donner suite au regard torrentiel qu’elle lui lançait tout en s’approchant contre son torse velu (et approuvé !) ils se câlinèrent ainsi comme deux êtres qui enfin se retrouvent enfin (ou se trouvent si beaux) ou belle si jolie la jolie Muse se sembla pas tout dire de ce qui se passa vraiment sous le rayon de Lune à l’exception (« qu’ils s’assirent bien sagement ») selon elle sur l’épaisse moquette pour qu’elle lui fasse la lecture de ce petit « livre des merveilles » alors qu’il l’écoutait les oreilles grandes ouvertes comme s’il contemplait (un(e) Ange d’or venue des Cieux) bien que ce livre dont parlait la jolie Muse n’était en vérité (après bien des aveux) rien d’autre qu’un « simple recueil » si l’on peut dire de textes dits (« plutôt salaces ») qui aimeraient bien être qualifiés d’érotiques bien qu’il n’en serait plutôt toujours selon la jolie Muse que de lectures discrètes (« plus appropriées pour les toilettes d’une Gare »)
... ainsi tout ceci n’est toujours pas trop inquiétant sinon le fait que la jolie Muse avait bien compris qu’il faisait bien semblant de chercher quelque chose juste avant (« qu’elle n’arrivasse ») dans « la bibliothèque des invendus présidentiels », elle ne chercha d’ailleurs pas vraiment à comprendre davantage trop heureuse d’être à nouveau (l’heureuse élue) dans le cœur du grand homme de qui son corps enflammé attendait déjà la venue du futur(e) « baby light », ce ne fût qu’au matin alors qu’ils s’étaient endormis tous deux sur l’épaisse moquette l’un contre l’autre après s’être épanchés tout le reste de la nuit qu’elle le vit sortir furtivement (juste quand elle ouvrait l’œil) juste le temps d’apercevoir un petit paquet de la taille d’un livre selon elle qu’il glissa rapidement dans son pantalon ce qui là encore n’aurait rien de très l’inquiétant si l’on ne savait que les services de sécurité du Palais avait déjà découvert par deux fois dans cette pièce (grâce à leurs détecteurs de métaux) des armes de poing de type (« Revolver 11 mm ») dissimulées derrière des livres de la bibliothèque de complément (alimentaire) mais que ni le Président interrogé ni même son ex-femme juraient n’avoir (« jamais avoir vu ça de leur vie ! ») ce qui laissait alors présager une « hypothèse » des plus inquiétante quand à l’issue de sa rencontre « de réconciliation » avec le Président « Tarzan » annoncée déjà (bien que tenue « top secret ») dans toute la sphère diplomatique mondiale ainsi que les médias les plus influents de la presse (du Web) ou de la télévision qui avaient déjà commencé à rédiger leurs articles d’après notre « dossier de presse » alors que la rencontre « au sommet » qui aurait lieu d’ailleurs (dans une Bergerie) d’un des plus hauts glaciers du monde était prévue dans quelques jours seulement, le Président avait d’ailleurs dit à sa jolie Muse toute amusée...
« Tu viendras avec moi en Jet’s ! »
... « vraiment ? » avait-elle répondu...
« J’en profiterai pour enregistrer un nouveau Clip de « You me hum ! »
(dans la neige...)
... suite « in my memory »
Emmanuel DIGNAT
Jolies Magic fee’s
présente
HUGH GRANT
(De la Californie au Paradis)
Synopsis de film cinéma
Auteur
Emmanuel DIGNAT (& ses jolies Chéries géniales)
Rédaction les 10 & 13 Avril 2016
Un Acteur charmant en Californie
(Ces deux-là vont mettre le feu quelque part !)
Lundi 28 Mars 2016
On pourrait croire que dans « un monde libre » tout semble possible pour réaliser son heureuse destinée de millionnaire (avec grand bonheur) mais en vérité l’on s’aperçoit finalement que rien n’est vraiment possible (si l’on n’est pas libre de pouvoir s’aimer en paix). Si on commence aujourd’hui à découvrir l’étendue des désastres dans bien des lieux du monde après avoir enduré pendant des années toujours moins de libertés (& toujours plus de « coups de bâtons moralisateurs ») qui ne sont que la « face apparente » du « toujours plus de Taxes » (on our back’s) il en avait été déjà peut-être même « au commencement » (comme « Adam » & « Eve » dans la Bible) d’une bien surprenante « affaire » (ou « love affaire ») qui avait surpris le monde entier.
Cette histoire a révélé aussi qu’il en était souvent de bien des prétextes en rapport au non (avec « Dieu ») pour essayer de porter atteinte à la personnalité d’un Acteur (des plus charmants) que l’on veut blesser mais surtout d’essayer ainsi d’évincer un « concurrent » (du « Movie Business ») voir même de « briser sa carrière » en raison des critères purement personnels de certains « Magnats des esprits » (ou de Satan) qui voudraient ainsi prétendre vouloir en imposer « au monde entier » de leur intolérance tyrannique (à l’encontre des gens qui s’aiment). Tout le monde se rappelle très bien maintenant (& surtout les jolies Chéries) qu’il s’agit d’une bien surprenante mésaventure amoureuse survenue à notre Acteur (bien aimé) le magnifique « HUGH GRANT » lors d’un séjour en Californie. On se souvient que le bienheureux avait été surpris (dans sa jolie voiture décapotable) en compagnie d’une jolie jeune femme adorable (& adorée) qui n‘était pas cependant (son épouse habituelle). Il en avait été très confus (comme « Confucius ») bien qu’il avait en vérité le plus humble des droits (comme des souhaits) d’être en amour love (avec sa destinée). A ce moment de confusion plutôt très dérangeant (la nuit sous les étoiles) on ne sait pas vraiment ce qu’il a répondu au « Sheriff » de garde ce soir là qui bien étrangement était en plus venu avec plusieurs autres voitures de « Sheriff » (pour un maximum de « sensations ») mais les Journaux & les TV du monde entier ont ensuite raconté qu’il était (avec une « fille de joie »)
Chose étrange encore suite aux enquêtes des Journalistes le « Sheriff » (en Chef) a prétendu ensuite qu’il s’agissait « d’un simple hasard » car il s’était simplement inquiété de voir passer (une jolie voiture) au bord de l’océan Pacifique qui se dirigeait « d’une manière plutôt discrète » vers un joli petit bois de Cocotiers (en bord de côte). Le « Sheriff » a précisé (qu’avec son instinct infaillible) il avait bien senti que « ça chauffait dans la voiture » et il s’est dit aussitôt « Ces deux-là vont sans doute mettre le feu quelque part ». Voilà pourquoi il a lancé une alerte en mobilisant tous les véhicules alentours sans savoir qu’il s’agissait du célèbre Acteur HUGH GRANT (le bien aimé). On dit que le « Sheriff » avait même demandé l’intervention d’un hélicoptère mais le plus proche était lancé dans une course poursuite effrénée avec un fugitif impitoyable qui venait de braquer (la caisse d’un « Supermarket ») mais que l’on n’avait pas encore pû identifier (jusqu’à ce jour) puisqu’il portait lors du braquage à cette époque (un masque de « Canard Laquais »)
Notre bienheureux Acteur « HUGH GRANT » ne se douta pas cependant ce que lui réservait (son épouse légitime) à son retour d’autant que toute la Presse du monde entier ne parlait plus (que de cette « love affaire ») et qu’il lui serait difficile alors de ne pas « aborder la question ». Cela aurait pû d’ailleurs mettre réellement « fin » à sa carrière d’Acteur puisqu’elle était aussi (sa productrice bien aimée). Par chance son épouse adorée était bien heureusement « plutôt cool » se doutant bien aussi (qu’un homme aussi charmant) devait éveiller bien des désirs (dans les cœurs des jolies Chéries). Alors qu’elle aurait voulu simplement « tourner la page » (peut-être une fois de plus) elle pressentie cependant que cette fois son bien aimé « HUGH » n’en avait pas tout à fait été « libéré » de cette relation amoureuse Californienne (sous les étoiles de sucre) puisque lorsqu’elle lui avait demandé s’il s’agissait bien (d’une « fille de joie ») il lui avait répondu avec une telle conviction affirmative « Que c’était bien ça » qu’elle en avait deviné qu’il devait s’agir tout au contraire (d’une véritable histoire d’amour love).
Pour essayer d’apaiser un peu (cette « love affaire ») elle eut alors l’idée de lui offrir l’un des rôles principaux dans un grand film de comédie à la fois (pour le mettre à l’épreuve) mais en même temps « pour l’emmener à réfléchir » c’est pourquoi elle commença par lui proposer soit de recevoir pour ce film un cachet confortable sans excès mais d’avoir alors un pourcentage sur les résultats du film afin d’en vivre pleinement l’aventure peut-être même (jusqu’aux étoiles) soit de recevoir tout de suite un cachet de « Star » internationale plus important mais à ce moment là (sans pourcentage pour l’avenir). Notre bienheureux « HUGH » si heureux de s’en sortir « à si bon compte » (du moins le croyait-il) s’empressa de signer son contrat en préférant encaisser tout de suite un plus gros cachet pour ce rôle plutôt que de prendre le temps d’attendre (avec le temps) d’autant que son avenir pourrait même peut-être être à nouveau compromis si toutefois (l’on apprenait de nouvelles « love affaires »)
Ainsi « HUGH » (tout à son art) tourna avec un grand talent ce film magnifique de comédie « 4 Mariages & 1 Enterrement » qui connu un extraordinaire succès auprès du public à la fois (pour son plus grand bonheur d’Acteur) avec bien de jolies Chéries en extase mais en même temps pour son plus grand malheur « comptable » (d’amoureux impatient). Le succès de ce film fut si impressionnant que toutes les autres Actrices principales (qui avaient choisi le pourcentage sur l’avenir) en devinrent millionnaires à souhaits en plus des acclamations du public contrairement à notre bien malheureux « HUGH » (qui trouvait son cachet bien étroit). Il s’était cependant rapproché à nouveau de sa productrice bien aimée (son épouse) qui a nouveau le faisait « flying » dans la galaxie (des plus belles étoiles d’amour love). Elle avait bien senti que ce grand film avait amené son bien aimé « à réfléchir » (doublement même) en laissant même peut-être transparaitre « certains regrets » c’est pourquoi elle se contenta simplement avec une certaine majesté (en guise de reproche pour l’aventure Californienne) de lui dire le plus simplement du monde « Tiens mon Hugh voici ton cachet… Tu pourras même aller voir « les filles de joie » si ça te fait plaisir » et notre bien aimé « HUGH » de lui confier alors « Si tu savais comme… » elle lui répondit aussitôt « de ne pas en dire plus » et qu’il devrait en profiter pour retrouver un peu ses amis de toujours à son Club littéraire (du « Cercle des Poètes Disparus ») ce à quoi son bel « HUGH » s’exclama « En voilà une bonne idée darling ». Notre bien aimé « HUGH » (aux Anges) s’en alla nonchalant comme si l’on entendait (des chants de petits cœurs). Quand il fut dans l’Avenue (toute éclairée de romance) il fit même un petit signe de la main à sa bien aimé (qui le regardait par la fenêtre) juste avant de monter (dans sa jolie Jaguar rutilante d’amour love)
A ce qu’il parait la voiture roula doucement avec majesté (sous un ciel plein d’étoiles) mais dès que la magnifique Jaguar de HUGH disparue soudain (dans une allée bordée d’arbres) qui donne sur l’Avenue certains passants prétendent qu’ils entendirent alors de terribles « rugissements du moteur » suivis encore de nombreux « crissements de pneus » (comme dans un Rallye), d’autres promeneurs affirment même ce soir-là avoir vu passer en trombe « un véritable bolide en feu » qui parait-il a terminé sa course (non pas dans un platane) ni même vraiment au « Club des Poètes » mais juste devant (un autre type de « Club ») pour les poètes de l’amour en faisant un extraordinaire dérapage qui fit sortir (toutes « les filles » aux fenêtres !) Le bienheureux « HUGH » (tout sourire en joie) s’écria alors tout de bonheur « Venez mes jolies Chéries ! » elles se précipitèrent (toutes heureuses) dans la belle « Jaguar » et le bien aimé HUGH repris sa course aux étoiles jusqu’à l’Aéroport pour s’envoler aussitôt dans un magnifique « Jet » sous un ciel extraordinaire tout éclairé de lumières scintillantes. A la magie de l’amour love (pour un voyage magique) entre des nuages de coton rose le magnifique « Jet » les emmena ainsi plus vite qu’une étoile filante (jusque sur une île du paradis)
... C’est vraiment dommage mais je ne me souviens plus très bien de la « fin » (Mais si… elle est géniale !)
… So Mimi Lion’s is the best crazy bass player ?
(in the world)
… Exactly Beyouce
… Divinity is very happy to play now with you !
… She is the best one !
(The best in love !)
… One, two… One Two Tree four !
… Un deux, un deux trois quatre !
… Ecoute Beyouce t’es pas dans le Tempo
… C’est jouste pour parler le français
(Tu as fait coucou à la TV ?)
… Non Boop’s… j’étais dans les coulisses
(Et après tu as joué des Tubes pour le Top 50 ?)
… Absolument. Je voulais revenir voir la productrice quand j’ai rencontré ma jolie « Nelda »
(playing a Hit maxi funky !)
… Pour les USA même !
(C’est elle « la belle Noire de Californie »)
… Mais un soir la nuit sous les étoiles au jour de la fête de la musique…
(c’est le Crash Car )
… qui a manqué de me coûter la vie Boop’s
(Alors tou as été au ciel faire le coucou aux Divinities !)
… J’en ai ramené bien des love songs Beyouce
(Pour faire des grands voyages d’amour love)
… Toi Petite…
(Je suis de la dynamite)
Voilà maintenant la suite de notre film magnifique (avec les jolies Chéries) & le bien aimé HUGH (de « Big Ben in California »). Le scénario aurait pû se terminer ainsi lorsque HUGH (l’intrépide) après avoir encaissé son cachet s’envole en « Jet » avec « les jolies filles » (dans un grand ciel de sucre) sous les lumières étincelantes des étoiles (à destination du Paradis) oubliant ainsi quelque peu son épouse (& bien aimée productrice) qui venait pour le faire réfléchir (à ses « égards de conduire ») au volant de sa belle « Jaguar » de lui faire tourner le film magnifique « 4 Mariages & 1 Enterrement » qui connu un immense succès mais qui hélas fut de « maigre ressource » (pour notre bien aimé « HUGH ») qui n’avait s choisi l’option « pourcentage » (& croyance en l’avenir partagé) avec son épouse & productrice du film.
Ainsi notre scénario aurait très bien pû connaitre une magnifique (« Happy end in love ») mais toujours pour donner toujours plus de bonheur à notre public très heureux déjà l’auteur (& coproducteur) a ressenti « au feeling » qu’il conviendrait alors que cette apothéose mène encore (à une plus haute apothéose). On peut dire à notre bien aimé « HUGH » que l’on peut écrire aussi des « fins » légèrement « tragique » (ou même complètement tragiques) qui en soient toutes aussi belles (de toute façon c’est du cinéma « HUGH ») mais avant d’en être vraiment sûr j’ai voulu à l’heure du Thé m’enquérir de ce qu’en pensait (notre bien aimée « Reine Elysabeth »). Elle venait justement de demander (à la Princesse « KATE ») de demander à ses copines de savoir ce qu’il en était (du bien aimé « HUGH ») et il se trouve que « HUGH » est bien justement (quelqu’un d’adorable & charmant) ce que je savais déjà puisque « HUGH » est l’un de mes amis depuis longtemps comme l’était mon copain « JOHN » (le petit champion) dans mon enfance (ainsi que sa sœur « KAREEN »)
… Je me souviens plus vraiment très bien de la fin
(mais si… elle est géniale !)
C’est pourquoi dans la suite magnifique de notre scénario de film le magnifique « Jet » (comme une étoile filante) s’envola tout en grâce céleste (dans un ciel de sucre en amour love) emportant le bien aimé « HUGH » (bienheureux avec les jolies Chéries) jusque sur une île magnifique de l’océan pacifique (qui ressemblait au Paradis). On devine bien alors tout leur bonheur entouré(e)s également (par bien des jolies « Vahinées ») portant des colliers de fleurs (& de perles rares) comme les oiseaux de l’amour pour partager encore bien des jolies chansons d’amour (le soir sur la plage) alors qu’au loin sur l’océan tout l’horizon se couvre de lumière d’or (in love) il n’en était plus pour « HUGH » qu’une immense joie de vivre fredonnant même parfois sous une cascade (d’eau bénite) l’air bien connu de « fraîcheur de vie » (hollywood chewing-gum)
Pendant ce temps loin de là (notre bien aimée productrice) ne fut pas vraiment étonnée de son absence dans les jours qui ont suivi puisqu’elle le croyait toujours avec ses bons amis du Club littéraire (du « Cercle des poêtes disparus ») pensant même que son « HUGH » (le bienheureux) était parti à la campagne avec eux probablement « en séminaire » (dans un « Monastère ») comme il est parfois coutume de le faire (pour retrouver son âme). Un peu inquiète cependant au fil des jours elle commença à se demander ce qu’il pouvait bien faire (d’autant que son Phone ne répondait pas) si bien qu’elle prit sa belle voiture pour faire le tour (des « Monastères » de la région) en arrivant alors à se demander si elle devait en être « désespérée » de ne pas retrouver son « HUGH » (ou tout au contraire s’en réjouir). Elle ressenti cependant des moments de grande solitude se sentant parfois un peu abandonnée alors qu’elle se demandait même s’il n’était pas retourné en Californie (retrouver sa « fille de joie ») ressentant alors comme une immense tristesse puisqu’elle avait soupçonné son « HUGH » de l’aimer plus fort qu’il ne l’aimait et d’avoir fait croire à tout le monde qu’il s’agissait d’une « fille de joie » alors qu’il en était en vérité dans son cœur (d’une grande histoire d’amour love)
Au bout de ses tourments alors qu’elle avait parcouru en vain tous les « Monastères » de la région (avec sa belle voiture) elle trouva refuge dans une charmante Auberge où elle fit la connaissance d’un monsieur des plus charmant qui de plus (ressemblait à « Sear Connery »). Toute la lumière qui émanait des quelques mots délicieux que savait lui prodiguer ce bel homme (qui s’était épris d’elle) la ramena peu à peu à la vie faisant naître en elle à l’aube de la promesse d’un grand bonheur (une véritable onde d’amour). Elle en vînt même très complice à rire aux éclats lorsqu’il lui avoua être lui-même « un défroqué » c'est-à-dire (un ancien moine qui avait repris ses libertés)
On ne sait pas si au menu il y avait du « Canard laqué » (ou aux Ananas) mais l’on sent bien maintenant alors que sur toute l’immensité de l’horizon s’élève une musique splendide qui laisse entendre la voix saisissante (d’un chanteur de love song) toute en émotion dans la douceur d’un grand orchestre symphonique « Tell me, tell me why, why, why, why… » (« i love you i looove yoou ») qui nous emporte alors à nouveau dans un grand tour du monde (tout autour de la Terre) jusqu’à la petite île merveilleuse de l’océan pacifique (au goût de Paradis) où l’on retrouve en plein bonheur de sucre le bien aimé « HUGH » (plus bienheureux que jamais) car il vient justement de retrouver lui-même (la « fille de joie » de Californie)
C’est maintenant un grand jour sous le ciel orangé d’amour love d’une grande métropole resplendissante en « pomme d’amour love » (qui nous semble toute de bonheur) puisque revoilà le bien charmant « HUGH » (tout en amour avec la jolie « fille de joie » de Californie) de même qu’il est accompagné encore toujours tout de bonheur bien complice (par ses jolies Chéries) lorsqu’il retrouve par hasard près d’un joli square (sa productrice bien aimée) très « funny class » avec à son bras le bienheureux (« Sean Connery »). Il en est bien maintenant d’un certain ravissement où l’on sent bien maintenant une grande amitié qui cependant laisse poindre (un certain agacement) lorsqu’elle dit à son HUGH
… Je viens juste de voir ton dernier film !
… Ah oui ? (répond « HUGH » toujours sur son nuage d’amour)
… C’est vraiment un grand succès…
(il y a plus que lui à l’affiche dans toute la ville)
… Mais le titre…
… C’est joli non ? (dit le bien aimé « HUGH » avec un sourire charmant)
« 4 Babies & 1 Divorce »
… Dans toutes les salles !
… J’ai même pris un pourcentage (lui dit encore « HUGH » le bienheureux)
… Gloops !
(Avec un gros cachet d’amour love)
Interview de « Mimi Lion’s »
(Auteur & coproducteur du film)
J’écoute alors « I have a Dream » une très jolie chanson chantée (par « Frida & Agnetha ») du groupe « ABBA » (mais où sont passés les 2 autres ?) « Benny » & « Björn » (le guitariste). Je ne sais pas du tout « Boop’s » mais c’est l’une de mes chansons préférées que j’avais d’ailleurs découverte grâce à ma grande amie « Princess Joy » qui adore cette magnifique chanson dont elle aimait beaucoup une reprise chantée par le groupe «Westlife » (les 5 beautiful « bad boys »)
Pour survivre à cette chanson magnifique si loin en « Enfer » j’ai heureusement aperçu (au-delà de l’océan) les « Bee Gees » de Californie qui chantaient « Staying Alive » (les cheveux longs dans un vent de fleurs) « Peace & love » cela nous a redonné l’envie d’écouter « la Balade des Gens Heureux » (de Gérard Lenormand) avec ensuite un magnifique « Hit » (de 4 « Diaboulous ») des plus charmants « les Rubettes » que j’adore (« Sugar Baby love ») pour nous emporter ensuite dans les mélodies très colorées d’un célèbre chanteur de variété que j’adore particulièrement (depuis son enfance) le bien aimé « Claude François » (& surtout ses jolies danseuses ?) effectivement « Boop’s » on se ressemble beaucoup d’ailleurs (dans ce feeling) qui chante justement « Je vais à Rio » (de Janeiro) en bondissant lui aussi comme un « diaboulous » jusqu’au ciel (avec ses « Clodettes » enchantées) pour nous chanter encore ensuite « la chanson populaire » (ça s‘en va & ça repart) qui enchante les foules de bonheur comme nous allons bientôt repartir vers un monde plus heureux (& librement enchanté) sans oublier d’écouter toujours en apothéose (en cœur avec ses jolies Chéries d’amour) la magnifique chanson de « Demis Roussos » (from Greace) « Ever for Ever love »
A l’occasion de cette magnifique soirée que nous avons partagée (avec le bien aimé « HUGH GRANT ») certaines personnes avaient pensé que dans notre magnifique « love story » (de la Californie au 7 ème ciel) c’était ma jolie « Coconut’s » qui pilotait le magnifique « Jet » qui emmenait dans un ciel de sucre le bienheureux « HUGH » (avec les jolies Chéries d’amour) jusque sur une petite île du Paradis de l’océan Pacifique. A vrai dire ce n’est pas exactement ça puisque si j’avais bien mis le « Jet » de notre société « BG° GOLDEN » à la disposition de mon grand ami « HUGH » (pour son voyage de noces) vous pensez bien que dès que ma jolie « Coconut’s » est arrivée à l’Aéroport avec le « Jet » je suis venu aussitôt la retrouver (elle revenait des îles Canaries) pour être bien sûr qu’elle ne disparaisse à son tour (dans le Harem de « HUGH ») d’autant qu’elle était toute heureuse de venir me présenter (sa toute dernière collection de petits « Bikinis »)
« love Song Concert »
(in love with the World !)
De la Californie au Paradis (avec Hugh GRANT)
It's no my fault (C'est la faute du bonheur)
Jolies Magic fee’s
Présente
It’s no my fault !
(C’est la faute du Bonheur…)
(THE Movie !)
2014
Author
Emmanuel DIGNAT (avec ses jolies Chéries & la jolie Betsy du Denny’s !)
Golden Spring’s Consulting SAS - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
Conférence
Conférence de Emmanuel DIGNAT (imanouel !)
… découvreur de « la Projective »… Artiste (Author, singer & musician composer)
... c’est le Grand Gourou (des Kangourous !)
… " learning !! ! "
(Apprendre en s’amusant…)
… le feeling d’enseigner… sharing lights with peoples !
… to make a movie again ! (la suite)
… après nos premières approches (sur « la lumière »)
… « Why to learn a Job ? »
... 80 % des grand(e)s cinéastes sortent d’une grande école de cinéma, 20 % sont des « Self made man » (men or women) … je suis toujours sur la route qui relie Los Angeles à Las Vegas je conduis (his beautiful car) en faisant la course avec les gros camions (so funny trucks !) qui roulent à fond me saluant au passage quand ils me dépassent (« The Kings of the road ! ») des amis bien sûr d’un ami (de longue date) « a long time friend ! » qui me fait des blagues avec les camions semi-remorques, c’est bien sûr (Steven Spielberg !) en référence à son premier long métrage tourné dans ces mêmes décors où je suis en train de conduire « so funny !» (his beautifull car) tout en écoutant de la musique Californienne (so funny) à la radio searching always (sa belle Noire de Californie)
… MY love Chérie !
... (cours après moi que je t’attrape) je l’avais rencontrée en France à Paris quelques temps plus tôt (toujours si chère à son cœur) mais qui depuis s’est envolée
( Tears… )
(une larme)
Cette belle poursuite (avec les « big Trucks on the road ! ») me rappelle le premier film « un peu fou » de Steven tout juste sorti de son école de cinéma, je sais d’ailleurs que le tournage n‘a pas été facile, beaucoup de talents bien sûr, d’efforts encore mais aussi toujours bien des risques, le film s’appelle « Duel » je crois (traduction française du titre du même nom en Américain !) avec les Trucks qui se poursuivent à toute vitesse sur les routes du désert au Nord Est de Los Angeles, on retrouve notre pauvre Steven avec sa caméra
« Action ! »
… ils l’avaient attaché à tout l’avant de la voiture « Sometimes on the roof ! » (« où même parfois sur le toit ! ») pour qu’il puisse bien filmer dans l’action (au plus près de l’action) bien souvent face aux camions lancés à toute vitesse, donnant un coup de volant au dernier moment, Steven en était obligé de changer de casquette tous les jours, il avait même sur le tournage (une Assistante spéciale) rien que pour porter son gros carton de casquettes neuves, sans oublier le gros camion citerne prêt à exploser à chaque instant, virages, dérapages, tous lancés dans une poursuite infernale Steven toujours accroché à l’avant de la voiture avec sa caméra (et sa casquette du jour) se retrouva maintenant à flanc de montagne, roulant de plus en plus vite avec davantage de dérapages encore, virages des plus périlleux, sans oublier un virage devenu très célèbre dans l’histoire du cinéma, c’est justement le virage (qu’ils ont loupé !) roulant bien trop vite pour ne s’arrêter en dérapage qu’à la limite du ravin avec un dernier coup de frein face au vide
« in extremis ! »
Heureusement Steven était bien attaché (il en a quand même perdu sa casquette)
« All is going so fast ! »
(« Tout va si vite ! »)
Comme la vie Chérie... Steven réalisa ensuite un autre « movie » des plus surprenants avec cette fois des requins (il avait déjà tout compris au Business) ce film de cinéma « Squal ! » (ou « les Dents de la mer !» ) plein de sensations fortes, de « questionnement humain » avec un suspense (presque insupportable) effraya aussi presque toutes les populations de Californie sinon du monde si bien qu’il se fit réprimander (le Galopin ! ) bien qu’il essaya quand même d’expliquer malgré tout que son film faisait aussi prendre conscience du danger que représente les requins !
« as an evidence ! »
Pas fâché cependant Steven fut ensuite « recyclé » il réalisa alors (« ET… l’Extra-Terrestre ») un magnifique movie très (soft romantic dreams) immense succès mondial
« so feeling filigree… »
(« avec en plus un paquet de millions... »)
Que pouvait faire encore Steven maintenant, richissime à souhaits, célèbre dans le monde entier (tout comme mon Chéri bientôt) ou presque déjà Chérie... que pouvait-il faire à part (« s’amuser encore ») quelques escapades avec « Indiana Jones » (et son fouet redoutable) on remarqua cependant une récidive de ses turbulences avec les « Gremlin’s ! » (so diaboulicous) le trop célèbre Steven se montra d’ailleurs très malin pour ce film magnifique qu’il a produit en prenant un complice comme réalisateur du film (Joe Dante) pour faire croire que ce n’était pas lui avec là encore un immense succès sans doute dû aussi à une scène extraordinaire du film tournée en « plan-séquence » (la caméra qui se déplace en travelling) pour suivre plusieurs actions simultanées (des Greemlins) dans un décors extérieur vallonné avec de belles villas de bois alors que... (les petits diables) s’amusent « comme des petits fous » à jouer à qui fera (les plus grosses bêtises) ... que pouvait faire alors Steven très heureux d’avoir réussi son tour (« de passe-passe ») que pouvait-il bien faire d’autre encore à part (s’amuser davantage) ce qu’il fit encore avec (« des Dinosaures dans un parc d’attractions ! ») explorant ainsi le temps (& les êtres) avec « Jurassic Park » à peine de quoi passer le temps quand on est un grand Génie (« comme moi ! ») c’est bien ça Chérie... il eut alors la bonne idée de créer une Major(e) Compagnie « Dreamworks ! » pour produire ses films (avec un élargissement du catalogue) une société qui connue rapidement un formidable succès, l’audace du défi jouant avec bien des milliards « filigree » (l’audace fut récompensée) on peut voir aujourd’hui le pauvre Steven avec une belle casquette toute neuve
« flying in Jet’s all around the world !»
... il produit bien des films de ci de là « always giving hopes to peoples… » nous confie (son épouse) bien souvent même il passe nous voir à Paris ville lumière une ville qu’il aime beaucoup (il connait aussi les bonnes adresses…) j’attends bien sûr d’avoir bientôt mon propre (Jet’s !) pour faire la course avec Steven (à Mac 3 !) ou Mac Do Chérie… je vais d’abord créer pour commencer (« une petite Major(e) ») avec ma Société « BG° Golden SA » histoire de récolter un peu (de « filigree ») il aime d’ailleurs beaucoup les jolies Beauties (d’amour love) je pense à vous mes Chéries, la prochaine fois qu’il passe …
(on ira au Mc Do)
Je parcours la liste des genres au Cinéma « Action ! » aventures (comédies) drames ou tragédies avec de la fiction, des documentaires ou même (de la fiction-documentaire) bien des registres colorés, bien des possibilités d’expression (plus ou moins libres ou respectueuses) ou d’expressivité surtout si belles (pour nos amour loves) j’adore les films d’amour, films de gangsters ou films policiers (mélodrames) films burlesques, comiques ou Thrillers palpitant de suspense !
... bon chic bon genre toujours ?
Le drame social (ou de sociétés) toujours les films de guerre, d’époque comme les films (de Cape et d’épée) de Damoclès ou des 3 mousquetaires peut-être voyager dans le futur avec les films de science-fiction qui proposent aussi des anticipations plus ou moins « Projectives » (flying in Jet !) ou la reprise (du « TGv Train ») sifflera 3 fois magnifique Western bien sûr avec toutes les évolutions possibles sur la perception des événements de l’histoire du « Cow-boy » (ou des indiennes) on a même dans un style un peu comédie « les Western Spaguetti ! » (pour vous dire) qui étaient tournés en Italie ou en Espagne (ça faisait un peu loin d’aller au Texas) ou encore les films biographiques bien souvent passionnants (comme pour sa vie avec « fils de Tube’s ») toujours les films musicaux (« The Best Crazy Bass Player in World’s ! ») comédies musicales ou dessins animés souvent fort émouvants (pour les petites)
... Tout ce que vous voulez…
Chacun peut aussi créer (son propre genre) avec son style comme par exemple mes comédies (funny love stories) j’ai aussi parlé des adaptations littéraires (ou de Blog) comme mon film « You Sea (notes) » ou simplement l’adaptation d’un bel ouvrage (un Bon Book) qui ne sont pas spécialement un genre mais plutôt « une manière de recréer » souvent très réussie (comme certains adaptent certaines de ses œuvres ou idées en oubliant de régler la note…) sans oublier alors « les films d’espionnage » voir évidemment (de conséquence) « les films catastrophes » (le Grand Procès 707) avec toujours parmi les plus grosses recettes ou nombre d’entrées historiques (les films érotiques…)(flying loves dreams) comme ce soir toujours sous les étoiles mes jolies Beauties écoutent de leurs grands yeux d’amour
(ses jolies histoires d’amour)
… à « l’école du scénario »
2014
Ce soir un petit travail d’écriture…
« Prenez une feuille de papier »
J’écris alors quelques scènes de l’un de mes long métrage de cinéma en cours « la belle Noire de Californie » avec bien des commentaires « in live » j’écris donc « It’s your fault ! » (ou la faute du bonheur ?)(voir plus loin son Synopsis) j’insiste ensuite sur l’importance de « dactylographier » ses textes sur Computer (avec un logiciel pour l’orthographe) car autrement l’écriture manuscrite est généralement illisible pour les autres, encore je dis à ceux ou celles qui ne savent pas écrire qu’ils ou elles peuvent toujours faire des dessins, les filmer ensuite comme je l’ai déjà fait avec mes dessins d’Arts ou œuvres graphiques (encore des chefs d’œuvres) où bien si l’on a un budget avec un minimum de moyens de mettre en scène « les dessins » (memories) pour réaliser le movie…
Autrement sans textes, ni dessins il est toujours possible de réaliser des movies « au feeling ! » voir même avec un phone, une Webcam (ou des caméras de surveillance) en un plan séquence par exemple ou bien plusieurs plan séquences mais il se pose alors ensuite la question « du montage » du movie pour assembler les plans (les images) c’est d’ailleurs un Job comme le scénariste, les actrices ou acteurs ou encore le réalisateur (la metteuse en scène) avec toujours « la script Girl ! » le producteur ou la productrice, la prise de son (les prises de vues caméras) la lumière, tout ça c’est des Job’s avec encore les costumières, les maquilleuses ou accessoiristes (même l’Assistante qui porte le carton de casquettes…) & le compositeur bien sûr pour la musique du film !
Des équipes très riches, complexes, où le feeling est des plus essentiels mais on trouve aussi à l’inverse de rares « phénomènes » de grand talent qui sont à la fois « Acteurs-Scénariste-Réalisateur-Producteur-Musicien » (Tout en un !) c’est très rare comme par exemple Charles Chaplin (ou bien encore Emmanuel DIGNAT) c’est aussi pour ça que je coûte très cher avec beaucoup (de millions filigree) on peut donc filmer en un plan séquence pour faire un film ou bien en plusieurs plans séquences comme je l’ai fait à Paris déjà en 2005 avec « The Best Crazy Bass Player in Worlds » un premier essai de plus d’une heure quarante que j’ai filmé avec une webcam pour être diffusé sur le Web j’étais alors un artiste (so shining) assez « pionnier » (des hautes technologies) mon film est aussi le premier de l’histoire du cinéma qui raconte la vie de l’un des meilleures Bassiste au Monde (c’est lui) comme je l’étais déjà en 2003 à Paris (puis en 2006 toujours) & encore toujours comme je suis en train de le redevenir en 2014 après 7 années d’arrêt où j’ai été victime d’un véritable (meurtre d’un artiste !) redevenir d’un des meilleurs (l’être encore)(ou déjà)
(Je suis pressé !)
... Waiting for a good contract with so many millions (and taking in his bags all his jolies Chéries)(pour faire les Chœurs)
... Thank you very much !
… and you can start today right now to feel a good movie !
« YOUR movie… »
Après bien des acclamations ma conférence se termina ainsi (dans les backstage)
«Voyez les résultats !
(son chèque est prêt ?)
... C’est bien le bon montant oui... en effet, il y a beaucoup de chiffres
(ce qui est rare coûte cher…)
(Sans oublier la qualité de l’excellence bien sûr)
… mettez « Emmanuel DIGNAT »
(ou « Golden Spring’s Consulting »)
... Comme vous voulez
… C’est bien ça, merci bien
(Thank you)
Je vous l’avais dit « Satisfait(e)
(ou remboursé(e)s !)
« bye ! »
(i’m coming)
Jolies Magic fee’s
Présente
It’s no my fault !
(C'est la faute du Bonheur)
THE Movie
2014
Author
Emmanuel DIGNAT (avec ses jolies Chéries & la jolie Betsy du Denny’s !)
... i’m coming !
La freeway (he drives a beautiful car) à la radio j’écoute de la musique Californienne « so funny ! » 40° à Los Angeles je fonce à Las Vegas (always trying to find HIS love Beauties) « so many trucks on the road ! » une véritable poursuite (so fairplay with the drivers) des amis d’un ami qui me fait une blague avec les « Kings of the Road ! » pour s’amuser à faire un film (so nice movie) les grands espaces, la route défile, j’espère arriver avant la nuit, tenter ma chance aussi au Casino (retrouver enfin peut-être aussi ma fortune) (he drives so fast ) la poursuite avec les camions toujours en musique, bientôt le coucher du soleil, après des miles & des miles (« Smile ! ») j’arrive sur une colline qui surplombe toute la ville (Las Vegas) déjà j’aperçois les enseignes lumineuses (he feels the chance coming) j’aperçois alors un « Denny’s restaurant » juste sur la gauche, là je décide soudain de changer de film « now i do MY movie ! » (au feeling) faire MON film en quelques secondes j’évite de justesse un camion en sens inverse, je donne aussitôt un grand coup de frein à main au milieu de la route, ma voiture virevolte jusqu’au parking (du Denny’s ?) grand coup de patin, crissement de pneus en fumée aussitôt deux jolies serveuses sortent du restaurant en courant (des jolies Beauties !) les yeux écarquillés…
« It’s your fault ! »
(ou la faute du bonheur…)
... une comédie so funny loves !
Je fais comme si je les avais pas vu, je sors lentement de voiture (l’air de rien) avec mes Nike’s blanches, mon Jeans délavé (« no » pas mon jeans troué Chérie) (un tout neuf...) mon polo Lacoste (tout de blanc aussi) mes cheveux mi-long dorés par le soleil (toujours ses Ray-ban…) que je retire en retenant ma respiration (« no » je n’avais pas encore ma casquette) ... les jolies Beauties me regardent (avec des grands yeux) jolies sourires déjà complices l’envie de rire elles font
‘’ Ohooo…’’
… je fais « Hi !»
Un silence (on the moon) je demande
« Do you have french-fries ? »
… ‘Ô yes ’’
… Yes, come please
Si charmantes (complices…) je prends place, une jolie table d’où je vois toutes les lumières de Las Vegas au loin par la baie vitrée (déjà la magie) venue du ciel, un délicieux « Bacon Cheese Burger » avec du bon (Cofee) & Coca bien frais avec des petites bulles de bonheur déjà nos yeux pétillent d’amour (une petite salade ?) oui Chérie pour accompagner (les « french fries ! Yes ? ») je suis affamé, le ciel orangé déjà lueur d’or quelques étoiles au loin 40° toujours (dans mon cœur) (so flying love dreams so complices ?)
... « come please »
Yes ?
Elle s’avance doucement comme si elle avait pas entendue je lui dis alors comme un Ange
« i am the chance of your life »
( ?° )
Elle fait semblant de ne pas le penser avec l’air amusé
… may be ?
« ou Mayflowers ?»
La voiture maintenant (elle & lui) on roule doucement (tout bonheur) ou presque Chérie... (Presque !?) ... on roule dans Las Vegas toute éclairée les grandes enseignes
(« so beautiful light colors ! »)
... « Yes Darling »
Un joli Casino me tend les bras, l’entrée toute éclairée de lumière d’or (« so funny ») complices en attente l’envie de rire sourire (enjoy love enjoy life !) regards d’amour… un peu stupide je lui dis encore
« A chance for your Bank Account too…»
Je choisi alors une belle machine à sous, au feeling (« This one yes… ») ma pièce de 50 cents, je joue, j’attends... « le Gling, Gling, Jackpot ! » j’attends (he is waiting) un peu inquiet… j’avais pourtant calculé les meilleures probabilités en choisissant une petite machine à sous (pour un petit Jackpot de seulement 10 000 ou 20 000 dollars) ... tout ce temps (si long en un seul instant)(for your Bank Account Darling) ... j’aurais dû me taire (« may be ?! ») ... je n’ose la regarder (elle est si jolie) d’ailleurs quand je me retourne je la vois justement s’éloigner sous les étoiles (si belle) je la regarde alors si belle un peu stupéfait aussi me demandant si je l’avais fâchée sans doute encore un peu (complice ) j’espérais encore alors même que je ressentais (comme une attirance magique) qui me disait bien sans doute qu’il y aurait peut-être bientôt quand même (un autre Jackpot ?)
(Divinities…)
Mon cœur si fort d’amour soudain s’élance je donnerais tout rien que pour elle si belle (si jolie) alors de ma belle voix d’Ange (« so funny love ») je me mets à chanter sous les étoiles
« Why, why, why (why) why ? »
(son célèbre Tube !)
Elle se retourne alors un peu surprise (semble-t-il) s’approche lentement (« so magic fly ») n’en croyant pas ses grands yeux (« so shining loves ») pour me dire
« C’est toi qui chante cette belle chanson !? »
(It’s you are singing this nice Tube’s !?)
Je dis rien du tout (du tout) tout en pensant (« Yes, yes, yes, it’s me, yes me… ») ... à peu près ça Chérie en effet si proche maintenant presque sur mon cœur (in loves) je regarde le ciel les étoiles
« look… a flying star »
… elle fait
‘Ôoooo... ’’
( ?° )
40° toujours, peut-être plus même cette nuit là sous les étoiles la Légende dit qu’elle était si belle d’amour qu’ils n‘ont pas vraiment fait attention avec (elle si jolie)(him so in loves)
(« and they forget ! »)
… ils (ou lui) avec elle aussi sans doute ... « ils » ont donc oublié(e)s de mettre… (la climatisation) « in the car » (« exactly ») il faisait donc si chaud que la voiture (en amour(e) a même fondu (on loves shining waves) ne laissant à la place qu’une belle flaque d’or en fusion toute illuminée d’amour (so shining golden lights) « under the shining stars » Chérie ... et qu’il naquît ainsi (une jolie ‘’ petite fee ‘’) toute adorée d’amour… sans doute « in the car » (« Yes ? » come please…) si complices avait-il oublié sa boite de capotes dans sa poche !
(« exactly ») (je pensais à autre chose Chérie, tu penses bien…) (love is love !)
On raconte encore que parfois la nuit sous les étoiles (la jolie petite fee) s’envole (flying loves) parcourant le ciel du monde entier (nice peoples) c’est pourquoi bien souvent bien des gens (du monde entier) viennent la nuit sous les étoiles essayer d’apercevoir (la jolie petite fee) lui adressant même des petits bisous d’amour alors qu’elle s’envole d’une étoile l’autre (si jolie petite fee) toute adorée d’amour (& de sucre)
( Oui Chérie... it’s well your fault)(la faute du bonheur oui)
(hoop’s !)
INTERVIEW
(la faute du bonheur)
Je ne fais pas l’amour flying loves uniquement pour avoir des « babies ! » (me too… but sometimes we can feel it feeling love dreams) faire l’amour pour faire l’amour doing loves or making loves… heureusement, vous vous rendez compte ?
Si à chaque fois qu’on faisait l’amour il y avait (un(e) babies !?) il n’y aurait plus une seule planète de libre dans l’univers so funny loves elle me chante doucement avec ses grands yeux de rêve douceur l’amour loves « Ôdodo mimi lion’s »
... Again a new love book !
‘’ Why we do love ? ‘’
(... pour « passer le temps »)
Elle m’avait laissé sa jolie robe la jolie Coconut’s (flying love dreams so Classe) mais ‘’no’’ elle n’est pas repartie (en petite culotte) elle avait son Jeans fondante (de loves desire) sa jolie robe toute blanche aux reflets d’or perle de culture c’était juste (pour les essayages)
... Then after ?
(He disappeared…)
California (Big love) ... big mind (feeling revivals)
ANGE (so nice lover on dreams)
Je ne sais pas ce qu'elles m'ont mis dans mon sucre ce soir sous les étoiles...
JESSICA (lovely suggestive)
Devines...
ANGE (so lovely inspired)
… i play now a beautiful «BassVoice» improvisation
DAISY (sexy charming fan)
So lovely fly...
JESSICA (funny Star)
We make the movie !
… feeling Manhattan Beach (Los Angeles, California)
L'océan vagues de l'océan avec toi sur la plage rivage shining ways petites lumières scintillent au loin les vagues l'océan tout le long de la côte fondante sur le rivage souffle d'amour les reflets des étoiles dans tes yeux fondant de sucre les vagues sur la plage love waves ondule le sucre chaleur on love les vagues l’océan d'amour immense si proche sur mon cœur tes lèvres si chaudes on s'embrasse l'amour dreaming life sur la plage avec toi si chaude show funny live cool so sexy (lovers romantic) je ne sais pas (who ?) qui a commencé je ne sais plus tu m'embrasses je flying love (as flying angels)
ANGE (Still flying love after flying love)
After i played 3 Hits in the same time...
Bass harmonic's poetry
With love dream for ever
As Angel's fly (avec des cœurs) so high
And always my « Sunny » disco
Feeling on soul Bass
So magic orchestra to feel
Other new dimensions for the one
Of the most beautiful music wave
Feeling love in projective world
L’AUTEUR (qui donne tant de sa vie)
Rien n'est jamais grave... quand ce n'est pas vous qui en souffrez !
JESSICA « Ô » DAISY, PRINCESS JOY & les jolies BEAUTIES (si jolies)
Maestro
ANGE (lovely Singer)
i will be always there...
PRINCESS JOY (lovely charming)
Tu es génial
JESSICA (feeling love)
Encore une love song et ça platine !
L’AUTEUR (so funny)
When rules are not good we change the Game !
(A Dream ?)
« Ô Shining love ! Where are you ? »
... So love you are !
... Tu fais la pute au bord de l’océan ?
... Yes
En regardant les étoiles ?
(So funny love)
EXT. LA PLAGE LE SOIR SABLE D’OR (& d’amour love (Manhattan beach L.A.)
VENICE (si jolie love)
Do you have french-fries ?
NELDA (la belle Noire de Californie)
When rules are not good we change the game !
ELLE (lovely suggestive)
It’s no my fault
MOI (flying love)
A magnificous love movie !
DAISY (So pretty Puppet)
... extraits du scénario en cours d'écriture
LA JOLIE CHÉRIE (& recherche de financements)
A smashing Blockbuster !
LUI (writing the screenplay)
Oui Chérie, c'est bien ça
LA JOLIE CHÉRIE (softly enjoy life)
He needs money for our future babies ...
COLOMBO (avec le FBI)
Ainsi la jolie Beauty du « Denny’s Restaurant » sur la colline de Las Vegas
serait la fille millionnaire d’un big Boss de Casino à Las Vegas !
FBI (To Colombo)
Pourquoi ne l’a-t-elle pas suivi à Paris puisqu’ils se retrouvent encore à Los
Angeles après qu’il soit passé en voiture à San Diégo ?
COLOMBO (Understanding nothing)
Sans retrouver « Nelda » qui était à Hawaï !
FBI (Scraching his head)
Mais alors pourquoi l’a-t-il retrouvé à « L.A. » ?
COLOMBO (Thinking with FBI)
Pourquoi !?
LUI (Softly To ELLE)
C'est de MOI qu'ils parlent...
MOI (lovely Innocent telling the truth)
C’est très simple…
ELLE (lovely Innocent too trying to help them to understand)
Où est la VRAIE réponse ?
COLOMBO (as a Chinese broke head)
Ils se retrouvent en plus à Paris quelques années plus tard…
ELLE & LUI (flying love)
« flying millionnaries on Champ-Elysées… »
FBI (Who have a doubt of their innocence)
Une « serveuse » qui fait fortune en si peu de temps !?
COLOMBO (Amused and stupefied)
Il lui chante sa « love Song »
LUI (Singing the Title of the Song)
‘’Ô Shining love ‘’
ELLE (dreaming love)
Le soir sous les étoiles…
COLOMBO (In style « yes i’m a stupid man »)
« Ô Shining love » s’appelle donc « Betsy » mais c’est le nom qu’il lui a donné
à Paris pour ne pas dire qui elle était vraiment !
MOI (Inspired by love trying to do a diversion)
Non bien sûr, je l’ai attendu dans ma voiture
COLOMBO (Playing his game)
Et il ne faisait pas trop chaud ? Avec 40° !
MOI & ELLE (Stammering in choirs)
Je... j’avais la climatisation
FBI (Trying to stay « logic »)
Alors le moteur tournait si je comprends bien...
COLOMBO (Slowly suspicious asking a trick question)
Pendant combien de temps l’avez-vous attendue ?
MOI (suddenly flying in the sky)
Je ne sais plus vraiment...
ELLE & MOI (stammering in choirs flying hopes)
… un... une éternité !
EXT. LE SOIR / LA PLAGE A MANHATTAN BEACH (lumières d’amour au Sunset)
Une belle plage… les vagues, une petite maison (en bois) avec un petit jardin, quelques Cocotiers (so funny cool) c’est là ma maison quand je voulais écrire des scénarios à Los Angeles
MOI (lovely funny ambitious screenwriter)
Il faut d’abord les écrire ma jolie Chérie, c’est après la belle Villa avec
piscine… moi quand je fais quelque chose…
ELLE (la jolie Chérie)
Smile
MOI (as a flying star)
Je ne me suis pas arrêté…
ELLE (lovely suspicious to see if he has good memory)
Peut-être juste pour prendre de l’essence ?
COLOMBO (Style “What a champion” how can I believe that)
A 200 km/h !?
MOI (as an evidence)
Je ne m’étais pas levé de bonne heure
FBI (Reconsidering his « logic »)
Et « Betsy » elle était passée où alors ?
ELLE (So lovely mysterious)
Appears, disappears…
COLOMBO (Swimming in the air)
Avec toutes ces « Gonzesses » personne n’y comprend plus rien pendant
son voyage en Californie !
ELLE (Summarizing as it is so easy to understand)
Nelda à Paris repart donc en Californie à San Diégo…
FBI (Seeing well) (To MOI)
Ensuite vous traversez l’océan pour la rejoindre...
COLOMBO (Sure nobody can lie to him)
Pourquoi ?
MOI (ME)(Remembering a dream)
i was in love… still alive after my «Crash Car »
ELLE (lovely complice)
So happy to be alive…
FBI (foresee a track)
« Alive » au Denny’s restaurant !
COLOMBO (Pressurizing MOI)
Où vous rencontrez « Betsy »...
FBI (Thinking he found the truth)
… ou retrouvez « Nelda ! »
ELLE (looking at the sky by the window)
Ooooh !
COLOMBO (Who have suddenly a doubt)
J’y pense, « Nikya » était bien de Los Angeles …
LUI (MOI)
Yes
COLOMBO (Playing to « the cat & the mouse »)
Mais que faisait-elle alors à San Francisco ?
MOI (feeling generous millionnary)
Du shopping je pense…
FBI (Thinking about a bank breaks)
Comment ça ?
COLOMBO (asking himself about the diaboulicus mouses)
Pourtant « Betsy » ou « Nikya » était bien « flying loves millionnaries ?»
FBI (insistently & suspicious)
Elle devait bien avoir un peu de cash ?!
MOI (Style « Exactly you find ! »)
And a Credit Card !
ELLE (lovely suspicious & on her toes)
Effectivement….
COLOMBO (Showing suddenly some pictures as fatal proofs)
Ah ! J’oubliais... la photo, près d’Hollywood boulevard (he looks admiringly
the picture) une jolie voiture de Star, celle « d’une jeune femme » par exemple…
la voiture de « Betsy » peut-être ?
FBI (As if he knows all the truth)
Qui vous aurait rejoint à Los Angeles...
COLOMBO (trying to draw him in his nets)
Ensuite de San Diégo vous remontez toute la côte Ouest par la « freeway » en
repassant par Los Angeles…
MOI (So lovely tourist very polite)
Yes
COLOMBO (Very polite too but sure to drive him to the truth)
De San Francisco… là encore on a retrouvé une photo...
FBI (Asking suddenly like lightning)
Pourquoi ce détour au « Yosemite Park » de la Sierra Nevada ?
COLOMBO (Scoffer to taunt him)
Goûter l’eau fraîche d’un torrent en pleine nature ?
ELLE (lovely innocent giving a hypothesis)
Sans doute « l’eau fraiche de l’amour ?! »
COLOMBO (Asking now a fatal question)
Ou bien peut-être pour échapper au « Big Boss de Las Vegas » qui justement
était en visite à San Francisco à cette même période !?
MOI (Remembering nice feeling)
Il y a beaucoup de Perroquets à « L.A. »
ELLE (feeling hypothesis in color)
Des « Perrot’s » jaunes, vert & rose ?
COLOMBO (Suddenly understand the link of love)
C’est pourquoi la « serveuse de Las Vegas » vient ensuite vous rejoindre à Paris
quelques années plus tard !
LES JOLIES GONZESSES (suddenly appearing dreaming love)
« flying millionnaries »
FBI (Suspicious about the luxury lifestyle)
Grands Hôtels, Big Cars, Jet, Palaces…
LES JOLIES GONZESSES (happy to enjoy life)
Avec « toute la suite »
COLOMBO (Counting with his calculator)
C’est un peu rapide pour faire fortune ?
LES JOLIES GONZESSES (Answering so funny love instead of MOI)
Pub's !
ELLE (lovely playing an advertiser)
To win now 3000 Smiles in love!
LES JOLIES GONZESSES (lovely charming summary the inquiry)
Un Hôtel Particulier sur les collines de San Francisco, avec vue sur la baie…
MOI (So happy as a daulphin in water)
Il y a des Dauphins là-bas…
FBI (Who know the price of this place)
Une résidence peut-être du Big Boss ?
MOI (describing the beautiful view)
Il y a même des Cachalots...
FBI (expert in « play on words »)
Ou « Allo Cash ! »
MOI (Expert too)
No… « Cache à l’Ô »
COLOMBO (feeling something suspicious)
Qui ça « Ô » ?
ELLE (as a magic fee)
Un soir la jolie Déesse d’Ô…
MOI (lovely charming Prince)
Do you have french-fries ?
ELLE (pretty lovely magic fee)
And the « Jolie Déesse d’Ô » answered « it’s no my fault…»
COLOMBO (forseeing a dizzying affair)
Ainsi la bien jolie Beauty du « Denny’s Restaurant » sur la colline de Las Vegas
serait vraiment bien la fille millionnaire d’un big big Boss de Casino à Las Vegas !
FBI (understanding nothing now)
Alors pourquoi ne l’a-t-elle pas suivi à Paris puisqu’ils se retrouvent encore à Los
Angeles après qu’il soit passé en voiture à San Diégo !?
COLOMBO (Who would have liked to find «Nelda»)
Sans retrouver « Nelda » qui était à Hawaï !
FBI (Thinking logically about the flight destination)
Mais alors pourquoi est-il retourné à « L.A. » ?
COLOMBO (Sometimes desesperate)
Pourquoi ?
MOI (Again)
C’est très simple…
ELLE (lovely Innocente)(To MOI)
Où est la VRAIE réponse ?
COLOMBO (Searching & scratching in his mind)
Ils se retrouvent à Paris quelques années plus tard…
ELLE & LUI (with a secret complicity)
« flying loves millionnaries on Champ-Elysées… »
COLOMBO (Asking himself if finally what he says can be the truth)
Une « serveuse » qui fait fortune en si peu de temps !
FBI (Exploring all hypothesis to make fortune)
Elle ne s’est pas mariée...
COLOMBO (overwhelmed)
… il lui chante sa « love Song »
LUI (Singing & dreaming love)
‘’ Ô Shining love ‘’
ELLE (as in a fairy tale)
Le soir sous les étoiles…
COLOMBO (Thinking it was probably a big business)
« Ô Shining love » s’appelle donc « Betsy » mais c’est le nom qu’il lui a donné à Paris
pour ne pas dire qui elle était vraiment !
LUI (Style « not worry buddy »)
Rassurez-vous, elle est bien protégée
ELLE (So lovely smiling innocently)
Les Boss de Casino c’est un peu « artillerie lourde »
FBI (looking suddenly around)
Comme partout…
COLOMBO (Specialist of cultural inquiries)
D’ailleurs il connait bien l’histoire de Las Vegas avec « Bugsy Malonne »
FBI (as a man of letter)
« BUGSY »… « BETSY » un peu étrange quand même ?
COLOMBO (Sensing that he is closer to the truth)
« Betsy » est donc bien « Ô shining love » alors la véritable question...
ELLE (so lovely enjoy a hypothesis)
Est-ce qu’il n’aurait pas une « Petite » là-bas ?
COLOMBO (Thinking to this love hypothesis)
Si c’est la fille millionnaire d’un Boss de Casino...
ELLE (Giving to COLOMBO the right answer)
L’histoire de la joueuse de Tennis c’est du « pipo ! »
LUI (As an evidence)
Cela ne veut pas dire qu’elle ne jouait pas au Tennis !
COLOMBO (Beginning to understand all)
Ni qu’il n’a pas rencontré le « Boss » de Las Vegas alors pourquoi ?
ELLE (Innocently saying a hypothesis)
Il ne savait pas que c’était la fille du Big Boss de Las Vegas ?
LUI (As a flying Angel)
Sinon j’aurais choisi l’autre serveuse, je ne veux pas d’histoires…
COLOMBO (Suspicious thinking she was perhaps a bitch)
C’est aussi pour ça sans doute qu’elle lui a caché qui elle était vraiment
FBI (Thinking now about monkey money)
Déjà tant de complicité
COLOMBO (masterly eyes to eyes)
Mais cela n’explique pas tout !
LUI (Completly agree with him)
En effet…
COLOMBO (Sniffing very suspicious)
Tiens, tiens...
LUI (Telling a secret revelation)
Le Big Boss de Las Vegas...
ELLE (Style « This is all the truth»)
Il voulait faire « Las Vegas 2 ! »
EXT. SOIR NUIT / SUR LA PLAGE DORÉE (lumière d’amour love rose orangée)
… Ô Shining loves ?
Yes
C’est encore toi…
Yes
Tu as mis ta belle robe ?
Yes
(en vérité elle est en Jeans)
Tu as fini de faire la Pute ?
Yes
Toujours l’océan ?
Yes…
(on loves waves)
En regardant les étoiles
Yes
(so funny loves)
bisou d’amour…
COLOMBO (Who doesn’t believe his own eyes)
« Las Vegas 2 ! »
LUI (So funny player)
C’était sans doute un fan de Jackpot !
COLOMBO (sure now he must find who is really the mysterious «Betsy»)
Et « Betsy » la fille du Boss serait donc la belle Noire de Californie qui s’appelle tout d’abord « Nelda »
FBI (Suspicious searching new word games)
Avec un « N » comme « Nikya » … Tiens, tiens ?
LUI (very stupefied)
Tiens ?
COLOMBO (making a sleight of hand with surname)
Car ensuite au retour elle s’appelle justement « Nikya !»
FBI (Proud of his literary track)
Aurait-elle changé de nom ?
ELLE (lovely innocent trying to help FBI)
Sometimes it’s a mistake of pronunciation
COLOMBO (Talking as someone seeing elephants doing bicycle)
Il serait revenu à Paris de San Francisco en avion avec « comme par hasard » sur la place
juste à côté de lui dans l’avion…
FBI (as if a golden rain is coming from sky)
La jolie « Nikya ! »
LUI (Protesting that they could make his love in doubt)
Il y a des Témoins !
FBI (Insisting in his logical deduction)
« Nikya » serait donc bien « la serveuse de Las Vegas »
COLOMBO (Completing the puzzle with flying colors)
… fille millionnaire du « Big Boss » qu’il aurait retrouvé ensuite à Las Vegas après être
passé à San Diégo où il cherchait « Nelda »
FBI (Specialist in deductive overlap)
… avec un « N » encore qui était en réalité à Hawaï !
COLOMBO (making use of cunning to crack him)
Nous avons des témoins !
LUI (Thinking to his mistress & bank accounts in tax havens)
Zut ! Des témoins de quoi ?
COLOMBO (Smiling style « you see we are not naughty bears)
En votre faveur…
LUI & ELLE (Saved by the grace of God)
« Ouf ! »
FBI (very proud of his word skill demonstration)
En effet « Nelda » n’est pas « Nikya »
ELLE (flying now in the grace of God)
It’s a chance i’m not pregnant !
COLOMBO (To FBI suddendly seeing a new hypothesis)
Justement à propos de « Petite »… cela ne veut pas dire que « Nelda » ne serait pas en Californie !
LUI (mid voice saying)(To ELLE)
ça y est… ils m’ont « coincé » maintenant que je suis millionnaire
ELLE (mid voice saying thinking to MOI’s fortune)
Les pensions alimentaires !
LUI (MOI) (lovely generous lover)
Ils n’avaient pas besoin « de me coincer » j’avais déjà tout prévu
COLOMBO (trying a trick question)
Vous êtes sûr qu’elle était pas en « Patins-à-Roulette ?»
LUI (funny relax style « you saw that in which movie »)
La serveuse ? No, no... elle était pas en « Patins-à-Roulette ! »
ELLE (Who knows well Denny’s restaurant)
ça c’est dans les drive-in
COLOMBO (again seeing elephants doing bicycle)
Alors elle a fini son service juste en même temps que votre « Bacon cheese Burger !»
LUI (funny relax thinking if they have information about tax paradise)
No bien sur, je l’ai attendu dans ma voiture
COLOMBO (wanting again to make him crack)
Et il faisait pas trop chaud ?
FBI (insisting with big suspicious)
Avec 40° !
LUI (funny gentleman who likes confortable situation)
Vous pensez bien que j’avais la climatisation
COLOMBO (just near him scratching his head)
Alors le moteur tournait si je comprends bien
FBI (looking at his notes in a small notebook)
Pendant combien de temps exactement vous dites l’avoir attendue ?
LUI (funny style « we don’t care »)
Je ne sais plus vraiment… une éternité à peu près
ELLE (lovely but suddenly worried)
Une grande éternité sans doute ?
EXT. DÉBUT DE LA NUIT / LA PLAGE A MANHATTAN BEACH (lumières d’amour sous les étoiles)
La belle plage les vagues sous les premières étoiles de la nuit naissante toujours la petite maison (en bois) avec les Cocotiers (so funny cool) dans ce petit paradis romantique (de l’amour love) c’est bien là ma jolie maison quand je voulais écrire des scénarios à Los Angeles
MOI (lovely funny ambitious screenwriter)
Il faut d’abord surtout bien les écrire… c’est après la belle Villa avec une grande piscine…
moi quand je fais quelque chose ma jolie Chérie, j’engage mon « nom »
ELLE (la jolie Chérie in love)
Smile again !
COLOMBO (now ready to obtain the truth at any price)
Après Las Vegas, le Grand Cayon à « Désert Point ! »
ELLE (lovely as in a fairy tale)
La nuit sous les étoiles…
LUI (remembering milliards love shining stars in the sky)
So magic place !
COLOMBO (mocking him with agreed under)
On a retrouvé un texte de vous « avec le petit nid »
FBI (playing the doting father)
C’était « Nykia » ou « Nelda ? »
COLOMBO (Sure he will know now who is really the mysterious Betsy)
... ou bien laquelle des deux était vraiment « Betsy ? »
FBI (Wanting to know the same thing)
Vous deviez aller à San Diégo retrouver « Nelda » alors pourquoi ce détour par Flagstaff ?
LUI (who has always answer to all)
Le train de Santa-Fee
ELLE (so lovely trying to joke innocently)
C’est le train des fées !
COLOMBO (Asking himself if she took her « roller skates»)
C’est de là que « la serveuse » est repartie pour vous laisser aller à San Diégo ?
LUI & ELLE (lovely complice trying to tune their voices)
Exactly ?!
FBI (Thinking of the phoenix rises from the ashes)
Ensuite c’est direct Tucson à toute vitesse en voiture en passant par Phoenix
LUI (funny dreamer doesn’t want they talk about his fast speed)
Je ne me suis pas arrêté, peut-être juste...
ELLE (lovely frightened he forgets what he said)
Pour prendre de l’essence ?
COLOMBO (Style « ça décoiffe ! »)
Donc Tucson à 200 km/h !
LUI (so cool dreamer who likes pancakes)
Je ne m’étais vraiment pas levé de bonne heure
COLOMBO (It’s him now searching « Betsy »)
Et « Betsy » elle était passée où alors ?
ELLE (Style «love is a gypsy child»)
Always appears, disappears
COLOMBO & LES JOLIES GONZESSES (trying to not go crazy)
Avec toutes ces Gonzesses !
FBI (probably dreaming to take a ticket plane for himself)
Après la rencontre de « Nelda » à Paris vous « traversez donc l’océan » pour la rejoindre…
COLOMBO (which has now only his question to keep still standing)
Pourquoi ?
LUI (flying love among the clouds)
i was in love
ELLE (lovely funny love)
So happy to be alive !
FBI (feeling «I see well now »)
... au Denny’s restaurant !
COLOMBO (as a marathon runner insight)
Justement au « Denny’s » vous rencontrez « Betsy » ou retrouvez « Nelda ? »
FBI (Suddenly has a good idea)
J’y pense, Nikya était bien de Los Angeles ?
LUI (as if he knows « L.A. » like his pocket)
Yes
COLOMBO (Sill thinking to the « Cachalot »)
Mais que faisait-elle alors à San Francisco ?
LUI (Style « You know how are women »)
Du shopping je pense
ELLE (lovely innocent suggesting a hypothesis)
C’était les « Soldes » probablement...
COLOMBO (Style « I don’t understand well and I’m really a stupid man »)
Vous deviez rentrer à Paris depuis Los Angeles…
FBI (which as done a big inquiry)
Le billet d’avion était enregistré...
COLOMBO (as a theater turnaround)
Or à San Francisco vous annulez le billet !
ELLE (lovely playing to drive the investigation instead of COLOMBO)
Ce qui entraine probablement des frais supplémentaires ?
COLOMBO (Completly agree with her)
Pour avancer soudain la date du retour sur Paris depuis San Francisco !
LUI (as a poor artist in love)
Je n’avais plus de sou…
COLOMBO (Style « You think i will believe you with all your millions in Tax paradise »)
Comment ça ?
LUI (so gifted in management planning)
J’avais calculé que j’avais plus assez de sous pour vivre jusqu’à la date prévue du départ et qu’il m’en coûtait moins cher ...
ELLE (so lovely expert suddenly in accounting)
De payer pour l’annulation du billet d’avion de Los Angeles ...
LUI (who has always a good explain for all)
Et devoir repartir plus tôt depuis San Francisco
ELLE (Style « You see it’s that simple »)
Plutôt que de rester ?
COLOMBO (Doesn’t understand this mater of money)
Pourtant « Betsy » ou « Nykia » était bien « flying loves millionnaries »
FBI (feeling this story of ticket plane is suspicious)
Elle devait bien avoir un peu de cash quand même ?!
LUI (Style « i already heard that somewhere »)
And a beautiful Credit Card !
ELLE (as a lovely fee on her toes)
Effectivement….
COLOMBO (Showing again his fatal pictures)
La jolie photo près d’Hollywood boulevard avec la jolie voiture de Star c’est donc bien la voiture de Betsy…
FBI (turning on his fatal logic)
Qui vous aurait rejoint à Los Angeles !
COLOMBO (playing now « the implaccable machine »)
Vous remontez ensuite toute la côte Ouest par la « freeway » en repassant par Los Angeles depuis San Diégo...
FBI (now arriving at destination)
... jusqu’à San Francisco !
LUI (funny driver as a pilot of Jet)
Probably dreaming to the « peace & love » revolution !
COLOMBO (Can’t stop his own crazy machine)
Alors pourquoi ce détour au « Yosemite Park » de la Sierra Nevada ?
LUI (lovely ecologist dreamer of « love & nature »)
Besoin d’air sans doute goûter l’eau fraîche d’un torrent en pleine nature…
ELLE (Suddenly dreaming between dream & nostalgy)
Sans doute se baigner dans « l’eau fraiche d’amour ?! »
COLOMBO (Giving his hypothetical conclusions as evidence)
Ou bien très certainement pour échapper au « Big Boss de Las Vegas » qui justement
était en visite à San Francisco à cette même date !
FBI (Style « now they can’t lie)
On a retrouvé son agenda !
ELLE (as if she already knew about the agenda)
Il y a beaucoup de Perroquets à « L.A ? »
LUI (as if he saw a rainbow)
Des « Perrot’s » jaunes, verts & roses
ELLE (lovely pretty flying dream)
Singing peace & love
COLOMBO (Suddenly remembering the link of love)
C’est pourquoi la « serveuse de Las Vegas » vient ensuite vous rejoindre en réalité à Geneva quelques années plus tard !
LES JOLIES GONZESSES (suddenly appearing again dreaming love)
« flying love millionnaries »
FBI (Thinking now to write his own best seller)
In Jet from Palace to « Grand Hôtel » driving beautiful Cars…
LES JOLIES GONZESSES (so happy to enjoy life again)
And good restaurants !
COLOMBO (looking at sadly now his calculator broken by the amount)
C’est peut-être un peu rapide pour faire fortune ?
LUI (lovely genius of the year)
ça dépend pour qui !
LES JOLIES GONZESSES (flying happy love with everyboby)
Pub's !
ELLE (lovely playing a sexy & stupid advertiser)
To win now 1 000 million euro for the next « World’s Lotery !»
LUI (as if he sees now a golden love rainbow)
Avec en bonus des milliers de Smiles in love !
LES JOLIES GONZESSES (so happy & beloved generous for LUI)
For Mimi Lion’s !
ELLE (so sexy who knows well LUI)
The lovely Jaguar !
COLOMBO (Searching a consolation prize)
Je sens bien que je me rapproche peu à peu de « la bonne combinaison !»
FBI (with philosophy still dreaming to go to Hawaii)
feeling so shining ways…
EXT. SUNSET IN THE SKY / LOVE CLOUDS (near The Pretty Divinities)
ELLE (flying in Jet now avec LUI)
Encore le soir à la tombé du jour nos amour sous les étoiles
LUI (MOI)(so funny love millionnary)
J’ai joué une partie de Tennis des plus magnifiques avec « la jolie Déesse d’Ô »
ELLE (flying in Jet so happy avec MOI)
Essayant de résister à ses charmes
MOI (LUI)(who had escaped to a love disaster)
Voilà que le « Set » fût de courte durée… je gagnais balle sur balle !
ELLE (lovely flying love in Jet)
Il avait aussi bossé avec ruse ses « lifts ! »
MOI (as a good lovely champion)
Balle de match !
ELLE (so lovely player flying love in Jet)
Déjà ?
THE TENNIS BALL (as a speed satellite)
(lift’s) ! ! !
MOI (Thinking to not do another love disaster)
Je remporte la partie
ELLE (asking MOI to open his eyes)
Avec une certaine « facilité » un peu étonnante ?
MOI (Really happy escaped to the precedent love disaster)
Elle veut quand même remettre une balle en jeu...
ELLE (flying love so lovely dreaming avec MOI)
... sous le ciel orangé de l’amour loves mais il dit
MOI (The chance man who had escaped to a love disaster)
« No, c’est comme ça, on avait dit « balle de match » là c’est moi que j’ai gagné ! »
ELLE (funny love joking in love)
La, la la…
MOI (who had really escaped to a love disaster)
Ce n’est qu’après que je compris quand nous nous retrouvâmes donc plus rapidement pour notre jeu...
ELLE & MOI (in Choirs still flying love in Jet)
(Gagnant)(Gagnante)
ELLE (So lovely suggestive avec MOI)
Dans les eaux érotiques de la piscine d’amour…
MOI (who escaped each time to a love disaster)
De toute façon elle gagne toujours !
ELLE (lovely funny love in the swimming-pool now with MOI)
Toi aussi
ELLE & MOI (in Choirs so happy love in the swimming-pool)
(as you love)
INT. SUNSET & NIGHT To MORNING / UNE MAGNIFIQUE VILLA AU BORD DE L’OCÉAN (with Exotic Garden & Nice Swimming-Pool)
MOI (The only man really able to escape each time to a love disaster)
J’enregistre ensuite pendant toute la nuit
LES JOLIES GONZESSES (funny loves dreaming love)
Ses jolies « love Song » sous les étoiles
ELLE (lovely Star flying love dreams)
Avec sa Webcam magique
MOI (lovely Singer & movie maker)
C’est cette nuit là d’ailleurs que j’enregistre la magnifique improvisation « BassVoice » de « Dodo l’enfant(e) d’Ô’ »
LES JOLIES GONZESSES (funny love dreaming baby love)
Qu’il appelle « Dodo Mimi d’Ô’ »
ELLE (cool d’amour)
(larmes d’amour)
MOI (lovely Singer & movie maker in love)
J’enregistre encore des petits films
LES JOLIES GONZESSES (funny love dreaming love stories)
Avec « des petites balles »
MOI (lovely champion in love & famous movie maker)
« Tennis Winners »
ELLE (cool d’amour remembering him a pretty party)
(so fast)
MOI (lovely dreamer in love & really famous movie maker)
Dans mon grand élan d’amour love j’enregistre ensuite « my Way’s to Miami » avec encore à la volée
tout au bout de mon Cœur
ELLE (so cool d’amour love)
(Et de sa vie)
MOI (lovely dreamer in love & really famous dramatic actor)
« My Smoking (is) waiting for you »
LES JOLIES GONZESSES (So funny complice of love dreams)
Avec sa belle veste toute neuve
MOI (LUI) (lovely dreamer in love & really famous dramatic actor)
De bien jolis love movie « en Smash » au péril de ma vie que je sauvegarde ensuite pour qu’ils
me survivent sur « Mimi Lion’s Channel »
ELLE (so cool d’amour love)
Sa Chaîne « YouTube »
LES JOLIES GONZESSES (So funny complice of love dreams)
(in private)
MOI (lovely dreamer in love & The Best lovely Crazy Bass player in World’s)
A l’exception de mon improvisation magnifique sans filet « Dodo Mimi d’Ô’ »
ELLE (so cool love Star d’amour love)
... dont il permet cependant la diffusion sur « Mimi Lion’s Channel »
LES JOLIES GONZESSES (So funny complice of love dreams)
Only for Peoples in love !
EXT. SUNSET IN THE SKY / IN JET LOVE CLOUDS (near The Pretty Divinities) / AND SWIMMING-POOL (à l’eau)
ELLE & MOI (Singing in Choirs so happy in the swimming-pool)
« i feel as WE love »
(SONG)
LES JOLIES GONZESSES (In JET funny love who know the truth in the backstage)
Peu avant le love Concert de love Song avec la jolie Déesse d’Ô’ elle s’est approchée de lui toute amour
ELLE (lovely in love with a light idea behind the head)
J’adore tes jolies chansons de « Song’s fly »
MOI (so happy Singer in love who escaped each time to a love disaster)
Really ?
ELLE (lovely diaboulicus creature in love)
« Allo à l’eau ? »
MOI (In JET lovely Singer really escape each time to a love disaster)
Elle m’a poussé dans la piscine avec ma veste toute neuve !
ELLE (In JET lovely creature in love so diaboulicus)
(un bisou de millionnaire chéri)
LES JOLIES GONZESSES (In JET so funny love in happiness)
Comme il était en train de se noyer d’amour elle a aussitôt plongé toute habillée pour le sauver
MOI (In JET lovely Singer from a love disaster to a love success)
Habillée, habillée… elle avait pas grand chose sur elle mais on a « bien barboté »
ELLE (In JET lovely flying love as in the swimming-pool)
Swimming love in loves waves…
LES JOLIES GONZESSES (In JET in happiness as in a fairy tale)
So happy lovers !
MOI (In JET so happy thinking to his love success)
Mais « no » je n’avais pas ma « magic Bass » dans l’eau !
ELLE (In JET so confidential lovely flying love among the lovely clouds)
… il jouait aussi sur « d’autres registres »
LES JOLIES GONZESSES (In JET dreaming lovely complice «coquina» so funny)
Avec ses mains de fée...
ELLE & MOI (so happy lovers in Choirs dabbling in the pool)
… so beautiful love song on loves always dreaming a better shining world
EXT. SUNSET (jolie lumière grenadine dorée d’amour) / LA MAGNIFIQUE VILLA AU BORD DE L’OCÉAN (with beautiful Exotic Garden & Nice Pool to dabble in love) / INT. A NICE BEAUTIFUL PRESTIGIOUS BATHROOM (where the « jolies Chéries » are doing their make-up)
MOI (lovely Singer didn’t escaped to the magic love attraction)
Pour « la petite » quand elle prendra son bain tu t’en occuperas, moi je lui achèterai des
petits poissons colorés qui flottent sur l’eau
ELLE (lovely creature flying in love)
Des petits Tilapias ?
LES JOLIES GONZESSES (in happiness flying love dreams)
Ou des petits dauphins !
MOI (probably speaking of his unconscious thoughts)
Une petite baleine !
LES JOLIES GONZESSES (funny love in unconscious thoughts too)
Avec un petit Jet d’eau ?
ELLE (so pretty love suddenly have another light idea)
Oui ! Comme à Geneva !
MOI (lovely lover sometimes worry doing rescue expectations)
Il faudra aussi mettre une bouée à côté de la baignoire
ELLE (in love dream sharing his dream of love)
Et des petits flotteurs sur ses petits bras…
MOI (who escaped each time to a love disaster)
Elle m’a dit…
EXT. SUNSET (jolie lumière grenadine dorée d’amour) / LA MAGNIFIQUE PISCINE AU BORD DE L’OCÉAN (with beautiful Exotic Garden of love)
ELLE (lovely flying love in the swimming-pool)
Don’t worry mon Chéri
LES JOLIES GONZESSES (so funny love dabbling in joy)
Don’t worry joli Chéri
MOI (lovely dreamer who is not worried now)
Alors on a barboté d’amour de plus belle comme dans un océan de sucre
LES JOLIES GONZESSES (enjoying love in a fairy tale)
Avec sa jolie Déesse d’Ô’ toute amour
ELLE (lovely flying love in the lovely pool)
i feel as we love darling
MOI (happy lover succumbing to the charms of his diaboulicus lovely creature)
My sugar baby love
LES JOLIES GONZESSES (mid voice funny complice in love)
(Only to be happy…)
ELLE & MOI (so happy in Choirs in the sugar pool)
Always dabbling together just to be together alive in life
MOI (lovely happy who can’t escape now to the love grenadine)
And in peace
INT. ETERNITY GOLD LOVE LIGHT / A BIG PRETTY BANK / THE LOVE ROOM OF THE BANK’S COFFERS (Big love Complaining)
LES JOLIES GONZESSES (so funny love in happiness)
Avec Bodyguard(e)s…
MOI (lovely Singer millionnary for ever love)
Betsy ?
ELLE (lovely pretty fee flying love with her pretty bags full of gold)
Yes ?
MOI (so lovely showing around the walls of gold bullion)
… mon « Bilan filigree » sur 9 mois
LES JOLIES GONZESSES (pretty complice had counted time with him)
Plus 10 années !
MOI (lovely magician who had escaped so many times of love disaster)
Que les meilleurs choix possibles !
ELLE (lovely suggestive flying in gold shining clouds)
Really ?
MOI (so majestic who had escaped so many times of murderers)
… by Mimi Lion’s for peoples !
LES PEOPLES & LES JOLIES GONZESSES (so happy to live this historical moment of grace)
So funny milliardaires !
MOI (lovely artist with modesty thinking to break next time the most big bank in the world)
1200 ou 1400 millions d’euros ce n’est pas vraiment « une grosse fortune »
LES JOLIES GONZESSES (in happiness feeling so love desires)
C’est déjà « pas si mal »
MOI (beloved world Star collecting Tubes, Hits, Blockbusters & best sellers)
Évidemment les grands succès de mes Best Sellers, movie & love Song auront été plutôt
rapides mais il y a eu aussi toutes les grâces du ciel qui se sont présentées
ELLE (lovely fee flying in the sugar pool of love)
Always flying loves each second
MOI (feeling future as doting father & sugar daddy)
Ensuite je passerai du temps à faire des Projectives sur 100 ou 200 ans !
ELLE (lovely suggestive dreaming other treasures)
Toujours très « pragmatiques »
MOI (who escaped each time to a love disaster)
Voilà ma jolie Betsy Chérie mon Bilan d’amour love « filigree » sur moins de 9 mois sans
compter tous les sales coups que j’ai enduré ou que j’ai réussi à déjouer !
LES JOLIES GONZESSES (mid voice reading a page of his testimony « Journal of Stars »)
« 23h41 mauvaises ondes alentours... en attendant « MOI » il crève de faim…. c’est Dimanche… tout sonne faux alentours »
MOI (who had escaped one more time to a love disaster)
Pourtant « MOI » encore ce soir pour elles sous les étoiles amoureuses j’ai joué de magnifiques « Bass & Voice » Improvisations !
LES JOLIES GONZESSES (so funny love in happiness)
In so love harmonies !
ELLE (lovely fee flying love in sugar clouds)
Encore il a chanté ses jolies chansons d’amour love as a « Song’s fly » from eternity
« LES FILLES » (in happiness enjoying life)
Avec les filles !
LES JOLIES GONZESSES (so funny love in love dreams)
Sans oublier un jour « les Petites Nike's » à venir de sa jolie Betsy
MOI (as the most happy man of the world)
Always in my heart for your eyes so beautiful jolie Betsy Chérie
ELLE (lovely fee in love tears d’amour love)
i do my bags and i come
LES JOLIES GONZESSES (funny love so sexy in happiness)
Darling !
MOI (lovely heart who had escaped so many times to thieves, murderers & bastards)
Avec encore 1 000 millions d’euros des Tribunaux en réparation des préjudices
LES PEOPLES & LES JOLIES GONZESSES (again so happy to share this historical moment under the grace of God & Divinities)
Et 24 milliards d’euros for peoples !
LES JOLIES GONZESSES (so funny love with pretty dreams)
En 9 mois & 10 années !
MOI (so romantic filigree who had escaped again to a love disaster)
How to say « i love you ? »
ELLE (love amour)
…
EXT. DÉBUT DE LA NUIT / LA JOLIE PLAGE A MANHATTAN BEACH (lumières d’amour sous les étoiles) La belle plage les vagues sous les premières étoiles de la nuit naissante toujours la petite maison (en bois) avec les Cocotiers (so funny cool) dans ce petit paradis romantique (de l’amour love) c’est bien là ma jolie maison quand je voulais écrire des scénarios à Los Angeles
MOI (lovely funny ambitious screenwriter)
Il faut d’abord surtout bien les écrire… c’est après la belle Villa avec une grande piscine…
moi quand je fais quelque chose ma jolie Chérie, j’engage ma vie !
ELLE (la jolie fee Chérie in love)
Smash & Smile again !
(21h37) IN UNIVERSAL TIME
LES JOLIES GONZESSES (so funny love in happiness)
Un Hôtel Particulier sur les collines de San Francisco avec une vue magnifique sur la baie… on
aperçoit plus loin de jolis Dauphins qui n’arrêtent pas de sauter de joie
COLOMBO (Who didn’t win the lottery and estimate probabilities)
Peut-être une résidence peut-être du « Big Boss ? »
MOI (now expert in fish resources of the sea)
Peut-être même des Cachalots !
FBI (Who still has hope to publish his word games)
Ou « Allo Cash ! »
MOI (likes playing word games)
No… « Cache à l’Ô »
COLOMBO (Still flying among the numbers of the lottery)
Qui ça « Ô » ?
ELLE (lovely fee teller of fairy tale)
Un soir… la jolie Déesse d’Ô’
MOI (lovely charming Prince)
Do you have french-fries ?
ELLE (so pretty lovely as «The Jocondia»)
It’s no my fault…
COLOMBO (asking himself if he had not forget his swimsuit in his car)
Pourquoi ne pas être resté se baigner à San Francisco alors que l’eau était à bonne température ?
ELLE (Who prefers she looks like a sexy fee in painting)
Sans doute remonter à la source de l’amour ?
FBI (dreaming himself to escape to Hawaii with his royalties)
Ou bien peut-être pour échapper au « Big Boss de Las Vegas » qui justement était en visite à San Francisco !
LUI (Style « It’s so amazing ! »)
On a retrouvé son agenda !
COLOMBO (admiring the sea waves on the beach)
Il y a beaucoup de Perroquets à L.A.
ELLE (lovely shining as a rainbow in love)
Des « Perrot’s » jaunes, vert & rose
ELLE & LUI (flying loves millionnaries filigree)
As Peace & love
LES JOLIES GONZESSES (so funny love in happiness)
And “Ô” comme « Oseille ! »
LUI (MOI) (lovely Singer sometimes so lonely)
… in real life's !
EXT. SUNSET (jolie lumière grenadine dorée d’amour) / LA MAGNIFIQUE VILLA AU BORD DE L’OCÉAN (with beautiful Exotic Garden of love & Nice Pool to dabble in love) / THE MAGIC TENNIS COURT (sans filet)
ELLE (as a rainbow magic fee)
« flying love over the love ocean »
LES JOLIES GONZESSES (so funny love reading the message in a bottle from «Nikya»)
« The One who is a victorious Perrot’s »
ELLE (magic fee flying love in a sugar rainbow)
… as Song’s fly
MOI (The only man really able to escape each time to a love disaster)
La partie de Tennis (in loves at the Sunset near the ocean) (avec la jolie Déesse d’Ô ) a été très rapide, elle
m’a laissé le service, la petite balle dans ma main, je l’ai faite sauter, on s’est regardés cool on a regardé la
balle cool on s’est regardés cool encore sans même se dire un mot on a décidé que le match était ex aequo
pour aller ensuite cool cool à la piscine (comme si l’on n’était pas pressé(e)s)
ELLE (lovely magic fee flying love in a sugar rainbow)
… how to say « say nothing ? »
(Singing en Rap's !)
« l'As des As amoureux avec ses grandes ailes traverse l'océan « d'amour » ils disaient que tu les menais « en ba-teau » mais toi tu es passé (« par le ciel »)
« Na ! »
... en vérité, elle était « blanche » (comme Betsy !)
Le Mystère "Jésou" (en conclusion historique pour un boulversement de l'humanité)
« Jolies Magic fee’s »
Présente
Le Mystère « Jésou »
(Synopsis Movie Cinéma)
Author
Emmanuel DIGNAT
(avec ses jolies Chéries & la jolie Daisy de Mc Do !)
Golden Spring’s Consulting - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
Le Mystère Jésou
Vendredi 25 Mars 2016 (texte écrit à l’Asile)
« Jésus » (le Jésou) n’est probablement pas mort comme on le dit si l’on veut bien essayer d’avoir (une réflexion de synthèse) avec tout le recul du temps pour laisser apparaître (de toute évidence) le fait que l’on s’est aperçu bien des siècles plus tard que « le Saint Suaire » n’était pas celui de « Jésus » (c’est le linge sur son visage après sa mort). S’il est plus que probable que la vérité sur sa disparition a bien été transmise en secret (par le bouche à oreille) tout au long du grand fleuve de l’humanité(e) la révélation aux populations quand à la vérité du « Saint Suaire » (suite à une expertise au Carbone 14) a été sans cesse repoussée pour le simple fait que le visage représenté (est d’une grande beauté) et devait bien correspondre à une vraie ressemblance avec celui de « Jésus » ce qui en faisait un peu oublier le chagrin de sa disparition.
En vérité « Jésus » aurait survécu aux effroyables souffrances que lui avaient infligées les ignobles sadiques meurtriers (du « Grand Vizir » dictateur) pour plusieurs raisons. Déjà « Jésus » était quelqu’un qui disposait d’une excellente santé & d’une grande résistance comme il l’a prouvé par de longues marches dans des paysages parfois rudes ou arides. Ensuite « Jésus » était très aimé de bien des populations qui étaient bien présentes « physiquement » autour de lui ce jour là (ou par amour & compassion) ce qui lui donnait aussi une grande force pour rester en vie malgré l’effroyable supplice des plus inhumains que ces ignobles salauds lui faisaient endurer.
Ce qui a eu tendance à nous induire « en erreur » c’est que l’on a été complètement déconcertés (voir effrayés) par le fait qu’une personne aussi charmante (& de grand cœur) se retrouve sans aucune raison autre que la « rivalité » assassine (ou la jalousie meurtrière) vis-à-vis d’un homme de grande lumière, qu’un homme aussi amoureux de la vie (& des autres) se retrouve soudain « sur une croix » avec des clous plantés dans les mains comme les pieds après lui avoir enfoncé une couronne d’épine sur la tête qui le faisait ruisseler de sang. Il en est même d’un sentiment de révolte qui nous blesse profondément voir même (nous souffle la respiration). C’est pourquoi l’on a eu tendance à s’attarder sur ces instants très cruels (ou chaque seconde de souffrance se compte en millième de seconde) pour en avoir le sentiment que cette terrible souffrance a durée « une éternité » ce qui est vrai mais en même temps nous fait oublier qu’à cette époque de tyrannie il en était de « mise à mort » (en série) par « paquets » de toutes les personnes indésirables ou qui ne plaisaient pas (au « Grand Vizir tout puissant) et qu’une fois que « Jésus » a été arrêté et qu’il a été humilié de la façon la plus cruelle tout au long du chemin qu’il portait la croix (où il serait ensuite assassiné) il s’est retrouvé ensuite une fois crucifié traité avec mépris ou même indifférence par les gardes « du Grand Vizir » comme il en était de simples voleurs de bétail avec une habitude routinière d’infliger des morts lentes pour ensuite « faire de la place » (libérer les lieux) et installer le « lot » de condamnés suivant.
Cela montre donc que ce temps bien que « interminable de souffrance » a été plus court qu’on se l’imagine et qu’un homme de belle condition physique très résistant comme l’était « Jésus » soutenu par de véritables (ondes d’amour love) bien réelles de vie des populations qui sans doute « priaient le ciel » (pour qu’il reste en vie) avec en plus les grandes capacités qu’avait « Jésus » à se retrouver en lui-même (dans ses richesses intérieures) cela montre qu’il avait bien des chances d’être toujours bien vivant après le « petit coup de lance » routinier dans les côtes que donnait ensuite un garde pour s’assurer que « le patient » ne réagissait plus et qu’il pouvait ainsi libérer l’emplacement pour le suivant. Il faut aussi bien « repréciser l’histoire » qui a eu tendance pendant bien des années (ou des siècles) à bien souvent « minimiser » le rôle des femmes voir à les effacer tout simplement des récits « de grande importance ». On peut même en toute gentillesse « s’amuser » que la présence des femmes dans la Bible soit surtout marquée par la phrase célèbre du « Que celui qui n’a jamais pêché jette la première pierre » quand il a fallu que « Jésus » sauve la vie ou la beauté de femmes (que l’on traitait de putes) pour éviter qu’elles soient châtiées à coup de jets de pierres (par des manants & des gueux). Une autre présence presque « omniprésente » est uniquement celle de la mère de « Jésus » (la Vierge Marie) qui au-delà d’une belle symbolique (pour les enfants) défie grandement « les Lois » (de la nature amoureuse)
Si l’on étudie même d’un point de vue « littéraire » les paroles ou les actes de « Jésus » on voit bien qu’il était très aimé des femmes (peace & love) et qu’il faisait preuve d’un « sens féministe » extraordinaire pour essayer pacifiquement de faire reculer « la barbarie masculine » et inviter les êtres (à la réflexion divine) pour que la civilisation puisse s’étendre dans la paix (& l’amour) avec encore un peu plus de générosité (& de considération pour les êtres humains). La poésie de ses paroles est d’ailleurs généralement empreinte d’une certaine féminité qui n’enlève rien à sa « virilité masculine » (ou encore la grande audace de ses pensées) face à la tendance barbare d’en venir aux armes lorsque l’on n’était pas d’accord. C’est pourquoi l’on sent bien qu’il était bien très aimé des femmes (de même qu’il était très beau) avec des paroles aussi belles à l’époque (que des chansons d’amour). L’on sait aussi que les femmes disposent d’extraordinaires « pouvoir de vie ». Elles ont même naturellement tout le « feeling » affectif pour protéger les « babies » qu’elles portent en elles avant la naissance comme de les « envelopper » (de leur protection vitale) qui se poursuit encore particulièrement pendant la petite enfance. Elles sont également capables d’apporter de véritables « ondes de vie » (qui en appellent à vivre) ou à rester en vie malgré bien des tourmentes parfois même très éprouvantes.
Certains témoignages de l’époque parlent de femmes admirables qui se sont occupées ensuite de « Jésus » et disent même qu’il était toujours vivant (quand elles se sont occupées de faire sa toilette) bien qu’il était effectivement très gravement blessé. On peut alors être certain qu’elles lui auront alors donné toute « leur puissance de vie » (& d’amour love) pour qu’il en revienne complètement à la vie (peu à peu jour après jour). Elles savaient aussi très bien ce qu’il en était de « barbares » & de « Tyrans » avec déjà toute une « habitude » (de survie ancestrale) d’être capables de faire preuve d’une grande finesse de pressentiment (comme d’action en secret) pour réussir ensuite à emmener « Jésus » encore très affaibli dans un lieu tenu secret dès qu’il eut repris quelques forces sans que personne d’autre ne puisse le savoir. Il n’était pas très difficile ensuite au gré des « combats » ou des querelles qui émaillaient cette période souvent tyrannique (& expéditive) d’aller trouver rapidement le corps d’un jeune homme (ou d’un Berger) qui présentait une certaine ressemblance de corpulence avec le vrai « Jésus » de même que la plupart des hommes « du peuple » avaient les cheveux longs et se laissaient pousser la barbe. Cela pourrait aussi expliquer que ce qui aurait dû être le « Saint Suaire » initial n’était donc pas celui du vrai « Jésus » et qu’il aurait ensuite été détruit pour éviter de prendre le moindre risque d’autant qu’il en était d’un des plus fervent secret de l’histoire de l’humanité(e). Le très aimé « Jésus » aurait donc disparu bien plus tard (ou même beaucoup plus tard) sans même probablement qu’il n’y ait eu alors de « Saint Suaire » comme s’il ne devait plus en être que d’une formidable « vague d’amour » qui allait ensuite se propager (de cœur à cœur). Cela pourrait même être confirmé encore par la volonté de « certifier » du « Saint Suaire » de « Jésus » à la fois comme pour « prouver » ce qui n’avait pas eu lieu (d’autant que les ignobles tyrans n’avaient pas réussi à l’assassiner) et protéger ainsi la grande beauté humaine initiale de cette « onde » (ou de cette « ôde ») mais en même temps (comme d’un « labsus ») qui trahissait tout le manque généré par l’adoration (& l’amour) qu’on pouvait lui témoigner et qui a fini avec le temps (& la beauté du visage ressemblant au vrai « Jésus ») à devenir « un objet sacré symbolique » qui unissait bien des êtres (dans un secret d’amour filigrane historique)
On sent bien encore émaner des populations (dont certaines se retrouvaient même persécutées) « le regret de sa présence » (à un niveau parfois même passionnel) comme si elles pressentaient que « Jésus » était toujours bien vivant (mais pas possible de voir) ce qui à la fois pouvait les exacerber mais encore leur donnait aussi la force de continuer à croire qu’une autre société plus civilisée était possible de faire naître. Ce grand mouvement d’humanité(e) qui reliait des gens humainement sensibles les uns les autres mais encore les reliait à une idée de divinité qui soit réellement « bonne » face à l’immensité possible (de la vie amoureuse) c’est aussi de là que vient l’origine étymologique du mot « religion » (être relié à…) ce qui veut dire aussi « ne pas être aliéné » (ou sous sa cloche à fromage), ce grand mouvement humaniste à cette époque ou peu de gens savait lire ou écrire quand de plus les nouvelles ou les messages devaient être portés d’une ville à une autre (ou d’un pays à l’autre) par un cavalier ou un « coursier » à pieds (qui courait le marathon) il me semble bien difficile que ce grand mouvement ait pû prendre une telle ampleur si rapidement s’il n’y avait pas toujours eu en filigrane la présence vivante de « Jésus » qui prenait aussi une forme (de « revanche stratégique ») entouré par le conseil de femmes qui le tenait « au secret » tout en continuant à lui témoigner (tout leur amour love). Une telle ferveur d’expansion de « la philosophie » de « Jésus » n’aurait d’ailleurs probablement pas été possible si elle n’avait été stimulée par la présence bien vivante de « Jésus » (& le bouche à oreille des femmes en adoration). On peut d’ailleurs en profiter pour rappeler que « Jésus » était en fait un « Artiste » philosophe (& Auteur) doté d’un sens « Théâtral » comme il en est des brillants orateurs de cette époque (entouré de « scriptes ») qui était ses disciples pour écrire & diffuser ses pensées qui parfois encore ont même connu des « embellissements » avec le temps (ou des omissions) comme il en était également des « chefs d’œuvres » que l’on devait recopier de façon manuscrite pour pouvoir les transmettre ou les inscrire dans « la mémoire de l’humanité(e) ». Il faut savoir encore qu’à cette époque il était de coutume pour les philosophes (ou les penseurs) de parcourir les régions et de rencontrer leurs semblables pour en échanger des idées de façon pacifiste ce qui veut dire que « Jésus » a aussi été influencé par d’autres « personnalités » de ces pays du « Moyen-Orient » pour affiner ses pensées (& ses feeling). Il en est même devenu l’un des plus grands Auteurs de l’histoire.
On pensera de même que « Jésus » avait bien une « destinée » (écrite dans les étoiles) puisque sa naissance bien que relativement modeste (avec des parents qui s’aimaient) a intrigué bien des « sensibilités » à l’écoute du monde (& dans le ressenti du temps) sur d’autres Continents si l’on en croit volontiers l’épisode « des Rois Mages » venus de « Perse » (Iran, Afghanistan, Syrie, Pakistan & Asie mineure), « d’Arabie » & « d’Inde » pour apporter des présents (au petit « Jésus ») après avoir vu une étoile apparaitre d’un éclat extraordinaire. On doit aussi bien réaliser qu’aujourd’hui dans des sociétés qui sont souvent très « techniques », « rationnelles » (ou « ultra-matérialistes ») avec des « impératifs de survie » qui les entrainent alors bien souvent dans « des courses folles » (jusqu’à l’aliénation) on ne sait plus ressentir certaines « dimensions magiques » de la vie (ou de l’immensité du temps) qui relèvent aussi de grandes sensibilités (ou richesses humaines) qu’il nous faut aujourd’hui retrouver à travers les enrichissements de nos cultures (pour ne pas devenir « des clones fonctionnels ») ce qui entraine autrement une perte totale « de sens à la vie » (comme à la société) au risque d’en faire émerger des « courants » ou des « actes de délivrance » (même inconscients) qui tendent à des actions « suicidaires » (ou assassines) pour en finir avec toutes les souffrances causées par un tel « non sens » quand il n’en est plus que du gâchis ou du « sacrifice » de toutes les chances que devraient pouvoir nous offrir la «VIE » (& ses dimensions divines)
Pour revenir à un autre élément qui conforterait encore la « Thèse » que « Jésus » avait toutes les probabilités d’être encore bien vivant une fois détaché de sa croix c’est qu’il était un brillant orateur (de même qu’un grand marcheur), les textes d’époque racontent même le célèbre épisode de « Jésus » (qui a réussi « à marcher sur l’eau ») avec peut-être là un « embellissement du récit » que certains « scientifiques » ont essayé d’expliquer par un taux de sel très élevé dans cette mer mais qui je le pense s’expliquerait plutôt par le fait que « Jésus » devait être en plus un nageur remarquable (tout de grâce dauphine) ce qui est d’ailleurs bien plus « suggestif » pour cet embellissement du récit alors que « Jésus » faisait là une démonstration « in vivo » qu’il est possible de vaincre ses peurs de la mer (comme des démons) quand on a en soit une forte croyance plutôt que de rester « immobile » à redouter sans cesse quelque chose. Avec une telle force de croyance en lui-même « Jésus » était donc un brillant orateur qui sait aussi « respirer » (de même qu’un grand marcheur) ou encore plus un excellent nageur. Il faut savoir que lorsque l’on est « crucifié » c’est alors une mort très cruelle qui provient essentiellement de la difficulté à respirer. On meurt donc généralement par « asphyxie » ce qui n’a pas dû être le cas de « Jésus » (avec de telles facultés très exercées) de même que l’on respire aussi « par la peau » en complément des poumons.
Une fois que « Jésus » a été crucifié il en a été ensuite pour ses assassins commanditaires que « d’une chose faite » qui ne les intéressait même plus livré alors sur sa croix à la « mécanique » meurtrière habituelle au beau milieu (du flot coutumier des condamnés). Vu la consternation & les rumeurs de contestation qui s’étaient élevées dans la grande majorité de la population il n’y en avait plus alors « qu’à en finir au plus vite » face à ce châtiment insupportable lors de ce bien triste événement qui sans doute inconsciemment était peut-être même déjà pressenti comme étant l’un des crimes les plus odieux de l’histoire de l’humanité(e). C’est pourquoi « le temps de crucification » de « Jésus » a sans doute été abrégé c'est-à-dire qu’il aurait même alors duré moins longtemps que les autres suppliciés.
Quand il en est venu « d’en finir » (pour libérer la croix) le garde avait pour habitude de donner un coup de lance entre les côtes plus pour vérifier que « le patient » était bien déjà mort que pour donner la mort en frappant le cœur. C’est dire encore que dans le cas de « Jésus » sa mission était des plus pénibles dans un contexte (& une ambiance) qui le poussait d’autant à en terminer rapidement « pour clore l’affaire » sans y mettre beaucoup de « zèle » afin de ne pas non plus (« en porter le chapeau »). De plus « Jésus » était un bel homme de belle magnificiance (& à la fois très proche des êtres) qui non seulement en avait imposé par une « prestance » extraordinaire d’humanité(e), de courage (& de grande bonté) lors de ce « chemin de croix » si injuste mais encore une personne d’où émanait une véritable « aura » comme il en était encore d’une « célébrité » pacifiste (presque divine) qui forcément « même morte » (« en imposait ») de son immensité humaine contre laquelle il semblait difficile « de porter un coup de lance ». C’est pourquoi en outre que le garde ne voulait pas « porter le chapeau » (ni s’attirer les foudres du ciel) il n’a sûrement pas pû porter « un coup final » à « Jésus » qui devait toujours sembler comme relever du « sacré » (même quand on le croyait mort) et quand bien même le garde l’aurait voulu c’est alors très probablement « son inconscient » qui en aurait freiné le geste d’autant que bien des dizaines de milliers de personnes (sous l’aura des femmes) devait veiller sur « Jésus » en onde de cœurs (comme d’une « supra conscience » collective) pour essayer de le protéger comme s’il en était même encore « d’une formidable puissance » (venue des cieux) qui en imposait sa survie.
Je ne peux pas dire combien de temps « Jésus » aurait pû ensuite resté en vie (une fois sauvé par les femmes) qui sans doute l’aurait tenu au secret dans une « ferme » (ou une Bergerie) plutôt discrète dans la nature (ou les montagnes) ce qui ne veut pas dire que « Jésus » ne serait pas revenu dans certaines villes à l’occasion. La blessure la plus grave dont il aurait pû souffrir ensuite aurait surtout été le poumon blessé par la lance du garde bien que l’on peut penser que ce coup de lance de « routine » (n’était pas très appuié). Les autres plaies aux mains, aux pieds ou sur le cuir chevelu auraient sans doute été également très guérissables à l’époque sauf s’il serait survenu une infection bactérienne grave. A cette époque qui était aussi parfois très guerrière on savait quand même déjà soigner ce genre de plaies même s’il en était généralement de « traitements » très douloureux. Là encore l’aspect « psychologique » (ou affectif) aurait été déterminant ce qui donne toutes les chances à « Jésus » d’avoir encore pû vivre un grand nombre d’années pour dire encore toujours (à ses jolies Chéries) bien de jolis mots d’amour sans doute de même que de tenir une réflexion plus « stratégique » (au fil de l’âge) afin que puisse rayonner davantage la belle philosophie pleine d’humanité(e) que « Jésus » de tout son cœur voulait faire valoir au sein des sociétés pour que les populations qui l’aimaient toujours (en devinant sans doute sa présence) puisse toujours continuer à croire dans la réalité que bien des améliorations étaient vraiment possibles dans le partage d’une vie plus civilisée (avec même les jolies putes) & les gentils pêcheurs. Cela était aussi une forme de « revanche » pacifiste sur ses assassins tyranniques (& inconscients) toujours dans le sens qu’il en soit de l’immensité(e) de la vie (& de l’amour love) en louange à la grande beauté(e)s que peuvent révéler les êtres humain(e)s.
Ce qui vient confirmer encore le fait que « Jésus » a bien réussi à survivre (& qu’il a été sauvé) c’est encore l’épisode de « la Résurection ». Cela peut déjà révéler la « peur » (pour ses sauveuses) que les tyrans assassins apprennent que « Jésus » était bien encore réellement vivant en le faisant alors ensuite « disparaître » complètement (pour qu’il n’en soit plus d’aucun doute à son sujet) afin que sa survie puisse être préservée tout en ayant essayé en même temps peut-être sans vraiment le vouloir (comme un grand cri du cœur) de dire aux populations très chagrinées qui l’aimaient qu’elles pouvaient toujours garder espoir puisque « Jésus » avait bien été sauvé et qu’il était toujours en vie. Au-delà du mot « Chrétien » (ou Chrétienne) qui désigne ainsi les premiers « disciples de Jésus » il en a ensuite toujours été signifié l’idée de « Croire sans voir » (par le bouche à oreille) puisqu’il convenait bien toujours dans les temps qui ont suivi sa « disparition » de pouvoir « croire » en « Jésus » (comme en sa belle philosophie) mais qu’on ne pouvait cependant le « voir » puisqu’il fallait assurer sa survie (dans le plus grand secret)
Ce que je trouve de plus extraordinaire surtout c’est que « Jésus » (le « Jésou ») a donc réussi à survivre encore bien de belles années (& qu’il était bel homme) tout naturellement bien charmant, artiste philosophe (très cool) comme il en est d’un parolier chanteur de « love song » (& très aimé des jolies femmes) sinon même « adoré » si bien qu’à la venue de nouveaux Printemps quand il fait bon se promener (dans les grands champs de blé) il ne nous semble pas possible que « Jésus » si sensible (aux grandes beautés de l’existence) ou à l’immensité(e) de la vie n’ait pas pû alors (ne pas avoir de « baby love »). Cela veut dire encore qu’il aurait eu une très heureuse « descendance » peut-être même « multiple » si l’on sait combien (il avait bien des conquêtes amoureuses)
(à suivre en production internationale avec BG° GOLDEN SA)
Golden Spring (Provisory) SAS Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
© Emmanuel DIGNAT 2016 (avec Princess Joy, Coconut’s, Chérie love, Boop’s & ses jolies Chéries « elles sont Géniales ! »)
A Song (Story of a miracle)
Jolies Magic fee’s
Présente
A Song
(naissance d’une Star !)
Comedy funny love !
Film de Cinéma
(music movie)
Paris Africa Rennes 2006-2011-2012-2015
Author
Emmanuel DIGNAT (With all his pretty Chéries, the lovely “Ô” & Princess Joy !)
Golden Spring's Consulting - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
… sur honoraires !
(si pratique aujourd’hui de ne pas payer avec les Computers ?)
A Song
(naissance d’une Star)
… je rêve
we dream love dreams to stay alive...
… big loves waves (so love light travel for peoples !) a music love movie !
(avec Princess Joy, Miminou, la jolie Coconut’s, Betsy, Stacey, Jessica, Stella, Beauty Boop & all the lovely Beauties & Chéries...)
PITCH
Story of a miracle with a mother, her daughter and a song... a magic song !
Summary
Une jeune Africaine charmante « Sonia » arrive en France. Elle veut enregistrer une chanson qui lui tient à cœur « Omimio » mais les producteurs ne la produisent pas (malgré son charme) à l’exception de « Willy » un manager artistique (influant & charmé) qui n’arrive cependant plus à la retrouver après une première rencontre qui l’a bouleversé. La jolie « Sonia » se retrouve alors sans le sou, toujours à fredonner sa jolie chanson mystérieuse (qui est aussi une énigme) se souvenant alors de l'Afrique & de sa jolie Mumy adorée « Milady Nweka» (le prénom d’origine Africaine « Nweka » veut dire « une jolie mère extraordinaire & adorée » au Nigéria) pendant que l’adorable « Willy » (soupçonné d’être tombé amoureux) court partout dans la grande métropole & ses environs (avec sa jolie Jaguar) pour essayer de retrouver « Sonia »
Le temps passe, la jolie « Sonia » est maintenant en grande difficulté (victime de salauds) à essayer de survivre, fredonnant toujours sa jolie mélodie « Omimio » en son cœur (parfois même en larmes) alors qu’elle voulait ensoleiller le monde. Heureusement (alors qu’elle est presque au bord du désespoir) « Sonia » fait la connaissance d'une femme très audacieuse « Alexandra » qui va l'aider à enregistrer sa jolie chanson « Omimio » avec des musiciens « funny cool » dans un grand studio d’enregistrement « pro » et c'est alors le coup de chance puisque « Willy » (après bien des kilomètres & des coups de fils partout à tout le monde) retrouve enfin la jolie « Sonia ». Il lui demande encore de parler de cette mystérieuse chanson « Omimio » qui lui a touché le cœur depuis leur première rencontre et c’est maintenant « le coup de foudre » tant attendu (de l’amour) entre « Willy » & « Sonia » (féline pour l’autre) après tout ce temps de fort suspense passé à la rechercher alors qu’elle en était même à survivre presque au bord du désespoir !
« Willy », le cœur éclairé par cette jolie chanson se démène de son mieux pour faire une belle promotion de « Omimio » la mélodie magique de la jolie « Sonia » (il enregistre même des arrangements supplémentaires avec des chœurs & un orchestre de violons) pour compléter cette œuvre émouvante à la fois simple & grandiose. Comme si l’horizon maintenant s’ouvrait en grand sous la magie du souffle du bonheur en bien des lieux du monde les publics & les fans sont charmés (une véritable ovation) la chanson « Omimio » devient alors très vite un grand succès. «Sonia » (si heureuse maintenant) confie alors à « Willy » (flying in love space) l'origine de cette jolie chanson qu'elle a chantée quand elle était encore petite enfant alors que sa mère « Mumy Nweka» était mourante. « Willy » en est encore bouleversé davantage avec elle sous les étoiles. Il « flying love » complètement sous le charme de cette petite histoire d’amour & d’humanité(e) très émouvante que sa jolie « Sonia » porte en son cœur depuis son enfance avec l’extraordinaire audace d’être venue en Europe pour la faire partager en voulant enregistrer « Omimio » pour en faire un magnifique « Tube !»
Comme une douce pluie du ciel (avec les larmes de l’amour) de la ravissante « Sonia » qui est maintenant soulagée de s'être délivrée de son secret de cœur à cœur avec « Willy » (fou d’amour pour elle) mais surtout d’avoir rencontré un grand cœur qui puisse entendre la beauté de ses sentiments. La jolie « Sonia » est maintenant bien entourée (surtout avec le beau « Willy ») déjà une « Love Star » très aimée dans le monde entier avec aussi sa grande amie « Alexandra » (& les musiciens funny love) & toutes ses copines Africaines avec les jolies beauties de tous les Continents du monde « in love happy waves ! » pour que sa jolie chanson « Omimio » puisse faire encore quelques tours du monde !
As a flying bird for peace & love !
Le secret de la chanson « Omimio »
Alors que sa mère « Mumy Nweka» était mourante, «Sonia » encore petite enfant l’a prise dans ses bras, la croyant disparue à tout jamais pour lui chanter de tout son cœur cette magnifique chanson « Omimio » si mystérieuse, émouvante & joyeuse de vie. C'est alors que sa « mumy » adorée a ouvert les yeux pour reprendre vie comme si elle en revenait avec de grands rêves de lumière. Depuis « Sonia » chante cette jolie mélodie chaque jour en son cœur, rêvant d’amour & de sa « mumy » (as a miracle !)
SONIA (funny love in emotion)
« This is my secret story »
Synopsis (en esquisse)
ACTE I
Une jeune Africaine charmante « Sonia » arrive en France. Elle veut enregistrer une chanson qui lui tient à cœur « Omimio » mais les producteurs ne la produisent pas (malgré son charme) à l’exception de « Willy » un manager artistique (influant & charmé) qu’elle rencontre par hasard sans savoir qui il est vraiment. Malgré un premier coup de cœur « Willy » très préoccupé lui demande son téléphone sans pour autant faire de promesses après avoir enregistré la chanson de « Sonia » sur son téléphone mobile. La jolie « Sonia » qui habite à l’hôtel se retrouve alors sans le sou, toujours à fredonner sa jolie chanson mystérieuse (qui est aussi une énigme) se souvenant alors de l'Afrique & de sa jolie Mumy adorée « Milady Nweka» (le prénom d’origine Africaine « Nweka » veut dire « une jolie mère extraordinaire & adorée » au Nigéria). C’est alors que 3 salauds de type « sale show bizz » cherchent à abuser d’elle, elle réussit cependant à leur échapper mais se fait voler son téléphone.
Pendant ce temps « Willy » (amoureux de « Sonia ») se pose un cas de conscience car l'air de la chanson « Omimio » lui revient sans cesse. Il l'écoute avec passion sur son téléphone de même qu’il essaye toujours en vain d'appeler « Sonia » sur son téléphone (ne sachant pas qu’on lui a volé). Pour essayer d’avancer en attendant de pouvoir la retrouver « Willy » finit par aller voir « le Big Boss » de la maison de disque pour parler d’elle, lui faire écouter la mélodie. Le « Big Boss » est charmé lui aussi. Il lui accorde une ligne de crédit importante pour le budget de production et « Willy »réconforté part à la recherche de « Sonia » dans la grande métropole !
ACTE II
« Willy » cherche « Sonia » avec une grande frénésie, parfois ils se croisent mais elle semble toujours lui échapper. On se demande si leurs destins vont se rejoindre alors que l’adorable « Willy » (soupçonné d’être tombé amoureux) court partout dans la grande métropole & ses environs (avec sa jolie Jaguar) pour essayer de retrouver « Sonia » qui elle-même cherche à survivre tout en essayant d’échapper aux 3 sales types du « show bizz ». D’ailleurs sur le boulevard « Sonia » (affamée) voudrait bien manger un sandwich Grec mais le vendeur veut voir l'argent. Elle n'en a pas et se retrouve bien triste. Heureusement un beau jeune homme « funny » lui offre un sandwich et le vendeur un Coca. C'est un musicien bassiste qu'elle retrouvera plus tard...
Le temps passe, la jolie « Sonia » est maintenant en grande difficulté (victime de salauds) à essayer de survivre, fredonnant toujours sa jolie mélodie « Omimio » en son cœur (parfois même en larmes) alors qu’elle voulait ensoleiller le monde. Elle ne sait pas comment retrouver « Willy » d’autant qu’elle n’a plus de téléphone pour attendre son appel ce qui l’attriste beaucoup (chagrin d’amour aussi) sans savoir que « Willy » de son côté met presque toute la ville en effervescence ou en éveil (& en émoi!). Il essaye alors de retrouver « Sonia » par son opérateur de téléphone mobile. Il réussit à obtenir une adresse, se presse d’y aller mais la personne n’est pas « Sonia ». C’est simplement un jeune particulier plutôt sympathique qui a vendu à « Sonia » le téléphone d'occasion. Le jeune ne sait pas où elle est mais il lui donne quand même une piste, celle d’un hôtel bien modeste où « Willy » se rend aussitôt. Il ne trouve toujours pas « Sonia » et apprend par l’hôtesse d’accueil que « Sonia » ne vient plus car elle s'est fait voler ses bagages et qu’elle n’a plus de sou. Elle-même ce jour là a été abusée par 3 types un peu « show business » qui sont venus avec des fleurs (et lui ont donné un bon pourboire) et qui sont ressortis discrètement par l’escalier de secours avec tous ses bagages comme le lui a dit ensuite une voisine qui les a aperçu depuis sa fenêtre. « Willy » en est presque catastrophé. Il ne sait plus où aller mais une locataire sympathique qui la connaît le renseigne en lui indiquant un quartier populaire où « Sonia » aime se promener...
« Sonia » est donc à cours d'argent toujours « funny » (mais bien seule) et parfois presque à bout de tout lorsque la nuit arrive et qu’elle ne sait pas où dormir. L'une de ses copines d’infortune (qui connait déjà la chanson) lui propose alors de se « prostituer » (juste le temps de mettre quelques billets de côtés). Elles vont dans un lieu de rencontres pour ça (au bord de la route) elles se font bien draguer (avec tant de charmes) mais alors qu’un client fortuné lui demande ses grâces « Sonia » s'enfuit soudainement, juste au moment d’ailleurs où arrive les 3 types du « show bizz » qui se lancent alors à sa poursuite. « Sonia » qui s’est enfuie avec sa copine d’infortune réussit à leur échapper. Elle lui dit alors qu’elle ne peut pas faire ça comme ça. Sa copine lui répond qu'elle n'a plus qu'à faire les poubelles !
Après avoir refusée de se prostituer « Sonia » se retrouve bien seule (désespérée) sur un pont où coule une rivière (ou bien sur un quai de RER), elle fredonne sa jolie chanson « Omimio » en regardant les étoiles dans le ciel puis les larmes aux yeux elle appelle tout au loin « Mumy, mumy !» Comme si le ciel l’avait entendue elle fait heureusement la connaissance d'une femme charmante très surprise de la voir ainsi. C’est « Alexandra » (une ancienne chanteuse encore jeune) et très audacieuse qui va l'aider à enregistrer sa jolie chanson « Omimio » avec des musiciens « funny cool » dans un grand studio d’enregistrement « pro !»
MILIEU DU SCENARIO
« Willy » cherche toujours la jolie« Sonia » avec détermination. Il parcourt même les cités en voiture (la zone) entre deux rendez-vous dans les salons des Grands Hôtels (ou des Studios) il découvre ainsi (aussi chagriné(e)s que lui) quelques talents oublié(e)s le temps de leur laisser sa carte de visite tout en croisant parfois au gré du hasard la jolie « Sonia » dans la grande métropole sans jamais qu’ils réussissent vraiment à se retrouver. « Willy » remarque d’ailleurs sans le savoir de sales individus de type « sale show bizz » qui rodent ici ou là avec des intentions qui semblent peu louables.
Ainsi « Alexandra » qui est une pro du métier heureuse de sa nouvelle joie de vivre pour aider « Sonia » (qui déborde de talent) ainsi « Alexandra » réussit à rassembler d’excellents musiciens « funny » qui adorent la chanson avec encore des jolies copines (all colors) qui font les chœurs et le soutien de nombreuses amitié(e)s populaires très ému(e)s par le chagrin qui a frappé une si jolie jeune femme. « Sonia » toute heureuse enregistre « Omimio » dans un grand Studio pro, la chanson est magnifique, bien jouée (bien chantée) c’est à nouveau le grand bonheur qui revient, tout semble aller pour le mieux lorsque les 3 salauds de type « Show bizz » (qui voulaient abuser d’elle auparavant) réussissent à voler l’enregistrement « Master » de la chanson « Omimio » que vient d’enregistrer « Sonia ». Tout s’effondre alors pour elle mais c'est alors le coup de chance puisque « Willy » (après bien des kilomètres & des coups de fils partout à tout le monde) la retrouve enfin par hasard au studio d'enregistrement alors qu’il avait un rendez-vous avec un compositeur de chansons à succès. « Sonia » n’en revient pas (lui non plus) c’est aussitôt « le coup de foudre » tant attendu (de l’amour) entre « Willy » & « Sonia » (féline pour l’autre) après tout ce temps de fort suspense passé à la rechercher alors qu’elle en était même à survivre au bord du désespoir. Avec les larmes de l’amour c’est aussi des larmes de chagrin lorsque « Willy » apprend à sa grande stupéfaction que « Sonia » a enregistré sa jolie chanson « Omimio » grâce à l’aide de la charmante « Alexandra » (qu’il connait déjà de métier) avec ses amis musiciens mais qu’ils sont à nouveau désespérés puisque les 3 salauds (du sale show bizz) viennent de leur voler l’enregistrement « Master » de « Omimio » (sa jolie chanson d’amour) d’autant que l’enregistrement est des plus magnifique !
Cela ne se passera pas ainsi d’autant que « Willy » dispose de grands moyens pour consoler tout le monde et réussir à faire décoller « Omimio » (en toute splendeur) comme le mérite cette œuvre magnifique, un « Hit » que bien des millions de gens doivent attendre tout comme lui de pouvoir entendre partout sur toutes les Radios, le Web & les TV pour leur faire du bien au cœur (& à la vie). Tous s’interrogent alors pour essayer de trouver « une piste » afin de récupérer leur « Master » de l’enregistrement. « Willy » lorsqu’il cherchait « Sonia » avait cependant remarqué les 3 sales types (de « sale show bizz »). Il décide de les retrouver pour reprendre l’enregistrement « Master » de la jolie chanson de « Sonia »
ACTE III
C’est une course folle qui s’engage avec « Willy » & « Sonia » (qui en profitent pour faire davantage connaissance), toujours aidés par « Alexandra » tout en préparant la sortie de la chanson « Omimio » ainsi qu’un magnifique concert. Ils finissent par retrouver le « Master » de l’enregistrement de « Omimio » que les 3 salauds « du show bizz » acculés au règlement de comptes s’apprêtaient à détruire, ce qui leur vaudra d’essayer de s’enfuir depuis le 36 ème étage d’un building en sautant par la fenêtre (sans parachute !)
C’est maintenant pour tout le monde le bonheur retrouvé, la jolie « Sonia » est des plus ravissantes, « Willy », le cœur éclairé par la jolie chanson « Omimio » (mélodie magique de « Sonia ») fait une belle promotion internationale (il enregistre même des arrangements supplémentaires avec des chœurs & un orchestre de violons) pour compléter cette œuvre émouvante à la fois simple & grandiose. Comme si l’horizon maintenant s’ouvrait en grand sous la magie du souffle du bonheur en bien des lieux du monde les publics & les fans sont charmés (une véritable ovation) la chanson « Omimio » devient très vite alors un grand succès (mondial !) Cependant la jolie « Sonia » n’a toujours pas confié tout le secret de sa jolie chanson à « Willy » qui en est cependant bouleversé davantage. Il n’en revient pas (amoureux, ému & enjoué) de cette petite mélodie des plus émouvante que sa jolie « Sonia » porte en son cœur depuis son enfance avec l’extraordinaire audace d’être venue en Europe (pour la faire partager) en voulant enregistrer « Omimio » avec l’idée d’en faire un magnifique « Tube !»
C’est maintenant le soir du grand Concert « live » sous les étoiles avec tout l’orchestre de choristes & les musiciens pour que la jolie « Sonia » puisse présenter sa jolie chanson « Omimio » retransmise en direct dans le monde entier sur bien des chaines de TV (avec en plus le tournage d’un Clip vidéo magnifique), encore une magnifique prestation émouvante de la jolie « Sonia » alors qu’elle chante avec son cœur sous une ovation du public qui n’en finit pas (c’est même trop de bonheur !) La jolie « Sonia » est maintenant bien entourée (surtout avec le beau « Willy ») déjà une « Love Star » très aimée dans le monde entier avec aussi sa grande amie « Alexandra » (& les musiciens funny love) & toutes ses copines Africaines avec encore les jolies beauties de tous les Continents du monde « in love happy waves ! » pour que sa jolie chanson « Omimio » puisse encore faire quelques tours du monde !
As a flying bird for peace & love !
Après le magnifique Concert de « Sonia » (si heureuse maintenant) elle confie alors à « Willy » (flying in love space) l'origine de sa jolie chanson qu'elle a chantée dans son enfance alors que sa mère « Mumy Nweka» était mourante. (flashback « Le secret de la chanson ») C’est un moment de grand chagrin quand « Mumy Nweka» est mourante. C’est alors que la jolie «Sonia » (encore petite enfant ) la prend dans ses bras, la croyant disparue à tout jamais pour lui chanter de tout son cœur sa magnifique chanson « Omimio » si mystérieuse, émouvante & joyeuse de vie lorsque soudain sa jolie « mumy » adorée ouvre les yeux pour reprendre vie comme si elle revenait avec de grands rêves de lumière. Depuis « Sonia » chante cette jolie mélodie chaque jour en son cœur, rêvant d’amour & de sa « mumy » (as a miracle !)
SONIA (funny love in emotion)
« This is my secret story »
Comme une douce pluie du ciel (avec les larmes de l’amour) de la ravissante « Sonia » qui est maintenant soulagée de s'être délivrée de son secret de cœur à cœur avec « Willy » (fou d’amour pour elle) mais surtout d’avoir rencontré un grand cœur qui puisse entendre la beauté de ses sentiments. « Sonia » & « Willy » vivent le grand amour après le Concert qui a été un triomphe de l’amour avec tous les publics & jolies Beauties en extase de bien des pays du monde alors que le ciel magnifique de la nuit scintille d'étoiles étincelantes sur tout l’horizon au-dessus de la grande métropole. « Willy » est toujours aussi bouleversé davantage encore (& renversé dans les bras de « Sonia ») par cette petite mélodie, grande histoire d’amour aussi & d’humanité(e) ! Tous deux pensent alors à la jolie « Mum Newka » tout au loin. « Sonia » & « Willy » « flying love » regardent alors en direction de l'Afrique « flying love » lorsque soudain dans le ciel des nuées d'étoiles filantes (sur l'air de la chanson « Omimio ») des nuées d'étoiles filantes jaillissent soudain de toutes parts sous le regard étonné de la Lune (et de « Sonia » & « Willy ») pour dessiner dans l’encre de la nuit une magnifique chorégraphie à la lumière des étoiles !
SONIA (flying love)
Hi Mumy !
A Song
(naissance d’une Star)
Note d’intention
Story of a miracle with a mother, her daughter and a song... a magic song !
Sentiments d’amour & « feeling life » des femmes Africaines appréciées & aimées de beaucoup de jolies femmes du monde entier, on pense encore à la grande beauté de ces femmes extraordinaires que je connais bien depuis longtemps (en chœurs). « A Song » c’est aussi (un film de « foi » en la vie) avec la dynamique humaine de ne jamais renoncer à faire de belles choses de même que la chanson « Omimio » est très émouvante avec beaucoup d'espérances !
Quelques idées de chansons intégrées à la musique du film
« Omimio »
« C'est une chance que tu sois là »
« Partager un peu de bonheur »
« The chance is coming for you”
« Don't forget to be happy »
As a flying bird for peace & love !
J’ai écrit le synopsis du film « A Song » depuis 2011 ou 2012 à Rennes (en cœur avec Paris & l’Afrique depuis 2006) sur des feuilles de papier avant de les saisir sur mon Computer seulement en 2015 je pense. Il est clair que ces idées ont été volées, pillées à mon domicile avant 2015 directement sur mes feuilles de papier par des gens qui disposaient donc d’un double de mes clés. On sait toutes les extorsions dont j’ai été victime ensuite à partir de l’automne 2013 à Rennes quand j’ai commencé à écrire ma comédie musicale « Ange & Mélissa » (avec certaines similitudes de mon histoire « A Song ») alors que les « pouvoirs locaux » de la ville de Rennes me faisaient croire qu’on allait produire cette comédie musicale à Paris avec toutes les facilités, de même qu’un budget de départ en réparation de ce que j’avais enduré à Rennes depuis des années ainsi que la résolution de l’emprisonnement administratif sous menaces dont j’étais victime.
Ainsi tout allait s’arranger, c’est comme si c’était fait !
Il s’en est suivit encore des dizaines de millions d’euros (avec d’autres promesses & d’autres trahisons) de mes œuvres, stratégies ou consulting ainsi que des centaines de pages de témoignages, plaintes & actions en Justice qui se sont soldés par un internement abusif en psy en Janvier 2015 ainsi qu’une averse de corruption (assortie d’infections bactériennes & tentatives de meurtre à domicile !)
La jolie chanson de ce film « Omimio » qui aurait pû être mon Tube « Océo » existe cependant déjà depuis longtemps en mon cœur (ce sera une surprise) car il s’agit d’une très jolie chanson Africaine des plus émouvantes (& heureuse!)
FBI - EUROPOL - KGB
Encore bien des étranges coïncidences avec des situations inacceptables que certains « pouvoirs » me font endurer à Rennes, encore des caricatures, parodies ou « antithèses » de ce que j’écris qui mettent ma vie en jeu à grands renfort de cruautés, moqueries, provocations...
Donald, Daisy & la Petite ! (un film à grand succès plus grand que le Titanic)
Jolie Magic fee’s
Présente
Donald, Daisy & la Petite !
(Scénario Movie Cinéma)
NOV 2014
Author
Emmanuel DIGNAT (avec ses jolies Chéries & la jolie Daisy de Mc Do !)
Golden Spring’s Consulting - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
… je suis épuisé, je me lève tard, il fait presque nuit, trop tard pour aller chercher mon pain au Centre Colombia, je passe à Carrefour, je marche quand même jusqu’à Monoprix qui vient juste de fermer… le temps est assez clément, la Gare, solitudes, j’en ai vraiment assez, déjà plus d’argent en poche, je passe ensuite une soirée, une nuit « assez chaude », avec de fortes douleurs à ma blessure, je raconte alors beaucoup de « belles histoires » (de sa vie) dans ma cuisine « In the Kitchen »… avec les bandes dessinées que j’ai aimé, les rapports avec le scénario de film de cinéma, bien des perspectives culturelles internationales des plus heureuses… ainsi je m‘amuse à « écrire un scénario », le vivre surtout tout en le racontant, en improvisation, avec de nombreuses indications sur certains points importants en matière de dramaturgie, narration filmique, toujours tant de possibilités à donner à une histoire, le sens toujours avec surtout une envie, le meilleur choix possible, celui que l’on ressent le mieux, au plus vrai de soi… (avec « son style ! »)
… ainsi naquît (d’après Mickey)
« Donald, Daisy & la Petite ! »
… so beautiful funny love story !
(en Panavision 70 mm)
... so filigrane !
(comme le petit grain de sable dans la machine...)
... bien sûr je lisais chaque semaine mon « Journal de Mickey » (il était abonné !) que je recevais dans la boite aux lettres de notre petite maison du Hameau fleuri… c’est dire aussi si je guettais le facteur (qui venait en vélo)
« Mickey à travers les Siècles ! »
( … qui se prenait des « coups sur la tête ») ce qui le faisait changer d’époque !
… avec également « Picsou »… l’Oncle Picsou qui était plein de fric… une montagne de pièces d’or (des gros billets aussi) Lingots d’or en Suisse bien sûr… comptes aux Caïman ou aux Bahamas (ou aux îles Canaris) mais par contre pour lui faire sortir un peu de fric ce n’était pas chose facile !
… Donald, Daisy & « la petite » !
(Synopsis de film cinéma)
… justement voilà notre pauvre Donald (son neveu) qui arrive… il ne sait pas comment payer le loyer de son appartement (déjà plusieurs mois de retard) et sa jolie Gonzesse « Daisy » (un peu comme Betsy) menace de le quitter (avec leur jolie « petite » qui a des petits papillons dans ses cheveux)… le voilà bien triste Donald… il raconte son chagrin à l’Oncle « Picsou » plein d’espérances mais l’Oncle Picsou fait semblant de ne rien entendre lui disant qu’il a déjà tellement de charges lui aussi, d’Impôts de toutes sortes évidemment sur sa fortune… faisant ainsi oublier qu’il a quand même bien des comptes en Banques ou des coffres-forts avec bien des lingots d’ors (et des gros sacs de billets doux) un peu partout dans le monde et justement même dans le sous-sol de sa belle propriété mais alors qu’ils conversent tous deux voilà justement « les Rapetous » (3 bandits bien connus) qui portent des bandeaux noirs sur les yeux pour ne pas qu’on les reconnaisse avec juste des trous où brillent leurs yeux avides, ils sont d’ailleurs en train de finir de casser le mur de la salle du Coffre fort dans le sous-sol de l’Oncle Picsou !
… commence alors la razzia « fous de joie ! » des Rapetous qui s’affairent (avec joie) à choisir des gros sacs de billets mais voilà soudain qu’ils sont pris d’un doute pour savoir si l’un deux a bien mis un Ticket de stationnement sur le pare brise de leur voiture pour ne pas se faire remarquer (ni vu ni connu) évidemment le Ticket est bien sur le pare brise mais les Rapetous ne se doutent pas qu’au même moment deux personnages bien mystérieux s’affairent justement autour de leur voiture, forcent discrètement la porte du conducteur, l’un d’eux entre, il bricole quelque chose sous le volant pendant que l’autre ouvre le coffre arrière tout en faisant attention de ne pas se faire voir des passants puis referme le coffre, fait signe que c’est « ok » à l’autre qui sort de la voiture mais perd un gant qui se coince dans la portière conducteur juste avant qu’elle se referme…
… l’Oncle Picsou si malheureux fortuné n’entends donc pas le chagrin de son pauvre neveu Donald qui cependant avant de partir lui donne une belle enveloppe que « sa petite » adorable lui a demandé de lui donner…
« c’est une surprise de « la petite »
… merci Donald, elle est vraiment adorable, je suis très content de ta visite !
… ainsi bien triste (mais philosophe) le pauvre Donald esseulé se retrouve à la rue ne sachant vraiment s’il va rentrer chez lui alors qu’il n‘a toujours pas un sou pour payer le loyer, que va-t-il dire à Daisy alors qu’ils sont sur le point de se faire expulser ? Et la « petite » ? Que vont-ils devenir dans ce monde impitoyable qui ne sait entendre la poésie de l’amour ?
… là… tout comme le spectateur ou la spectatrice qui regarde le film sur un grand écran dans une belle salle de cinéma (avec des Pop Corns) on pense quand même… « Quel salaud ce Picsou !... finalement, les Rapetous ont bien fait de se servir dans le coffre-fort ! »
… justement les Rapetous bienheureux (ils pourront aller à la Pute) « Beach » chérie... « à la plage » ... ils se pressent alors de sortir du tunnel souterrain juste derrière la belle propriété de l’Oncle Picsou, complètement d’accord avec ce que pensent les spectateurs (& spectatrices !) « si tu « Picsou » on « Rap’s tout ! » disent même les bienheureux Rapetous portant des gros sacs de billets remplis à ras-bord (qui débordent de billets) ils arrivent avec grâce (sur la pointe des pieds) jusqu’à leur voiture (avec le joli Ticket de stationnement) bien sûr celle que les deux individus bien mystérieux viennent justement de trafiquer !
… so what will happen ? (FBI)
… ils s’apprêtent à monter dans leur voiture (pris de fous rires) lorsque soudain l’un d’eux remarque le gant coincé dans la portière avant de la voiture du côté du conducteur… un peu déconcertés ils réfléchissent, se demandent l’un l’autre si ce n’est pas l’un de leurs gants pour en convenir qu’ils ont bien chacun leur paire, c’est alors qu’un doute les tenaille, ils jettent discrètement des regards inquiets à la ronde pour finalement se demander si leur voiture n’a pas été trafiquée en leur absence
« Tu penses que quelqu’un aurait mis des explosifs ? »
… « Fichtre ! J’ai laissé ma Carte de Crédit dans la boite à gant ! »
… « en plus ! »
… les voilà bien embêtés lorsqu’au bout de l’avenue bordée d’arbres arrive justement une voiture de Police qui roule lentement, semblant chercher quelque chose (sans doute les Rapetous !) qui n’ont toujours pas vu la voiture de Police arriver cherchant en vain une solution en se grattant la tête « Que faire ? » se demandent-ils (en chœurs) lorsqu’ils voient soudain sur le trottoir un gamin qui arrive un peu rêveur tenant une copie d’écolier à la main (où il a eu une mauvaise note) redoutant d’ailleurs de se faire réprimander par ses parents lorsque l’un des Rapetous soudain l’appelle, lui tends un billet de banque tout neuf avec bonheur
« Tiens petit !»
… le Gamin le regarde
« C’est pour moi ? »
… « Ecoute Petit, c’est ma voiture, je veux juste que tu entres et que tu démarres la voiture ! »
… le Gamin semble tout heureux
« Démarrer la voiture ?... facile ! »
… Et si la voiture explosait au moment du démarrage ?... ainsi l’on pense maintenant « Quels salauds ces Rapetous ! » qui d’ailleurs très lâchement s’éloignent de leur voiture (à petits pas) avec leurs gros sacs de billets, redoutant une explosion alors que le Gamin tout heureux ouvre la portière « comme un Pilote de course ! » il s’installe au volant, appuie sur le bouton automatique pour abaisser la vitre avant, adresse un salut amical de la main aux Rapetous qui l’incitent de la tête
« Vas-y Petit ! »
… le Gamin (tout heureux)
« Pas de problème, ça boum ! »
… il tourne la clé de contact, juste le bruit du démarreur, le moteur tousse, le Gamin appuie un grand coup sur l’accélérateur, le moteur s’emballe, tout heureux le Gamin fait ensuite vrombir le moteur « Vroum, vroum ! » quelques longues secondes en attente, toujours pas d’explosion, les Rapetous soufflent de soulagement « fausse alerte les gars, pressons nous maintenant » ... « le Chef nous attends ! » c’est alors que l’un d’eux aperçoit la voiture de Police qui arrive lentement « Zut ! Voilà du monde ! »... « Vite les gars ! » ils se pressent de charger les gros sacs de billets dans le coffre (et sur les sièges arrières) de la voiture « merci Petit » dit l’un d’eux qui regarde le Gamin un peu rêveur, réalisant alors qu’il aurait pû mourir de sa faute si la voiture avait explosé, effleuré d’un soupçon d’humanité qui l’étonne lui-même il lui tends soudain une poignée de billets « Tiens Petits, pars vite maintenant » un autre Rapetous l’interpelle « dépêches toi nom de nom ! » ils s’installent tant bien que mal dans la voiture bourrée de sacs de billets ce qui ne les empêche pas de se disputer quand même pour savoir qui va conduire et qui aura la place avant passager (plus confortable) ainsi l’un d’eux se retrouve seul à l’arrière, fort mécontent de son mauvais sort…
« Sale race ! »
… fais pas la gueule
… on va bien s’amuser !
… au même moment la voiture de Police passe lentement, s’arrête à la hauteur de la voiture des Rapetous qui soudain prennent un air enjoué (avec de grands sourires) avec même un petit signe amical de la main « coucou ! » faisant soudain démarrer la voiture en trombe avec les Rapetous (riant aux éclats) alors que dans la voiture de Police c’est (une charmante policière) au volant toute extasiée qui dit à son équipier
« Tu as vu tous ces billets ! »
… son équipier (un flic français avec une belle casquette)
« les salauds ! »
… la policière (toujours extasiée)
« T’oubliera pas d’en prendre quelques liasses pour les petits pots ! »
… elle démarre en trombe, la voiture dérape, zigzag sur la chaussée, fait demi-tour en faisant crisser les pneus pour se lancer (à fond la caisse) à la poursuite des Rapetous endiablés pendant que juste à côté dans la belle propriété l’Oncle Picsou arrivant dans la salle des Coffres jonchée de billets oubliés dans la précipitation découvre alors le vol de son argent (levant les mains au ciel) il pousse un long cri de désespoir à vous arracher le cœur « Aaaaah… tous mes sacs de billets de 1000 ! » il manque de s’évanouir, vacille, tout juste rattrapé par sa Gouvernante qui arrive à l’instant « Monsieur Picsou ! » elle le soutient tant bien que mal alors que surgit le Majordome tout affolé « Monsieur Picsou ! » il le transporte avec la Gouvernante en le tenant par les pieds jusque sur le Canapé du salon où le pauvre Monsieur Picsou balbutiant des mots incompréhensibles essaye en vain de retrouver ses esprits…
… après avoir vu son Oncle Picsou, le malheureux Donald revenu sans un sou auprès de Daisy aurait pû s’entendre dire
… Daisy (presqu’en larmes)
« Je te quitte Donald… »
… Donald
« Mais c’est pas de ma faute Daisy !»
… Daisy
« C’est trop tard Donald, nous n’avons plus un sou, je n’ai même pas de quoi préparer un Bacon Cheese Burger pour la Petite !»
… Donald
« Aaaaah… »
… Daisy
« Tu es un manant Donald ! Vas t’en ! »
…. Donald (presque mourant)
« Aaaaaaaah… »
… il se serait senti frappé d’injustice, aurait alors été obligé de repartir, seul, effondré sans plus jamais pouvoir revoir sa « Petite »… en ce cas on aurait peut-être pensé de Daisy « Quelle connasse celle-là ! »… « pauvre Donald… »
... mais là dans notre film par chance peut-être Donald n’a pas encore retrouvé Daisy… il marche un peu grincheux sur le trottoir parfois prit de révolte où il se demande même s’il ne va pas « se faire une Banque ! » c’est alors qu’arrive en trombe dans la rue (avec crissements de pneus !) la voiture des Rapetous toujours rieurs avec leurs bandeaux noirs sur le visage où brillent leurs yeux de bandits
« Quel abruti ce Picsou ! »
… (dont le chagrin fait bien leur bonheur) Donald un peu surpris voit passer les Rapetous (en Rap’s) « qui filent à fond la caisse avec la caisse de Pic-sou !» suivie aussitôt par la voiture de Police qui surgie en dérapage (et en Rap’s aussi) « toujours à fonds la caisse jouant aussi de la caisse claire! » avec toujours au volant (et complètement extasiée !) la charmante policière qui justement apercevant Donald si malheureux sur le trottoir fait une légère embardée pour passer juste à côté de lui
« Hi Donald ! »
Donald
… « Hi ! »
… les voitures disparaissent en trombe à l’angle de la rue
Donald (songeur)
« J’ai dû la voir quelque part celle-là mais je me souviens pas où ! »
… un éclair de tonnerre résonne dans le ciel, Donald (lève les yeux au ciel) il faudrait peut-être qu’il trouve une banque maintenant pour essayer lui aussi de se servir (dans la Caisse) avant la fermeture car la journée est déjà bien avancée
« comme ça je pourrai même acheter une Mappemonde pour la Petite ! »
… pas très loin d’ici justement c’est l’heure de la sortie d’une petite école (les petits & les petites) sortent joyeusement sur le trottoir avec justement la jolie « Petite » de Donald & Daisy (ou de Daisy & Donald) toute mignonne avec son petit cartable (et son petit copain) elle regarde aussi le ciel alors que résonne un autre roulement de tonnerre
La Petite (à son petit copain)
... je suis sûr qu’il va bientôt pleuvoir !
… un magnifique dessin (d’une Petite) sort d’une belle enveloppe où l’on reconnait dessiné notre ami Donald avec Daisy (la Petite) l’Oncle Picsou avec encore quelques petits enfants qui jouent au Volley Ball sur la plage au bord de l’océan…
« for you my dear Uncle ! »
… écrit en nuages colorés dans le ciel, c’est la belle enveloppe de « la Petite » que Donald avait donné à l’Oncle Picsou (bien triste encore) allongé sur le Sofa qui contemple tout ému cette magnifique scène de bonheur
« elle est vraiment géniale cette Petite !»
… surgie alors dans un virage la voiture des Rapetous (en fous rires à fond la caisse) suivie par la voiture de Police toutes sirènes hurlantes alors que surgie encore une troisième voiture d’une autre rue « c’est eux ! fonce ! » on reconnait les deux mystérieux « inconnus » qui avaient trafiqué la voiture des Rapetous
« ils n’en ont plus longtemps !»
… l’autre inconnu (tout en conduisant en pleine accélération)
« Tu as mis assez de Nitroglycérine explosive ? »
… « Juste un petit bidon caché dans le coffre… à la moindre secousse tout explose ! »
... « il faudra quand même voir si je peux pas retrouver mon gant ! »
… cette remarque (les faits pouffer de rire) comme s’ils étaient à bout de nerfs nous retrouvons maintenant (la sortie de la petite école) avec les Petits & les Petites (qui gazouillent comme des petits poussins) c’est alors que surgie la voiture des Rapetous endiablés toujours à fonds la caisse les enfants entendent les rugissements (et crissements de pneus) de la voiture qui se dirige tout droit sur la route où s’éparpillent les bambins, le petit copain de la « Petite » se retourne « Regarde ! Une poursuite ! » justement les Rapetous s’en donnent « à cœur joie » ils se rapprochent à toute vitesse des enfants faisant hurler le moteur toujours poursuivis par la voiture de Police (et « les Inconnus ») le choc semble être inévitable « Et fatal » dit l’un des Inconnus serrant le volant avec des tremblements nerveux alors que les enfants (comme des Anges) semblent médusés, la « Petite » (si jolie toujours) ne semble pas s’en faire
« ça fera peut-être tomber la pluie ! »
« Tu crois ?» (répond le gentil Petit Copain)
« Combien tu paris ? » (dit-elle avec un regard de petite coquine)
... les autres petits enfants par contre commencent (à être pris de panique) alors que se rapproche la voiture endiablée des Rapetous toujours rieurs (à fous rires) sous les cris des sirènes mais c’est alors que l’on aperçoit (un dos d’âne) sur la chaussée juste avant la sortie de la petite école, la voiture des Rapetous bondit soudain (sur le dos d’âne) et c’est soudain un grand bond dans les airs « et boum ! » dit l’un des « Inconnus » toujours au volant pris soudain d’une crise d’épilepsie en effet (Boum !) la voiture des Rapetous explose dans les airs (une gigantesque explosion) tout un gros nuage de volutes en feu (avec les sacs de billets qui explosent aussi) comme des confettis chérie sous le regard amusé (des Petits & des Petites !) de même que de la voiture de Police avec la policière (toujours folle de joie) qui essaye de freiner en zigzag sous les commentaires de son équipier à casquette
« Zou ! Plus de Rapetous ! »
… la charmante Policière (en zigzag)
« Banane ! »
Le flic français (avec sa belle casquette)
... « Pourquoi tu me traites de Banane ?! »
… la charmante Policière (faisant une embardée pour qu’il se cogne à la portière)
« Et pour nos billets, on fera comment pour les petits pots ? »
… le flic français à casquette (réfléchissant)
« Aaaaa ! oui… »
… mais voilà soudain que surgissant des airs au beau milieu de l’explosion la voiture des Rapetous (ou ce qu’il en reste !) retombe sur la route dans une gerbe d’étincelles juste à côté de la sortie (de la petite école) roulant juste sur les 2 roues avant (tout l’arrière arrachée par l’explosion !) la voiture toujours lancée à pleine vitesse fait jaillir sur la chaussée des gerbes d’étincelles toujours plus phénoménales avec les Rapetous en folie (qui poussent des rires de folie !) de même que le troisième Rapetous à l’arrière (son froc déchiré) s’accroche désespérément au siège conducteur (ce sera bien sûr un cascadeur) avec mes productions il y a toujours beaucoup de monde qui bosse chérie !
… bien sûr tous les sacs de billets de banque « tous mes billets de 1000 ! » dit encore l’Oncle Picsou (en soupirant de chagrin) tous les sacs ont été projetés dans les airs où ils ont explosé, voilà justement qu’un gros sac tout gonflé (il était pas pressé celui-là) explose encore répandant de nouveaux des billets dans le ciel qui s’envolent avec les autres comme une pluie de confettis ! (traitement d’incrustation avec des images numériques)
… on peut tout faire un cinéma chérie... pour reprendre l’action voilà donc la sortie de l’école, la voiture des Rapetous (avec des gerbes d’étincelles) qui fonce (sur les Petits & les Petites) à la sortie de l’école, un petit gosse attiré par le rugissement des moteurs (et les sirènes) s’écrit alors « Attention ! » tous et toutes se tournent vers la voiture cabossée qui fonce droit sur eux « La voiture ! » ils (& elles) se dispersent dans tous les sens avec des cris (d’oiseaux affolés) s’éloignant de la chaussée, la voiture cabossée des Rapetous fonce toujours alors que s’éparpillent les enfants laissant apparaitre soudain la jolie « Petite » de Daisy & Donald qui traverse la route en train de regarder le ciel « Tu as vu tous ces billets ?! » dit-elle à son petit copain qui soudain aperçoit la voiture des Rapetous surgissant sur eux « Viens vite ! » s’écrit-il en l’attrapant par la main (bondissant comme Superman avec elle dans les airs) la voiture endiablée des Rapetous passe en trombe les évitant de justesse laissant des myriades d’étincelles c’est alors que l’on entend (une jolie musique avec des chœurs) tous les Petits & les Petites encore en émotion découvrent avec magie la pluie de billets de Banque qui tombe du ciel (comme les larmes de Donald) se mettant alors à crier de joie tous ensemble
« Y e e e e a a a a ! »
... ils avec elles se précipitent en palpitant de bonheur pour les ramasser (comme les feuilles d’amour des arbres en Automne) on retrouve alors la jolie « Petite » (avec son gentil petit Superman) les bras déjà pleins de billets, elle prend plutôt des liasses (qu’elle choisie de préférence) qu’elle met ensuite à tour de bras dans son petit cartable d’écolière regardant son petit copain adoré (qui est aussi très beau) avec un beau sourire elle lui dit
« Je t’avais dit qu’il allait pleuvoir »
... Tu as gagné ton pari !
... alors tu me dois un bisou !
... Toi aussi, je t’ai sauvé la vie !
... Tu n’es qu’un Superman macho ! (dit-elle un peu moqueuse)
... Si jolie elle lui fait un bisou sur la joue (de son gentil petit copain) tout heureux lui aussi…
… ce qui n’est pas le cas des Rapetous que l’on retrouve plus loin sur la route toujours poursuivis par la voiture de Police suivie de celle (des Inconnus) le Rapetous qui conduit essaye de tenir le volant de la voiture cabossée qui zigzag entre les gerbes d’étincelles (avec toujours le troisième à l’arrière qui s’accroche au siège !) il est soudain pris d’affolement lorsque surgit de la gauche en face de lui un gros camion citerne avec au volant (le Chef Rapetous !) ils se reconnaissent chacun au volant de leurs véhicules fonçant l’un sur l’autre
… les Rapetous (en chœurs médusés)
« le Chef ! »
… le Chef Rapetous (stupéfait !)
« Vous ici ! »
… juste avant de se percuter dans une grosse explosion gigantesque qui projette à nouveau tous les Rapetous très haut dans les airs, arrivant à toute vitesse la voiture de Police s’écrase à son tour dans les flammes avec toujours le flic (français) à casquette qui dit à la charmante policière (en extase)
« ça va être de la banane flambée ! »
« Au Cognac j’espère ! »
... avec encore la voiture (des inconnus) qui arrive en rugissant, le passager (d’un rire saccadé) dit au conducteur « Fonce, fonce ! » toujours en crise d’épilepsie qui hurle à son tour « C’est encore mieux que la nitroglycérine ! » l’inconnu passager (de passage) lui réponds « Tu retrouveras peut-être ton gant ! » avant de s’écraser à son tour dans le brasier faisant jaillir à nouveau des flammes gigantesques avec des étincelles jusque dans les airs toujours où l’on retrouve justement le troisième Rapetous (toujours accroché au siège) qui croise la trajectoire du Chef (accroché au volant) tout au dessus de la ville
« Bonjour Chef ! » (dit-il avec un sourire imbécile)
« Abrutis ! »
… pour retomber ensuite ici ou là sur la ville (avec des rires d’abrutis) l’un des Rapetous retombe à toute vitesse juste sur le toit d’un immeuble non loin de celui (de Daisy & Donald) où justement Donald (n’ayant pas trouvé de Banque) ne sait plus que faire assis en bas sur le perron à attendre (un signe du ciel !)
« Tiens, un météorite ! »
… qui s’écrase avec un bruit de tremblement de terre qui amuse beaucoup Donald, il reste songeur à la recherche d’une idée lorsque sur le trottoir à côté de lui surgit la jolie « Petite » (toute heureuse)
« Pap’s ! »
… ma petite Chérie !
… « Regarde !»
... elle ouvre (son petit cartable) lui montre les liasses de...
« billets de 1000 ! » s’exclame Donald (un peu ahuri)
… ainsi l’on peut croire que Donald est sauvé, qu’il va pouvoir payer les loyers de retard (retrouver l’amour de Daisy) on les retrouve donc à la porte (de la porte) de leur appartement, Donald (tout content) tient le petit cartable (de sa jolie « Petite ») Daisy ouvre la porte, embrasse sa jolie fille (la jolie « Petite ») puis regarde Donald un peu hésitant qui ne demanderait qu’à lui faire un sourire mais elle lui dit calmement…
« Toi tu restes dehors »
… il reste béa (Ba) sans même avoir le temps de dire quoi que ce soit…
… là encore on pourrait penser « Quelle connasse cette Daisy ! »… elle a un beau cul mais quelle connasse ! » notre pauvre Donald si malheureux insiste avec hésitation, sonne à la porte (sans réponse) il demeure effondré de chagrin avec toujours à la main le petit cartable de sa petite chérie…
« Snif ! »
… les yeux mouillés de larmes il s’en va, seul, abandonné, descend les marches du grand escalier, se retournant parfois pour voir si toutefois elle ne lui ouvre pas la porte (une larme au coin de l’œil)
« je reviendrai peut-être… adieu ma petite chérie… »
… il sort dans la petite avenue, des badauds en le voyant si triste en profitent pour dire en passant…
« Quelle salope cette Daisy ! »
… on retrouve alors Donald à la Gare où il prend un billet de train, marche le long du quai (vers un destin bien incertain…)
… là ce pourrait être la fin du film ou celui de la première partie (cela dépend aussi du budget) mais ce serait alors (pour lui l’auteur) un peu trop triste de finir ainsi d’autant que certains disent déjà
« Quel salaud ce Donald ! »
… « il est parti avec tout l’argent de la Petite sans même avoir rien laissé pour le loyer ! »
… ou bien, plutôt que d’aller à la Gare, Donald aurait pû entrer (dans « un Club de Streap Teaseuses »)
… Donald (pensant à Daisy)
« Connasse, je vais pas me gêner ! »
… avec bien sûr de biens jolies Gonzesses… Champagne... d’ailleurs elles lui font déjà de l’œil sans doute aussi pressentant bien des liasses de billets (avec leur instinct féminin de survie) au lever du jour on retrouve Donald entouré de ses bouteilles de Champagne le visage marqué de rouge à lèvres (se réveillant avec bonheur) il appelle …
« Mélissa ? »
(sans réponse)
… « Mélissa ?! »
… toujours pas de réponse, il regarde tout autour de la chambre, personne et soudain
… « Zut, elle est partie avec le cartable de la Petite ! »
… (sans doute était-elle « en mal d’enfants » chéri) sans doute chérie mais notre magnifique (love story) ne peut donc se terminer ainsi puisque l’on penserait non seulement que le malheureux Donald est un salaud mais en plus (un débauché !) c’est pourquoi l’auteur (l’un des meilleurs au monde) merci chérie... le brillantissime auteur pense qu’il vaudrait mieux retrouver Donald (déjà bien chagriné) après que Daisy lui a refermé
« la porte au nez ! »
... il est justement face à l’océan, en larmes au bout d’une jetée près du Phare (serrant dans ses bras le petit cartable de sa Petite) prêt à se jeter à l’eau…
« Allo ? »
… lui dit une jolie Gonzesse qui surgit soudain près de lui…
… Donald
« Que m’arrive t-il ce soir sous les étoiles ?»
… si jolie (and so sexy !) elle semble passionnée de lui, les petits mots d’amour (coulent de source) au bord des flots, elle le raccompagne (ondulante) le long des quais de plaisance le tenant par le bras avec une telle émotion qu’il retrouve déjà le goût de l’amour (qui n’est pas toujours du goût des autres) soudain tout épris de lumière avec tous ces gens heureux, heureuses, toutes ces couleurs des lumières joie de vivre la vie l’amour ainsi tous deux (« font la paire ») comme font « les petites marionnettes » de toute évidence ils s’aiment pour la vie partageant même une glace (Vanille fraise) en cornet des plus romantiques assis sur un banc (face à l’horizon de la vie) elle lui dit alors avec grâce
« mon bel amour… »
Donald (flying love)
« ma chérie adorée... »
La jolie Gonzesse (so sexy class)
« Attends moi… je vais juste passer un coup de fil (dans la petite cabine au coin de la rue) j’en ai pour une minute… »
Donald (flying love so far away)
… oui, oui ma jolie Chérie (répond-t-il à ses aises) … fais vite, je suis fou de toi !
… elle s’éloigne en ondulant (de ses charmes) qui laissent Donald rêveur mais l’heure tourne (le manège aussi) les petits restaurants si charmants ferment les uns après les autres ne laissant place qu’à la rumeur de l’océan, une à une les lumières s’éteignent Donald se prend d’inquiétude, il va voir au coin de la rue, la cabine de téléphone est vide avec juste le combiné qui pend au bout du fil
… Donald à nouveau reste (Béa « Ba ») il croit entendre un grésillement qui vient du téléphone, se penche, prend le combiné pour écouter d’où l’on entend l’air d’une chanson bien connue
« ... ainsi font, font, font, les petites marionnettes, ainsi font, font, font trois p’tits tours et puis s’en vont !»
… Mr Donald ?
… oui ?
... il se retourne et découvre (le Groom d’un grand hôtel voisin !)
« C’est la note pour le Taxi… »
… « ? »
Donald pourrait dire « la note ? » ou « Quel Taxi ? » ou encore « Pardon ? » (« je ne comprends pas bien ? ») plein de choses encore mais là il ne dit rien, simplement interloqué, le Groom précise
« la jeune femme qui était avec vous… »
... bien entendu le Groom a hésité à dire « la (jolie) jeune femme » ou même plus audacieux il aurait pû dire (la belle Pute) « qui était avec moi ? » aurait répondu Donald mais là peut-être le Groom aurait pû alors (« se prendre une gifle ! »)
… Donald (sortant de ses songes)
« Ah oui… une minute… »
... il ouvre le petit cartable de sa « Petite » (mais il n’y a plus un sou !)
« ça alors ! »
… encore en ce cas si notre (love story) se terminait ainsi ce ne serait plus vraiment (une happy love story) comme l’on aimerait en rêver c’est pourquoi quitte à choisir (l’auteur lui se dit) ... peut-être que si j’avais dû choisir une « fin » en admettant que ce soit peut-être le troisième acte du film, on aurait plutôt retrouvé Donald au bord du quai de la Gare (avec son billet de train à la main) sauf qu’avant de partir il aurait laissé les liasses de billets sous le paillasson de Daisy ne gardant qu’une petite liasse pour son départ… on aurait pensé alors
« Qu’il est gentil ce Donald … vraiment ! »
… un homme de grand cœur !
... sans même se douter qu’à l’approche de l’Hiver, sans un sou, il allait probablement mourir de froid ou de chagrin (loin de sa « Petite »)
Donald (songeant à son petit confort)
Et de Daisy aussi !
... Song
« j’ai froid, j’ai faim je suis si chagrin.. »
… cette fin là donc ne me convient pas vraiment (à lui l’auteur) c’est bien « funny mélodramatique ! » mais un petit peu trop « mélodrame » quand même d’autant qu’il manque encore un certain minutage pour faire (de ce chef d’œuvre) un film de long métrage…
… on a semble-t-il oublié l’Oncle Picsou (qu’il gardait en réserve) qui donc s’est retrouvé (« mourant ») après s’être fait cambrioler dans sa belle demeure par les Rapetous endiablés qui lui ont volé « Tous mes sacs de billets de 1000 ! » (en pleure encore l’Oncle Picsou) il en avait été (presque anéanti) avait dû être transporté sur le Sofa à l’aide du Majordome et n’avait réussi qu’à reprendre vie que lorsque la Gouvernante avait eu la bonne idée de lui dire d’ouvrir la belle enveloppe que lui avait remis Donald de la part de la « Petite », l’Oncle Picsou effondré avait alors découvert un magnifique dessin au bord de l’océan où l’on reconnait notre ami Donald avec Daisy (la Petite bien sûr) et l’Oncle Picsou avec encore quelques petits enfants adorables qui jouent au Volley Ball sur une belle plage au bord de l’océan…
« for you my dear Uncle ! »
… écrit en nuages colorés dans le ciel qu’avait dessiné pour lui (avec beaucoup de talent) la jolie « Petite » ce qui l’avait ému aux larmes (lui redonnant vie aussi) il s’était mis d’ailleurs à réfléchir à bien des choses comme si soudain sa vie allait prendre un « sens nouveau »…
… Ainsi Donald est toujours dans la rue à la porte de l’immeuble de Daisy qui vient de lui dire après avoir retrouvé la « Petite » qui revenait de l’école « Toi tu restes dehors ! » il attends donc (songeur) avec le petit cartable de la « Petite » se demandant bien ce qu’il va faire lorsque soudain il entend un coup de klaxon, se retourne, découvre une belle voiture flambant neuve avec…
« Oh stupéfaction ! » (s’écrit Donald)
… au volant de la voiture l’Oncle Picsou (Rayonnant de bonté) lui dit alors
« Donald… mon neveu… je suis tellement heureux de te revoir (il sort de la voiture lui tends les clés)… Tiens, cette voiture est pour toi ! »
Donald
« Pour moi ?! »
L’Oncle Picsou (acquiesçant de la tête)
… de même j’ai préparé « une image » (il sort un gros chèque qu’il lui tend tout sourire, lui montre le montant inscrit) « Regarde là ! »
Donald (bondissant)
… Waooo ! mais c’est une fortune Oncle Picsou !
Oncle Picsou (avec le bonheur de faire plaisir)
« Oui Donald tu pourras acheter une belle maison et même ouvrir un « Denny’s Restaurant » pour Daisy ! »
Donald (so happy)
« Alors je pourrais manger des « Bacon cheese burger » tous les jours ? »
Oncle Picsou (débonnaire)
... avec même des « french-fries !»
Donald (fou de joie)
« la Petite » sera très heureuse ! »
Oncle Picsou (magnanime)
« Comme une Princesse… vous partirez dès demain en vacances sur une île paradisiaque ! »
Donald (faisant mine de refuser)
« Uncle Picsou ! »
Oncle Picsou
« Si si Donald… prends ce chèque….. j’insiste… Tiens, j’ai même pris quelques liasses de « petits billets »
Donald
… des billets de 1000 !
Oncle Picsou (un peu cachotier)
.... ce n’est rien Donald, j’en avais encore quelques sacs cachés dans le grenier !
Donald (ne pouvant contenir son bonheur)
« Oh merci... Thank you Uncle Picsou ! »
… il bondit de joie dans la petite avenue où s’allument déjà les lumières du soir (limelight sur le ciel orangé) alors même qu’arrive une jolie fleuriste (avec un gros panier de fleurs) qui les regarde maintenant se taper sur l’épaule avec compassion lorsque soudain l’Oncle Picsou aperçoit la jolie fleuriste
« Donald, va donc prendre des fleurs pour Daisy ! »
« Bonne idée Uncle ! »
… Donald interpelle joyeusement la jolie fleuriste de la main, elle s’avance vers lui souriante de tendresse alors que Donald (empressé) fait déjà son choix « Magnifique ! Je prends celles-là ! » elle lui donne les fleurs avec un joli sourire, Donald (rêvant d’amour) lui donne aussitôt un billet que la fleuriste regarde mais elle semble alors un peu chagrinée
« Oh Mr Donald, je n’ai pas assez de monnaie pour un billet comme ça ! »
… Donald « Vraiment ? Alors je vais juste prendre un deuxième petit bouquet… »
… la jolie fleuriste (frémissante) « Celui-là sera bien assorti ! »
… elle lui tend un très jolie petit bouquet (de jolies fleurs) « Tenez Mr Donald, vous êtes un amour » Donald tout heureux avec ses fleurs dit alors à l’Oncle Picsou qui attend plus loin
« Uncle Picsou ?... je monte voir Daisy »
Oncle Picsou (qui a l’œil sur la fleuriste)
« Oui, oui mon neveu ! Vas-y vite !»
... la jolie fleuriste (les yeux tout bonheur) regarde le billet de Donald
« Avec ça j’ai presque de quoi acheter une belle petite boutique ! »
… alors maintenant plus que jamais se pose la question du « sens » à donner à notre histoire, surtout à l’approche des dernières minutes du film… on retrouve alors Donald tout heureux qui arrive en haut de l’escalier sur le pallier de l’appartement de Daisy, il sonne à la porte…
« Driling, driling ! »
Donald (tout joyeux)
« Chérie ?... c’est moi ! »
… Daisy entrouvre la porte… voit Donald qui lui dit
« Regarde ces belles fleurs pour toi… »
… le visage de Daisy se détend un peu, Donald ajoute
« en plus j’ai des sous pour le loyer ! »
… plusieurs possibilités bien sûr… on aurait pû croire que Daisy allait lui sauter au coup
« Mon Chéri quel bonheur de te retrouver ! »
… mais ce n’est pas ce que lui dit Daisy… on aperçoit cependant « la Petite » en train de se régaler avec des petits pots (« Blédina ») elle lève la tête, aperçoit Donald, son visage s’éclaire
« Hi Pap’s ! »
… Donald (un peu Béta) lui dit « J’ai ton petit cartable ma chérie… »
… un petit cartable que Daisy attrape aussitôt « C’est malin, elle n’a pas pû faire ses devoirs à cause de toi ! »
Donald…
« Je suis vraiment désolé (il lui tend les fleurs) c’est pour toi Daisy (puis doucement) elles sont belles comme toi… »
Daisy est d’abord heureuse d’entendre ce compliment mais elle en devient soudain toute triste
« Et où as-tu trouvé tout cet argent Donald ? »
Donald se met à bafouiller surpris d’une telle question
« C’est… euh… c’est … »
Daisy…
« ne dis rien… je suppose que c’est tombé du ciel ! Ou bien l’Oncle Picsou depuis le temps ! »
Donald (avec un sursaut de joie)
… « Exactement Daisy… c’est justement… »
Daisy (l’interrompant)
… « Tu es un manant Donald !... je croyais que tu étais un Prince… depuis 2 ans au moins tu ne m’as d’ailleurs fait comme cadeau qu’un balai et une serpillière ! »
… Donald se sent alors un peu pantois… on se disait alors (un peu) « Quelle connasse cette Daisy !» mais on découvre là que Donald ne s’est pas vraiment montré galant homme par le passé… du coup, on a beaucoup de compassion pour notre jolie Daisy qui d’ailleurs est en larmes tant elle l’a aimé…
« Je ne veux plus te voir ! »
Donald (ouvrant son cœur en ultime seconde)
« Daisy ! »
… la porte se referme… Donald sur le pallier est suffoqué (il aurait aussi pû dire « Tant mieux connasse, je me casse ! ») et repartir pour une nouvelle vie mais c’était en oublier sa « Petite » qu’il aime beaucoup… alors il en est suffoqué, il porte ses mains à son cœur comme s’il venait de recevoir un coup terrible tout en poussant des cris de chagrin
« Aaah… Daisy !…Aaaaaaah ! » (s’écrit Donald vacillant)
... si bien que soudain il tombe à la renverse dans l’escalier de bois tapissé de tapis rouge aux clous dorés (c’est pour le cascadeur) le pauvre Donald roule dans tous les sens en descendant les étages (avec ses fleurs qui volent tout autour de lui) il rebondit encore contre les murs faisant trembler tout l’immeuble à chaque rebond
« Aaah… Aaaah….. Aaaaaaaah ! »
... il retombe ainsi (sur les fesses) ou tête la première dans le hall tout éclairé de l’immeuble…
« Gloop’s ! »
… (c’est pas mal comme possibilité) un peu triste cependant pour la « Petite » qui va devoir grandir toute seule avec sa Mum’s sans plus jamais avoir le bonheur que son « Pap’s !» (adoré) vienne la chercher à l’école avec des petites brioches au sucre !
… celui qui s’en sort le mieux jusqu’à présent c’est bien l’Oncle Picsou tout souriant de sa belle action (avec en plus une très jolie fleur à la boutonnière de sa veste que lui a laissé la jolie fleuriste…) il attends toujours dans la rue encore un peu rêveur regardant la belle voiture neuve qu’il a offerte à son neveu Donald, il réalise alors que la nuit va bientôt arriver, sort de sa poche sa montre gousset qu’il regarde…
« Qu’est-ce que fait Donald ? Je vais quand même pas rentrer en Bus ! »
… effectivement on aurait sans doute aimé que Donald & Daisy puissent retrouver (leur grand amour) alors en ce cas chérie, autant faire de notre film une version un peu plus mélodramatique… on retrouve donc Donald un peu déconfit sur le pallier avec ses bouquets de fleurs alors que Daisy par la porte entrebâillée lui dit
« Tu es un manant Donald ! En 2 ans tu ne m’as offert qu’un balai et une serpillière ! »
Donald est confus…
« Je ne sais que dire Chérie… »
… à ce moment là arrive la « Petite » toute joyeuse (avec ses petits papillons dans les cheveux)
« Pap’s ! »
Donald (soudain si heureux !)
« ma Petite ! »
… Donald s’avance pour la prendre dans ses bras mais Daisy (soudain plus triste encore) se déplace légèrement pour l’empêcher de voir « sa Petite »
« Non Donald… tu ne m’auras pas avec les sentiments… Adieu… »
… elle referme la porte
Donald (chagriné au désespoir)
… « Aaah Daisy ! »
… il vacille, pris de vertige, tombe à la renverse dans l’escalier s’effondre sur les premières marches avec un bruit fracassant qui fait trembler tout l’immeuble !
… le silence revient (un grand silence) une pluie de pétales de fleurs retombe doucement sur le pallier, la porte s’ouvre doucement laissant apparaitre Daisy un peu étonnée, elle voit alors le pauvre Donald inanimé dans l’escalier ouvre alors la porte en s’écriant
« Donald ! »
… elle s’avance vers lui (tombe à genou) soulève sa tête de sa main « Donald… mon Donald chéri… » le pauvre Donald a l’air si malheureux qu’il n’aurait pas fait mieux s’il jouait la comédie… arrive alors la « Petite » à toute vitesse avec un cri du cœur déchirant « Pap’s ! » elle aussi tombe à genoux (près de son « Pap’s ! » adoré) le prends par le col de sa veste qu’elle secoue, la tête de Donald dodeline, sans réponse alors (la « Petite ») ne peut se retenir d’éclater en sanglots pour se mettre à pleurer silencieusement ne pouvant à peine plus crier « Pap’s ! » de sa petite voix si triste qui maintenant n’est plus qu’un cœur meurtri à tout jamais sans même remarquer les pétales de fleurs qui doucement retombent comme les mots d’un amour disparu…
… la jolie Daisy elle aussi si triste maintenant (le visage dégoulinant de larmes silencieuses) se relève avec sa « Petite » chérie qui se serre contre la jambe de sa Mum’s adorée qui elle-même la tient contre elle le bras sur ses épaules… encore des larmes ruisselantes sur ses joues Daisy lève les yeux au ciel alors que retombent les dernières pétales de fleurs…
« Mon Dieu… qu’ai-je fait à mon pauvre Donald… lui qui a été si bon pour moi... »
… on pourrait alors montrer ses pensées avec des images en « flashback » revenues des premiers temps de leur amour « Donald & Daisy courant sur la plage main dans la main au bord de l’océan plein de bonheur avec la douce chanson des vagues
« Je t’aime Donald… »
… « Moi aussi Daisy ! »
… on pourrait très bien arrêter là le film (pourquoi pas ?) mais comme il reste encore quelques minutes de bobines on retrouve donc Daisy avec sa « Petite » sur la pallier avec le pauvre Donald tombé à la renverse dans l’escalier, le regard de Daisy couvert de larmes, quelques pétales de fleurs qui volettent (ici ou là) on va d’ailleurs en profiter pour faire un beau mouvement de caméra…
... Travelling Avant (in) avec un changement de focale en ouverture « Grand angle » (on était en Zoom in)
… ainsi l’espace de la scène s’élargit autours de Daisy serrant contre elle sa jolie « Petite » (toute triste) qui elle-même regarde sa Mum’s adorée sans comprendre vraiment ne sachant pas même dire son chagrin mais sans doute de ses pensées (It’s a chance you are there Mum’s) sous les pétales la jolie Daisy (alors que toute la scène continue à s’élargir) semble maintenant inspirée par les « Divinities » sous une lumière divine
« Mon Donald Chéri était le meilleur des hommes… toujours je l’aimerai pour l’éternité ! »
… on voit alors avec le mouvement de la caméra d’élargissement de l’image du film apparaître le visage du pauvre Donald (son visage semble frémir) il ouvre soudain un œil complice puis sourit doucement alors que plus loin derrière lui Daisy serrant contre elle sa « Petite » essuie une grosse larme sur sa joue …
« Je donnerais cher pour le voir revenir ! »
… décors en Studio obligé, ne serait-ce que pour le mouvement de la caméra sur le plan final…
… « C’est juste le pallier de l’immeuble… ça coûtera pas très cher » (dit le scénariste)
… alors cette fin n’est pas si mal puisqu’elle laisse présumer bien des bonheurs possibles (aussi une possibilité de suite pour « Donald, Daisy & la Petite 2 ») mais (pour lui l’auteur) j’aurais quand même aimé apercevoir quelques étoiles dans le ciel de la nuit si belles étincelantes comme la lumière dans les yeux d’amour de Daisy ou bien le regard plein de vie de sa jolie « Petite ! »
… c’est pourquoi l’on revient donc à…
… Daisy (en larmes)
« Je ne veux plus te voir Donald ! »
Donald (ouvrant son cœur en ultime seconde)
« Aaah Daisy ! »
… la porte de l’appartement se referme lentement laissant le malheureux Donald seul sur le pallier, il n’arrive plus à respirer (suffoqué) il vacille même chérie, porte ses deux mains sur son cœur en poussant des cris de chagrin…
Donald (mourant pour de vrai cette fois)
« Aaahh… Daisy !… aaaaahhh ! »
… il vacille encore chérie, tombe alors à la renverse dans l’escalier de bois tapissé d’un beau tapis rouge « aux clous dorés » (toujours pour le cascadeur qui est revenu avec une fleur à la boutonnière de sa veste…) le pauvre Donald lui dans sa chute roule dans tous les sens sur les marches de l’escalier, rebondissant contre les murs des étages alors que s’envolent autour de lui (comme un envol de papillons) toutes les petites pétales de ses jolis bouquets de fleurs (on entend même en même temps un craquement sourd qui s’amplifie) au fil des chocs de la tête du malheureux Donald et c’est soudain vu de l’extérieur toute la moitié de l’immeuble qui s’effondre dans un gros nuage de blancheur coton !
Oncle Picsou (Stupéfait)
« Un Crack Boursier ! »
… une fine poussière étincelante retombe sur toute la petite avenue (avec les pétales de fleurs) sous la lumière de la Lune … quelques pierres blanches roulent, Donald surgit des gravas au pied de ce qui reste de l’immeuble ...
« J’ai dû rater une marche ! »
… il époussette son costume, regarde en direction de l’immeuble qui ressemble maintenant à une jolie maison de poupée où il aperçoit soudain au 4 ème étage sa jolie Daisy juste au bord de l’appartement coupé en deux avec sa « Petite » chérie (tendrement serrée contre elle) qui agite aussitôt la main souriante
« Pap’s ! »
Donald (avec le visage qui s’éclaire)
« ma Petite chérie…. Daisy ! »
Daisy (à ras du bord de la salle à manger)
« Donald… je t’aime ! »
… une douce musique de chœurs s’élève accompagnée par des violons de sucre en amour soutenus par des basses émouvantes…
le Scénariste (qui est aussi musicien)
« Pour la maison de poupée… décors obligé… ça sera peut-être un peu plus cher en effet mais c’est tellement bien… je me suis même permis d’ajouter un grand orchestre ! »
le Cinéaste (déjà prêt à tourner le film !)
… « Tout à fait… tout à fait… c’est magnifique… je suis tout à fait d’accord ! »
le Producteur (magnanime)
« je vais voir… Then after ? »
… à nouveau Daisy le regard éclairé d’amour frémissante sous la musique…
« Donald !... si tu savais comme je t’aime ! »
la jolie « Petite » (toute mignonne)
« Pap’s ! »
Donald (les larmes aux yeux)
« mes jolies Chéries… vous êtes si belles !»
… la musique s’amplifie (travelling Out Zoom Out…) l’immensité du ciel de la nuit la maison de poupée tendre de couleurs éclairée par la Lune sous une pluie d’étoiles filantes alors que l’horizon tout amour se teinte de la lumière rose orangée du jour qui se lève…
Daisy (comme s’ils ne s’étaient jamais quittés)
… le temps a passé si vite !
Donald (s’écriant en bas dans l’avenue)
i love you !
… Plan Poitrine Daisy (émouvante) Travelling avant léger en demi-cercle gauche-droite…
Daisy (in love)
« me too ! »
Uncle Picsou (tout heureux avec une deuxième fleur à sa boutonnière)
… Génial !… je produis… c’est bon, je craque la tirelire !
la jolie « Petite » (toute heureuse)
… Tonton Picsou !
… sur l’immense décors en musique les violons les chœurs tout de rose orangé Donald & Daisy (si impatients de se retrouver) s’envoient de loin des petits baisers de la main alors que le jour lentement se lève des milliers de petites pétales de fleurs s’envolent toutes amours sous les étoiles filantes pour dessiner peu à peu en lettres géantes d’amour émouvantes…
L o v e
« Bonus ! »
Le Making-Off du film !
… Pourquoi j’ai choisi de raconter cette histoire ? (en improvisation « in the Kitchen ») plutôt qu’une autre ?
… a love story
… c’est le « feeling ! » parce que « c’est ma vie aussi »… elle me ressemble….
… je ne sais pas si l‘on peut dire que la meilleure version est celle que j’ai joué dans ma cuisine (dans la nuit de Samedi à Dimanche) qui ne serait d’ailleurs pas forcément la moins coûteuse chérie vu le montant de mes Cachets mais ce serait quand même dommage de ne pas montrer au Cinéma la si jolie Daisy (avec sa jolie « Petite ») si mignonnes toutes deux …
le Producteur, Moi (lui) l’Oncle Picsou (heureux coproducteurs associés)
« On est bien d’accord… Ok pour le Budget ! »
le Cinéaste (so happy déjà à l’œuvre)
… On peut donc fabriquer le décor en Studio pour ensuite faire en sorte qu’il soit détruit « as we want » jolie maison de poupée… pour le tournage cependant il est bien question « d’un feeling California !»
… le Scénariste (bienheureux de toute évidence)
… aussi une question de « flux H2O ! »
… autre possibilité toujours, la construction d’un « décors miniature » que l’on va filmer spécialement avec une caméra « à vitesse réduite » c’est pas facile… très pro… on pourra ensuite « affiner » la scène (avec un Big Computer) en « Image 3D »… les personnages Daisy, Donald ou la « Petite » seront filmés alors dans un petit Studio soit avec un vrai décors reproduisant le pallier ou la salle à manger avec tous les objets de décorations (ou accessoires) indispensables chérie... soit filmés sur un « fond bleu » qui laissera apparaître par superposition le décors initial (miniature) qui a été filmé, ces images d’action des personnages étant ensuite « incrustées » dans le décors par des procédés « chimiques » sur le film ou en Numérique par informatique (avec des gros Computers…)
… pour avoir une petite idée de ce qu’on peut faire on pourra voir le film de James Cameron « Titanic » qui raconte le naufrage d’un paquebot de plaisance en pleine tempête sur l’océan qui a utilisé avec talent toutes ces possibilités avec bien sûr un budget très « conséquent »
(au total pas loin de 1 milliard de dollars !)
… Uncle Picsou !... Uncle Picsou ?
… on en aura bien sûr pour un peu moins cher
(en plus le film de James il en a rapporté plus du double !)
Uncle Picsou (retrouvant un rythme cardiaque normal)
Really ? Voilà qui me plait bien !
… Et si vous voulez pourquoi pas des Dinosaures qui jouent au football !
Toutes ces petites pétales de fleurs qui s’envolent dans le ciel c’est aussi un hommage à un grand cinéaste Japonais « Akira Kurosawa »
… « Rêves »
(… magnifique)
... j’écrirai aussi un ouvrage de 120 pages rien que pour « expliquer », mettre en lumière toute la conception, la dramaturgie, les choix de l’écriture de ce scénario magnifique
« Donald, Daisy & la Petite ! »
… j’adore les films tournés en Studio comme cela se faisait beaucoup quelques dizaines d’années plus tôt dans le Cinéma français ou bien d’autres pays du monde dont certains ont d’ailleurs développé de magnifiques Studios… on pense à « Hollywood » à Los Angeles bien sûr mais à nouveau en Europe avec l’Allemagne ou plus récemment la France avec « les Studios de Paris » à la suite notamment des très bons résultats du Cinéma en France depuis près d’une quinzaine d’années avec un nombre croissant de spectateurs dans les salles (170 millions d’entrées en 2013 contre 116 millions en 1992), des financements mieux « entendus » avec les diffuseurs Tv… cette période faste correspond aussi aux choix professionnels que j’avais fait en 1992 de vouloir réaliser des films mais surtout ensuite d’écrire des scénarios de cinéma comme de TV
(avec bien les Bibles de série…)
… ou même des « Sitcom » chérie... mon « feeling Business » (marketing aussi) avec bien sûr le « feeling life » de mes envies m’avaient fait entrevoir des « Projectives » qui se sont révélées (une fois de plus) très prospères avec bien des bonheurs pour bien des centaines de millions de gens mais aussi des « récompenses », profits ou bénéfices par milliards dont je n’ai jamais eu aucun centime ! (nous non plus chéri !) malgré déjà des œuvres magnifiques souvent « mieux » que la moyenne à tous points de vues ce qui de toute évidence montre bien (une fois de plus encore) qu’il y a bien de gros différentiels entre ce que j’investis ou je pressens qui représente bien des fortunes et une réalité de ma vie « entravée » d’une manière ou d’une autre qui vient hélas empêcher la réalisation de ma fortune voir tout au contraire se traduit même bien souvent par des « difficultés » ou « Clash » ou « Choc » supplémentaires presque systématiquement dans ma vie !
… toujours « Comme par hasard !»
( & « l’air de rien »)
… j’avais d’ailleurs été très triste quand ils ont fermé (« les Studios de Boulogne ») près de Paris en 1993 je crois, j’avais alors réfléchi sur un film de cinéma qui se déroulait dans des grands Studios avec pour personnage principal une « Caméra » (très « funny !») qui se déplaçait avec ses 3 pattes de caméra (une paire & demie de Nike !) entourée de toute une bande de copains (copines) qui allaient tout faire pour sauver « leurs Grands Studios de Cinéma » menacés par des méchants escrocs qui ne pensaient qu’à l’argent contrairement à nos gentils ami(e)s (passionné(e)s de films !) qui voulaient à nouveau voir jouer leurs Héros favoris (ou belles Héroïnes préféré(e)s…)
… j’ai toujours un dessin de cette extraordinaire « Caméra sur Pattes !» si expressive tel un personnage de Walt Disney & Pixar !
… quelques dizaines d’années plus tôt dans ces Studios de cinéma on était donc capable de reconstruire des quartiers entiers de Paris, comme on le voit dans certains films avec Jean Gabin par exemple « le Jour se lève » ou encore dans une grande partie des films de cette époque comme « le Ventre de Paris » adaptation d’un roman de Emile Zola sur le quartier « des Halles » qui approvisionnait alors tout Paris en alimentation que l’on a transposé plus tard à « Rungis » au Sud de Paris, gigantesques entrepôts principalement d’alimentation reliés à toute la France ou autres lieux du monde pour approvisionner l’Ile-de-France (en nourritures…) voir même des fameuses « glaces Italiennes » qui peuvent nous rappeler les émotions des grands films de cinéma tournés à ces mêmes époques en Studio à la Cinecitta ! (avec lesquels Federico Fellini s’est bien amusé) il était aussi excellent dessinateur… « la Dolce Vita », « Fellini Roma » (« les Nuits de Cabiria ») ... c’était un autre cinéaste un peu avant chérie... ou « la Cité des Femmes » ou même encore un chef d’œuvre magnifique de Ettore Scola « Nous nous sommes tant aimés »
« On voulait changer le monde mais le monde nous a changé… »
… avant je chantais des Love Songs !
… quelques larmes d’amour avec elle (et moi) devant la grande image panoramique d’une salle (de bains) bien agréable (larmes de bonheur) ou larmes du bonheur
… ça fait du bien aussi
… oui ma jolie Chérie
(… maintenant je fais du Business mais elle fait toujours la Pute !)
Samedi 22 Novembre 2014
© Emmanuel DIGNAT 2015 (avec Princess Joy & ses jolies Chéries… « elles sont Géniales ! »)
It's not my day ! (c'est pas son jour à Robert De Niro) nous dit Anne Hathaway
Jolies Magic fee’s
presente
It’s not my Day
(C’est pas son jour !)
Synopsis de film cinéma
Staring
Robert De Niro (& sa jolie Biche)
Auteur(e)s
Emmanuel DIGNAT (& ses jolies Chéries géniales)
Et bientôt Boop’s à Hollywood Bowl !
« It’s not my day !»
(C’est pas son jour)
Grand film de cinéma « funny love » avec ROBERT DE NIRO (& sa Biche)
Au matin dans une maison de bois à Los Angeles. ROBERT (les cheveux ébouriffés) boit son café dans une tasse. Le café n’est pas bon. En plus il n’a plus de cigarette. Il rouspète après (sa jolie Biche) qui finit sa toilette en peignoir (elle est en train de se coiffer). Elle lui répond qu’il n’y a plus de café et qu’elle a dû repasser de l’eau dans le filtre. S’il n’est pas content il n’a qu’à aller chercher un paquet de Café au Drugstore. ROBERT continue son cirque en simulant une mauvaise humeur un peu théâtrale alors qu’il est en vérité quelqu’un de bien gentil (qui rêve d’une petite chérie à venir). Il rappelle (à sa Biche) que la vie ne l’a pas épargné, qu’il donnerait même sa vie pour elle et puisqu’elle est presque prête elle peut très bien aller chercher un paquet de Café (sans oublier les cigarettes). La BICHE lui répond que cela n’est pas prévu (dans son programme de la journée). Il doit d’ailleurs se remuer un peu pour trouver des sous (pour leur mariage) d’autant qu’il n’a pas arrêté de lui dire qu’il doit signer un gros contrat de millionnaire, que c’est toujours « pour demain » et pendant ce temps (le temps passe) et que si ça continue il pourra retourner à ses parties (de poker déshabillé) avec ses petites copines d’infortune.
Le bien malheureux ROBERT (pesant le pour & le contre) dit alors à sa BICHE que s’il n’y a que ça il va aller chercher son paquet de café (tout en faisant ses poches pour chercher des sous) et qu’il va même lui rapporter (des Chouquettes au sucre). Bien malheureux toujours ROBERT ne trouve cependant dans ses poches que quelques maigres cents. Comme si c’était fait (& tout naturel) il demande à sa BICHE de lui passer son sac à main.
« Et puis quoi encore ! »
... lui répond la BICHE. De toute façon elle n’a plus un sou non plus.
ROBERT en est frappé d’étonnement. Elle n’a pas été bosser hier soir ? (mais si elle a été bosser!) Alors qu’est-ce qu’elle a fait (de la recette ?) C’est parce qu’elle a vu sa copine BETSY dit la BICHE.
« Ah ça ! Il manquait plus qu’elle ! »
... lui répond l’ébouriffé ROBERT qui se remet à chercher en vain une cigarette.
La bien jolie BICHE sans prêter attention au cirque presque désespéré de ROBERT (l’amoureux in love) lui dit que BETSY avait besoin de quelques sous pour payer ses loyers en retard car ils voulaient l’expulser de chez elle. Bravo. Et le pauvre ROBERT lui il peut bien « crever de tout » sans même avoir droit (à son petit café du matin). Alors puisque c’est comme ça il va tout de suite aller chercher un paquet de café et qu’il va même rapporter (toute la boutique !)
ROBERT avec ses grandes ailes (d’amant éploré) monte dans sa grosse voiture qu’il n’arrive pas à faire démarrer malgré son acharnement (tout en maudissant le ciel). Il aperçoit alors sa BICHE qui lui fait des petits signes à la fenêtre de la maison. Il ne comprend rien, commence à descendre la vitre de la portière mais la poignée casse si bien qu’il doit s’efforcer de descendre la vitre avec ses mains qui finit par voler en éclats.
« Qu’est-ce que tu dis ma Biche ? »
La BICHE (toute heureuse) lui rappelle de ne pas oublier de rapporter (ses chouquettes au sucre).
Bien sûr qu’il y pense le ROBERT ébouriffé (maintenant endiablé) tout en actionnant le démarreur de sa voiture qui bondit soudain dans un rugissement de moteur (très félin) pour disparaitre aussitôt dans la rue (avec un grand crissement de pneus) ce qui donne même des petits frissons (à sa jolie BICHE)
« C’est quand même un sacré loustic son Robert adoré ! »
Revoilà le beau ROBERT adoré qui fonce maintenant dans les faubourgs de Los Angeles au volant de sa voiture tout en cherchant s’il ne trouve pas une cigarette. Il se penche pour ouvrir la boite à gants (la vide rapidement de divers paperasses) en ressort avec stupéfaction un Révolver
« Je me demandais bien où il était passé celui-là ! »
Il le remet dans la boite à gants, continue de fouiller (à tâtons) tout en faisant des embardées avec sa grosse voiture pour finalement en ressortir avec un grand bonheur une cigarette un peu froissée
« la meilleure de ma vie ! »
... s’écrit ROBERT mais alors qu’il se redresse pour prendre un virage en tenant le volant d’une seule main voilà qu’un gros type « sac à soupe » (très satisfait de lui-même) est en train de traverser en plein milieu de la route (en se tapotant le bidon) si bien que le vaillant ROBERT essaye en vain de donner un coup de volant mais ne peut cependant l’éviter. Il percute le gros « sac à soupe » (très surpris lui-même) qui va valser sur l’étalage d’un marchant de légumes pour continuer ensuite sa course (sur son gros cul) jusque dans une grosse flaque d’eau avant de s’effondrer ébahi. Le ROBERT filant à belle allure n’en revient pas, regardant sa cigarette qu’il a écrasée dans sa main en tenant le volant
« Quel con ce type ! »
Il ne sait plus trop quoi faire lorsque soudain retentit la sirène du SHERIFF. Un peu intrigué tout en espérant que ce ne soit pas pour lui ROBERT sort sa tête par la portière, regarde derrière lui (les cheveux dans le vent) pour apercevoir plus loin dans la rue la voiture du SHERIFF qui fonce sur lui tous feux clignotants. Le beau ROBERT un peu éberlué s’écrit alors
« Grand Dieu du ciel ! C’est pas mon jour ! »
... tout en accélérant à fond (pour essayer de semer le Sheriff)
A Los Angeles dans une journée on entend rarement les sirènes des voitures de Sheriff. L’ambiance est plutôt cool (dans une chaleur de sucre) juste au bord de l’immense Océan Pacifique qui s’ouvre sur l’horizon. Si toutefois l’on entend la sirène du Sheriff il y a généralement deux possibilités. Soit la sirène s’arrête peu après ce qui laisse à penser (que tout est arrangé) ou bien alors en deuxième possibilité l’on entend la sirène de la voiture du Sheriff qui se montre insistante alors que rugit soudain le moteur (d’une voiture endiablée) tout en faisant crisser les pneus pour peut-être voir passer ensuite à toute vitesse le beau ROBERT qui justement sort à nouveau sa tête par la portière de sa voiture (pour regarder le SHERIFF qui le poursuit) et s’écrier bien malheureux en toute innocence aux passant(e)s qui s’écartent sur son passage
« C’est BICHE qui voulait des Chouquettes au sucre ! »
… Et la suite du scénario ?
… ça dépend Boop’s
… ça dépend si Robert trouve des Chouquettes ?
… Pas du tout Boop’s. ça dépend qui finance le film !
Golden Spring (Provisory) SAS Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
© Emmanuel DIGNAT 2016 (avec Princess Joy & ses jolies Chéries… « elles sont Géniales ! »)
Le Cass de la Banque
(en toute confiance)
Jolies Magic fee’s
Présente
Le Cass de la Banque
(En toute confiance)
Comedy funny !
Rennes 2015
Author
Emmanuel DIGNAT
(avec ses jolies Chéries & la jolie Daisy and all his pretty Chéries & the lovely “Ô”!)
Golden Spring's Consulting - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
… sur honoraires !
(si pratique aujourd’hui de piller en espionnant les Computers ?)
A love movie in a funny feeling !
Voyage d’amour sur une île paradisiaque (dreaming love dreams) plus difficile donc le « retour » (éventuel) car il y fait surtout bon vivre !
... Il faudrait déjà commencer par quitter cette ville maudite !
... Coconut’s !
... mon charming Prince !
... Toujours aussi jolie !
... Justement je parlais de toi !
... « quand on parle du loup... »
... du loup ?
... oui... le loup blanc c’est moi !
... hoop’s !
... tu connais pas le dicton « Quand on parle du loup...»... ensuite ?
... ?
... « on en voit la queue ! »
... Tête de Noix de Coco !
... Quand j’étais petit c’était une boutique à Grenoble qui faisait de belles chaussures (pour « les petits loups blancs »)
« Preview Image »
... représentation prévisionnelle (ou image prévisionnelle)
... une image ou « représentation Projective ! »
« le Cass de la Banque ! »
(En toute Confiance)
Synopsis
(esquisse)
LA PETITE CHERIE (in tears in the plane)
« c’est lui ! »
DES SALES FLICS (corrompus avec le Maire de Rennes, bientôt au chômage)
Compromis par une caméra de surveillance dans sa fuite avec le sac de Cash... il avait une casquette verte écrite « NY !»
UNE JUGE (à Rennes, bientôt au chômage)
Probablement le nom d’un Gang !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Quelques temps avant bien sûr on m’a remis une enveloppe de Cash parce que finalement « j’étais un bon gars »
que je méritais mieux pour m’aider à partir réaliser ma grande destinée !
COCONUT’S (Si jolie)
Et quelle destinée !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Du coup je ne sais plus vraiment si je pars ou non... mais finalement quand je repense...
COCONUT’S (Si jolie)
… à « l’historique »
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Je décide de partir quand même... voilà que tout est prêt pour le départ, toutes mes affaires
dans le camion, ma dulcinée doit me rejoindre
COCONUT’S (Si jolie)
... discrètement par le train
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
... avec son sac à la prochaine station qui est sur ma route... voilà que je monte dans le camion, je démarre
LES JOLIES CHERIES (Singing with Mimi Lion’s)
Enfin la liberté...
COCONUT’S (Si jolie complice en attendant le train)
« le bonheur »
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Lorsque l’on vient m’arrêter bien poliment ... un simple « contrôle de routine » pour découvrir finalement (comme par hasard)
la fameuse enveloppe de Cash !
COCONUT’S (Si jolie)
Son cadeau de départ !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Pas un « petit montant » d’ailleurs puisque j’avais suffisamment de « money » pour vivre plusieurs mois...
COCONUT’S (Si jolie)
(à l’aise)
LES JOLIES CHERIES (Singing with Mimi Lion’s)
Avec toutes ses chéries en Suisse !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
... je proteste évidemment, ce n’est pas l’argent du Cass de la Banque !
UNE JUGE (à Rennes, bientôt au chômage)
... mais des gros plans de la vidéo de surveillance montre en agrandissement des tâches d’encre sur la casquette verte « NY ! »
COCONUT’S (Si jolie)
Comme sur la sienne ?
UNE JUGE (à Rennes, bientôt au chômage)
Identifiable donc formellement !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
... voilà aussi la différence entre les « sales flics »
LES JOLIES CHERIES (Singing with Mimi Lion’s)
… ou services spéciaux du « Grand Vizir ! »
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Et la Police bien polie qui vient ensuite vous arrêter...
COCONUT’S (Si jolie)
A domicile !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Je suis donc jugé cette fois en référé très rapidement
LES JOLIES CHERIES (Singing with Mimi Lion’s)
Contrairement à ses plaintes qui s’éternisent sans bénéficier de référé !
COCONUT’S (Si jolie)
Alors qu’il y a même de gros risques pour sa vie !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Juste l’affaire de quelques jours pour me retrouver « à l’ombre » avec très probablement ensuite ma « disparition »
(hors de témoins) à tout jamais...
COCONUT’S (Si jolie)
C’est ce que j’ai cru...
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
... elle me le dira plus tard ma jolie chérie
COCONUT’S (Si jolie)
En larmes
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Elle m’a attendue tout au loin à la Gare suivante
COCONUT’S (Si jolie)
Pendant 3 heures...
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
... elle ne rentrera qu’à la nuit tombée par le dernier train
COCONUT’S (Si jolie)
Si triste
LES JOLIES CHERIES (Singing with Mimi Lion’s)
En larmes toujours
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Elle se demandait même si je ne l’avais pas « oublié » volontairement !
COCONUT’S (Si jolie)
J’en étais désespérée !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
... j’avais pourtant protesté disant que je ne pouvais être à la Banque à ce moment là !
LES JOLIES CHERIES (Singing with Mimi Lion’s)
Comble de cruauté en effet pourrait-on dire !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Ces salauds avaient organisés le Cass de la Banque au même moment...
COCONUT’S (Si jolie)
(que notre câlin)
LES JOLIES CHERIES (Singing with Mimi Lion’s)
Disant ensuite au Tribunal
COCONUT’S (Si jolie)
Que (notre alibi) était improuvable !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
... heureusement, les jolies Divinities ce jour là...
COCONUT’S (Si jolie)
(exceptionnellement)
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
... les jolies Divinities nous ont apporté la magie d’une naissance divine !
LES JOLIES CHERIES (Singing with Mimi Lion’s)
Et prophétique !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
... il ne fût pas difficile scientifiquement de dater précisément l’heure
COCONUT’S (Si jolie)
(de notre câlin d’amour...)
LES JOLIES CHERIES (Singing with Mimi Lion’s)
Et le grand chéri fut innocenté
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
... tout comme elle d’ailleurs car déjà courait la rumeur...
LES JOLIES CHERIES (Singing with Mimi Lion’s)
Que le baby n’étais pas de Mimi Lion’s !
LA PETITE CHERIE (in tears in the plane)
« Bastards ! »
COCONUT’S (Si jolie)
Je vous disais bien que c’était un Ange funky !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Et « il » fait fort chérie avec ses tours de passe-passe !
COCONUT’S (Si jolie)
Pour faire maintenant des grands tours de manège
Pupee (la jolie) Movie Sequence avec Arnold, Sylvester (& Sayaka) jolie chanteuse des E-Girls
Jolies Magic fee’s avec AS & D Movie
Présente
Pupee
(la jolie)
Comedy funny (en cours d'écriture)
2015
Author
Emmanuel DIGNAT
(avec ses jolies Chéries & la jolie Daisy de Mc Do and all his pretty Chéries, the lovely “Ô” & la jolie Pupee !)
Golden Spring's Consulting - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
… sur honoraires !
(si pratique aujourd’hui de se servir sans payer avec les Computers ?)
Pupee
(la jolie)
(sous l’incroyable indifférence de « francia la puta ! »)
C’est sans doute aussi chérie parce que j’ai repris mes concerts (de love song) depuis une semaine avec encore des magnifiques « Bass & Voice improvisations » mais que je joue sans brancher l’amplificateur !
(c’est très bon pour les oreilles !)
... dire aussi ma sensibilité et ce que j’endure à devoir subir une telle situation de vacarme environnant (alors qu’il devrait habiter une belle villa au bord de l’océan) avec piscine & comptes en Banque bien remplis chérie... d’ailleurs qu
and j’avais acheté ma première Bass avec mes petites économies (à 15 ans) je n’avais pas de quoi me payer l’amplificateur...
... il a donc commencé à jouer de la Bass sans ampli « à l’oreille !»
J’étais donc déjà bien parti pour devenir (The best crazy bass player in the world !) ... Qui sait d’ailleurs ce que peut nous réserver une telle destinée mes chéries !
(des comptes en banques bien garnis)
... comme heureusement certains de mes associés qui sont venus bosser un peu en passant (très « cool filegree ») toujours pour de grands succès... j’ai d’ailleurs complété récemment ma symphonie en images « Shining Wall People (friends, Associates & Partners)» (avec de magnifiques photos choisies) de bien des artistes, managers, friends, amies (chéries) ou partenaires culturels dans le monde entier (même s’il en manque encore beaucoup) en vue bien sûr aussi du développement international (partout dans le monde) de nos magnifiques œuvres, sociétés ou actions humanistes avec le « Fond Culturel International d’Investissements » (& notre fondation « Be Happy ! »)
... make peoples happy !
... Que les meilleur(e)s !
Je réfléchissais justement à un scénario magnifique que j’étais en train d’écrire en 1992 à Paris « Murder 607 (jalousie de femmes) » avec l’histoire d’un scénariste renommé de série TV dans un style de thriller remarquable avec une intrigue des plus captivantes qui pourrait d’ailleurs même intéresser mon ami « Michael Douglas » en reprécisant bien sûr le rôle (à sa mesure) c’est d’ailleurs un acteur très « peace & love » dans la vie de tous les jours... j’ai commenté cette œuvre par une véritable réflexion « psychologique » aussi sur les bienfaits (& plaisirs) d’un bon Thriller comme « The Game » par exemple, un genre qui demande une grande finesse avec une construction dramatique « parfaite »... c’est aussi en ce cas des rôles à 40 ou 60 millions de dollars pour Michael par exemple...
(Hi Michael ?)
MICHAEL (as a magic man)
C’est ensuite « Sylvester » qui est venu plaisanter en prenant un Thé
(Mimi Lion's lui a dit...)
... Et toi « Sylvester » j’adore quand tu joues des rôles suspendu au bout d’une corde à 300 mètres du vide en traversant une falaise (« Je fais c’que je peux Mimi Lion’s ») ... alors que d’autres te tirent dessus depuis un hélico, que la corde casse et que tu manques de te fracasser contre la paroi rocheuse pendant que la jolie chérie que tu veux sauver est en train d’attendre (suspendue à la branche d’un arbre) qui menace de casser tandis qu’une meute de loups enragés lui tourne autour !
SYLVESTER (as an Angel working so hard)
... c’est rien Baby... i’m coming !
(c’est là qu’on voit « l’homme ! »)
... absolument chérie... mais il y a aussi des infirmières sur le tournage, de toute façon c’est pas mon problème, je lui dis à chaque fois
« C’est TON job Sylvester ! »
... en général il se débrouille bien, sinon d’ailleurs il ne serait plus là aujourd’hui mais il lui arrive parfois d’aller voir quand même l’infirmière pour lui montrer son biceps avec 2 égratignures
SYLVESTER (as an Angel after working so hard)
... j’ai mal là
LA JOLIE INFIRMIERE (si jolie après diagnostic)
... mais il y a rien !
SYLVESTER (as an Angel who can’t lie)
... si, c’est un bleu... au-dessous
Comme on rigolait bien c’est ensuite « Arnold » qui a débarqué, il passait justement en Jet au-dessus de notre villa...
ARNOLD (Avec un gros paquet de dragées)
... J‘ai vu qu’il y avait de la lumière !
(& des Gonzesses au bord de la piscine)
... on a donc préparé un nouveau film !
Pupee
(la jolie)
Déjà l’idée d’une poursuite en voiture tout d’abord avec « Arnold » en train de poursuivre un fuyard qui s’enfuit au volant d’une grosse voiture, il lui tire dessus, la vitre arrière explose (« faut pas oublier les rétros aussi »), bonne idée « Sylver », une poursuite un peu acharnée donc (il devait lui en vouloir) « Arnold » cartonne aussi les pare-chocs (« avec des balles qui explosent ») pour faire des trous dans la carrosserie, le fuyard heurte une voiture (« qui fait quelques tonneaux ») ... ça c’est pour les jeunes cascadeurs « juste quelques tonneaux »... pour le budget on a d’ailleurs la productrice avec nous (« qui tient la calculette ! ») la poursuite devient endiablée, le chauffard se met à tirer à son tour en se retournant par la vitre (tout en conduisant d’une main) il accélère de plus belle, prêt à tout pour échapper à « Arnold » qui ne le lâche pas d’une seconde quand soudain surgit une moto à toute vitesse qui percute le fuyard (« là il faut un cascadeur plus expérimenté ») sûr « Sylver » le motard fait un bond de 20 mètres dans les airs (« avec la moto aussi ») (ça ferait plus « d’effet ») sur la freeway c’est alors l’affolement « Arnold » est obligé de conduire en zig zag pour éviter les véhicules (comme sur une piste de danse !) un véritable slalom chérie
ARNOLD (as a charming Prince)
... il commence à m’énerver celui-là !
… il accélère davantage alors que le fuyard en a profité pour prendre de l’avance mais voilà que le fuyard sort brutalement de la freeway (« tout en dérapage ») dans une courbe pour rejoindre une route perpendiculaire qui passe au-dessous de la freeway où « Arnold » l’aperçoit soudain juste à temps, ce qui le fait enrager
ARNOLD (faisant une mimique consternée)
Bastard ! Just a minute !
(« Bastard ! Attend voir une minute ! »)
.... il accélère alors à fond, prends de la vitesse puis heurte la rambarde de sécurité qu’il pulvérise en éclats, sa voiture fait un vol plané de 50 mètres (« avec le moteur qui rugit à fond »)
ARNOLD (n’étant pas vraiment sûr du résultat)
Rhaaaa !
... pour retomber en rebondissant sur la route transversale (comme sur des coussins d’air) avec des crissements des pneus sur le point d’éclater, il donne quelques coups d’accélérateur (« pour décrasser le carburateur ») puis mets la gomme à fond tout en rechargeant son revolver (« de gros calibre ») la route est plus dégagée, il rattrape rapidement le fuyard qui roule toujours à pleine vitesse puis recommence à le cartonner par la vitre ouverte (« une vraie grêle de grêlons ») lorsque soudain le coffre arrière de la voiture s’ouvre et valse dans les airs « Arnold » voit alors apparaitre du coffre la tête étonnée (d’une jolie chérie) qu’il reconnait soudain avec stupéfaction, elle est bâillonnée (les mains ligotées) aussi surprise que lui de le voir ici, elle essaye alors de lui parler avec les yeux sans que l’on puisse comprendre vraiment ce qu’elle dit (elle a peut-être envie de faire pipi ?) « Arnold » stupéfait se ressaisi
ARNOLD (qui en a presque les larmes aux yeux)
Bastard of the bastards !
... il regarde son revolver en se disant qu’il a eu bien de la chance, le range sous sa chemise
SYLVESTER (qui ne veut pas dépasser le budget)
C’est toujours bon pour la calculette ?
LA PRODUCTRICE (qui se régale en même temps)
Ça tourne, ça tourne !
... « Arnold » se dit alors (au fond de lui) qu’il trouvera bien l’occasion de griller encore quelques cartouches, il accélère à fond pour se rapprocher à hauteur du coffre arrière de la voiture du fuyard et dit à la gonzesse...
ARNOLD (gentiment & consterné, presque les larmes aux yeux)
Qu’est-ce tu fous là Pupee ! Je te cherchais partout !
(« What are you doing there Pupee ! I was looking for you everywhere ! »)
La jolie Pupee (lui fait ses grands yeux d’amour) un peu apeurés mais si heureuse de le voir enfin
LA JOLIE PUPEE (bâillonnée les yeux palpitants)
Hummmm mummummm !
ARNOLD (gentiment & consterné mais de bonne inspiration)
Dont’ worry Pupe !... j’arrange ça tout de suite !
(« T’inquiètes pas Pupee ! I have the solution »)
... un coup de feu résonne, tiré par le conducteur fuyard, « Arnold » baisse la tête et donne brusquement un grand coup de frein pour se placer de l’autre côté de la voiture du fuyard qui essaye de le canarder « Arnold » fait rugir le moteur (« il ressort discrètement son revolver de sous sa chemise ») arrive à hauteur du fuyard et tire aussitôt (« une bonne série de balles ») pour faire sauter les vitres de sa voiture côté passager
ARNOLD (consterné, qui a trouvé la solution)
Hey Monkey !
... il s’élance soudain à travers sa voiture qui n’a plus de vitre, attrape le chauffard par la tête (« sa voiture fait une embardée ») il en profite pour le tirer par la tête hors de sa voiture malgré ses résistances (« et il le jette sur la route ») sa voiture qui roule toujours à grande vitesse commence à s’éloigner de l’autre voiture (qui n’a plus de chauffeur) la jolie Pupee bâillonnée lui lance des regards affolés, « Arnold » donne rapidement un petit coup de pied sur le volant pour se rapprocher de l’autre voiture alors que la jolie Pupee le regarde toujours (« avec une certaine angoisse il est vrai ») mais soudain « Arnold » fait un bond in extremis dans l’autre voiture qui fait une embardée brutale, il reprends tant bien que mal le volant, essayant ensuite en vain de ralentir la voiture emballée, il retourne alors quand il entend sa jolie Pupee
LA JOLIE PUPEE (bâillonnée les yeux impatients)
Hum mummum mum !
ARNOLD (un peu confus mais presque sûr de trouver encore une solution)
Je suis là Pupee... mais y a plus de freins, don’t worry !
Il n’a pas le temps de se questionner qu’il aperçoit soudain juste en face de lui un barrage du Sheriff avec 9 voitures de Police qui bloquent toute la route (« alors qu’il roule à fond ») près d’une vingtaine d’hommes (« avec aussi des fusils ») « Arnold » un peu affolé sort sa tête par la portière en faisant des grands signes de la main tout en donnant des grands coups de klaxons
ARNOLD (Espérant que s’ouvre la voie)
Dégagez ! Dégagez !
LA JOLIE PUPEE (bâillonnée, priant pour lui)
Hummumum mumm !
ARNOLD (Espérant que s’ouvre la voie in extremis)
Vous voulez peut-être que je vous envoie un email !
... mais au lieu de s’écarter les hommes du Sheriff se mettent en joue, prêts à tirer « Arnold » se rapproche à toute vitesse (« un vrai hors bord ») juste au dernier moment les hommes aperçoivent (la jolie Pupee) ils bondissent alors de côté aussi surpris que consternés, « Arnold » lancé à pleine vitesse ne peut plus rien faire d’autre que de heurter les voitures (« qui valsent à la ronde ») sa voiture traverse le barrage puis fait encore un tête-à-queue (« comme une toupie ») avant de se renverser sur le flanc puis s’immobilise sur la chaussée alors que les Sheriffs (plutôt médusés) se demandent ce qui vient d’arriver...on entend des grands coups dans la voiture, la portière avant saute « Arnold » se hisse pour sortir, il saute sur la route, se dirige lentement vers l’arrière où la jolie Pupee toujours bâillonnée est assise contre le coffre, elle le regarde avec des yeux pas contente
LA JOLIE PUPEE (bâillonnée, les yeux capricieuse)
Hum mum mum mumummm !
ARNOLD (gentiment & consterné, en tout naturel)
J’ai fait ce que j’ai pû Pupee !
(« i done my best Pupee ! »)
... mais voilà que les Sheriffs toujours consternés se rapprochent un peu hésitants
LE SHERIFF (Avec prudence, cherchant à comprendre ce qu’il se passe)
Please Don’t move
« Arnold » se retourne, l’air de ne rien y comprendre
LE SHERIFF (Avec prudence mais détermination)
Hands- up Sir
« Arnold » s’avance pour s’expliquer mais on entend une vingtaine de clics de revolvers qui s’arment prêts à tirer
LA JOLIE PUPEE (bâillonnée, qui roule des grands yeux d’amour)
Hum mummum mummmum !
ARNOLD (charming, tel un innocent de toute évidence)
It’s no me !
(hooop’s !)
SYLVESTER (funny, un peu moqueur)
On se demande vraiment s’ils vont le croire que c’est pas lui !
MIMI LION’S (qui doit préciser le budget avec la productrice)
... c’est son Job !
(la suite bientôt dans toutes les salles de cinéma !)
(uniquement les bonnes salles !)
SYLVESTER (funny, un peu moqueur)
... c’est peut-être le début ou la fin du film !
© AS & D Movie (avec Pupee)
FBI – EUROPOL - KGB
Encore bien des étranges coïncidences avec des situations inacceptables que certains « pouvoirs » me font endurer à Rennes, encore des caricatures ou des « antithèses » de ce que j’écris qui mettent ma vie en jeu à grands renfort de cruauté, moqueries, provocations...
© Emmanuel DIGNAT 2015 (avec ses jolies Chéries… « elles sont Géniales ! »)
SYNOPSIS Voyage on loves (spheric movie) O2 french
Shining Dreamers Companies avec '' jolies magic fee's’’ …
les Girls ! les belles Beauties ! (so lovely enjoy feeling sensation's…)
présente
'' Voyage on loves !'' '
masterpeaces
(Spheric movie...)
… a music love stories with so many loves songs...
… je rêve...
we dream love dreams to stay alive...
on big loves waves
… so shining love travel for peoples
light idea !
synopsis
… movie, music, book's !
Author(e)s
Emmanuel DIGNAT
(avec ma jolie Miminou... mes loves Beauties...)
‘’Golden Spring’s Consulting’
'' Voyage on loves !'' '
…film de cinéma, fiction magique... beaucoup pour les petits, les petites.... une gourmandise... des aspects historiques mais en même temps futuristes... des '' projectives '' une fiction très sphérique, avec une version possible pour la Géode... magnifique, beaucoup d'éléments à exploiter, une scénarisation à dévoiler... beaucoup d'arguments très favorables... c'est complet... (réserver à l'avance pour la prochaine séance...)
Light idea’s
Synopsis
Miminou… Coconuts and Stella... Joy and les loves Beauties belles amies de Paris...
.. flying.....
Sur un beau plateau...
…c'est presque aussi difficile de monter (réaliser) un court métrage qu'un long, donc autant se lancer dans un long avec des « petites et bonnes idées », voir grandes et peu chères à tourner... (il faut aussi bien sûr un excellent scénariste)... ou se préparer à négocier avec les…
‘’ Majors companies ! ’’...
les Girls ! les belles Beauties ! Miminou (so lovely enjoy to make their movie…)
… s’envole les ballons…
(RIRES!)
‘’ Ô’’ (venue du ciel, toujours aussi belle)
So love songs ...
Ainsi je me lançais dans l'écriture... à défaut de pouvoir jouer ma musique avec des notes je la jouais avec des « mots »...
« la gamme pantone... »...
(avec les Panthères... roses...)
« Fip ! »
… des heures d'écoutes...
… Juges...
(...Avocat(e)s... Procureur de la République...)
… je suis « calibré pour des villes internationales... »... comme Paris... New York City... Londres... Los Angeles... par exemple... (voir mon Cv... mon « back ground... »...)... qu'est-ce que je fais ici en Province (à Rennes)... à me faire « tailler en pièce » par certains qui me prennent pour un extra-terrestre... ?!... ou en profitent pour me faire les poches... ! ...
… j'ai eu « un logiciel de transcription vocale » qui me permet de parler à « un micro » pour mon Job d'auteur, musicien… créateur qui aime parler à voix haute... réfléchir... trouver aussi ainsi bien des idées... avec un logiciel qui traduit le langage vocal par des « textes dactylographiés » ce qui permet de ne pas avoir à saisir le texte sur le clavier de mon Computer... mais aussi comme je l'ai dit de pouvoir « parler à voix haute », en exprimant par « le vécu de ma sensualité »... mon feeling... le feeling de mes idées...
… jouer ses mots... surtout ceux que l'on ressent dans son cœur...
… c'était parmi les premiers modèles disponibles à des prix abordables pour les pro comme pour le grand public... « la reconnaissance vocale ».... avec mon logiciel j'ai eu cependant des difficultés à initialiser « ma voix »... peut-être aussi y avait-il un « problème technique » ?... comme par hasard... quand je fais la liste dans ma vie des « comme par hasard »... pourtant je suis bien un homme de la chance !...
les Girls ! les belles Beauties ! Miminou (so lovely enjoy feeling their movie…)
… s’envole les ballons comme des bulles de savon…
(RIRES!)
(RIRES!)
(RIRES!)
‘’ Ô’’ (encore plus belle toute de miel)
So love love soap’s… hoop’s… love songs ...
'' jolies magic fee's’’ …
présente
... « la reconnaissance vocale » je pense serait une bonne solution pour « les auditions en Justice... »... avec les Scripts c'est difficile de prendre les notes avec exactitude de ce qui a été dit... il y a toujours une petite marge « d'interprétation possible ou de retranscription »... d'autant que l'émotion lors de l'audience joue aussi avec les fluctuations qui peuvent en résulter...
… une bonne solution cependant « pour avoir une version originale »... d'autant que « les paroles vocales » transcrites en « fichiers textes » ne demandent pas beaucoup de place pour être « stockés » sur des mémoires informatiques... (disques Durs... mémoires de Masse...)… c'est une amélioration réelle, un gain de productivité, avec abaissement des coûts aussi...
Mimi Lion's (so enjoy flying millionnaries)
… a big business marketing mondial !... rapidement des centaines de millions d'euros... puis plusieurs milliards... et certains disent que je suis « à la masse ! » moi l'As des As... (en Rap's)… voulant faire de moi « l'As de Pique ! »...
… alors que ce sont bien «mes millions mes idées de fortunes!» qu'ils me piquent...
… je n'ai pas persisté avec ce logiciel, que j'ai d'ailleurs dû revendre par la suite chez « Cash Converter !» pour pouvoir me nourrir parce que je n'avais plus rien à manger, plus d'argent non plus... c'était un peu dur, mais je ne m'inquiétais pas outre mesure parce que j'avais aussi tant d'espérances de réussir rapidement à gagner beaucoup de sous... comme le montre aussi les magnifiques «chefs-d'œuvres Masterpeaces ! » que je produisais... sans oublier l'étendue de mes compétences... apprentissage aussi ‘’de la prise de risque... ‘’ avec ‘’ mon instinct marketing’’ lié aussi à mes capacités d'en faire une évaluation économique, juridique, financière… « mon feeling shining ways... »...
… i find !
… Terre !
… feeling de « prescience projective... » qui en renforce d'autant les chances de succès... aussi parce que je faisais de plus en plus de musique... j'avais des années à rattraper (10 années sans jouer de Basse… je n'ai jamais eu assez de sous pour me racheter une nouvelle Basse... ou bien quand j'avais des sous c'était pour payer mes dettes... ou les découverts bancaires....)...
… je les ai bien vite rattrapées...
… Ainsi... alors que j'étais redevenu un musicien, auteur et compositeur virtuose... j'ai été victime de « Bang ! en série... »... qui m'ont fait perdre ensuite 9 à 10 années de musique... de tout... vie... amour... libertés... fortunes... babies...
… on parle bien aussi de ma fortune « Tube's ! »... « Book's ! »... en dizaines de millions d'euros...
… il est des « choc !» qui bousillent la mémoire...
(et pas que la mémoire...)...
'' Voyage on loves !'' '
(Spheric movie...)
Auteur(e)s
Emmanuel DIGNAT
(le Mimi Lion's avec sa jolie Miminou...)
… je me promène... promenade... voilà que je découvre une belle vitrine... celle d'un fabricant de Piano... piano d'artiste... beauté du bois... « Pleyel... »... comme quand j'étais tout petit ce piano magic venu des Cieux... so majestuous... sur lequel à 5 ou 6 ans je composais déjà mes premiers Tube's de musique contemporaine... jouant sur les cordes avec mes doigts comme sur une Basse... petites mélodies les touches les plus hautes... des notes basses de l'orchestre avec tout un ensemble de percussions en martelant les boiseries qui résonnaient au-delà des temps... un magnifique Piano Pleyel sur lequel avait probablement joué Frédéric Chopin quand il venait faire la cour à sa belle Comtesse...
… je suis donc très surpris de découvrir ce magnifique atelier dans la proche banlieue de Paris... à Montreuil... installé là depuis toujours je crois... peut-être le piano de ma Grande Arrière Tante qui le tenait de cette belle Comtesse, avait-il été fabriqué ici dans ce magnifique atelier toujours bien vivant aujourd'hui il y a bien des années...
… Miminou sans doute à cette heure sommeille encore en faisant la grâce matinée avec notre petite Miminette adorée d'amour...
… c'est à elles que je pense en mon cœur au cours de ma belle promenade dans la petite ville de Montreuil, c'est là aussi que se sont installés « les premiers Studio de cinéma de l'histoire »... celui de Georges Méliès bien sûr, cinéaste célèbre fasciné par l’invention des frères Lumières qui avaient organisé une projection de leurs tous premiers films de cinéma sur le Boulevard des Capucines à Paris, géniaux inventeurs venant de Lyon où ils fabriquaient des films photographiques, ce mot dont l’origine ‘’phôtos’’ veut dire d’ailleurs ‘’tracer la lumière’’… films en attente de révélations qui sans doute n’attendaient que le mouvement, peut-être de mes premiers pas sous la musique du piano Pleyel avec « la Lanterne magique !».... ni l’adorée Miminette ou ma jolie Miminou ni moi-même n’étions encore né(e)s... en devenir de l'être... extraordinaire « projective du temps... » je repense à ces grands voyages de l’imaginaire aussi sans oublier toujours notre célèbre cinéaste en liesse Méliès qui a tourné une quantité incroyable de « petits films de quelques minutes... » (plus de 500...)... d'une formidable créativité, un peu fantastiques aussi... illusionniste de poésie usant déjà de « la coloration d'image » pour envoyer par exemple une fusée dans l'œil de la Lune... la pauvre... (Voyage sur la Lune...)... ainsi ses studios hélas brûlèrent.. tout fût détruit... il en avait d'ailleurs assez de tous les détracteurs qui n'y comprenaient rien à son art... le prenant pour un « fou démoniaque... » faiseur de films le cinéma si nouveau à l'époque... so light shining ways... on le retrouva bien des années plus tard bienheureux à tenir une petite échoppe de friandises je crois dans le hall d'une grande gare parisienne...
… dans un même temps « aux Amériques... »... au-delà les océans le nouveau monde... un autre inventeur inventait aussi une autre « lanterne magique » pour le cinéma... Thomas Edison... « Son et fils !»... rejoint peu après par un petit émigrant... Charles Chaplin si jeune qui venait de perdre sa mère arrivant en bateau du Royaume-Uni avec son petit baluchon...
… il était venu dans une jolie petit bateau ?... m'avait demandé Miminette...
… quelques larmes sur mon cœur je poursuis ma promenade en passant par « la porte des Lilas »... (pauvre Henri...)... je prends un Taxi... tout en repensant aussi à cette belle Amie qui habitait dans l'un de ses petits immeubles émouvant aux fenêtres éclairées le soir de couleurs... je passe avec elle dans mes pensées d'amour toujours... une petite larme encore... (…encore elle se souvient de moi toujours... sans doute repasserai-je plus tard...)... le périphérique... on aperçoit maintenant la Cité des Sciences... la grande salle de Concert du Zénith... juste à côté d'une grosse sphère bien étrange... la Géode où l'on projette des films très complexes à réaliser sur un écran à 180° en courbe (?)... je sors de mes pensées je regarde... on arrive à « la porte de la Chapelle... »
… je descends, s'il vous plait, j'aime bien marcher... (je n'ai plus assez de sous pour aller plus loin...)... l'Avenue du Président Wilson... les Studio de « AB production » plus loin sur la droite... c'est bien là bien des années auparavant où j'avais été Assistant Réalisateur sur les « Sitcoms !» pour la Télévision... « Premiers Baisers... »... puis « Hélène et les Garçons... »... (… « Hélène IV ?... »)... (… souviens-toi de moi... je t'apportais des petits Croissants le matin...)... je n'oublie donc pas « la belle Hélène » joie de vivre en humour... Opéra populaire à grand succès de Jacques Offenbach qui adorait d'ailleurs composer ses Tube's ! sur son beau Piano entouré de sa famille, sa belle femme ses enfant(e)s, petit(e)s enfant(e)s qui courraient partout, s'amusaient, jouaient poussant des petits cris de petit(e)s artistes...
… c'était juste une copine Miminou... une bonne copine...
… sur un beau plateau...
… les lumières... décors... conception très forte... avec le feeling pour le plaisir des « publics ! »... superbe expérience de tournage avec beaucoup de monde de lumières encore so shining loves, que des grands pros... 4 ou 5 caméras mobiles, souvent en travelling, de beaux décors construits et installés dans un vaste studio un peu « grand hall » avec plein de projecteurs suspendus au plafond pour la lumière... 8 actrices et acteurs principaux, Hélène flying loves encore… 2 ou 3 personnes au « son », 2 ou 3 aux lumières (un directeur photo des plus talentueux), des doublures lumières (ça chauffe!), 1 ou 2 accessoiristes, les maquilleuses, coiffeuses, costumières, 3 assistants réalisateurs (le premier, la deuxième, et le stagiaire) qui veillent à toute l'organisation du tournage de l'épisode (plan de tournage, coordination) pas une minute à perdre, tout doit toujours être prêt pour avancer, des figurant(e)s bien sûr parfois jusqu'à 20 ou plus... pour réaliser un épisode de 26 minutes en une journée qui démarre à 7 heures le matin jusqu'à 20 heures ou 21 heures le soir... avec le réalisateur bien sûr Jacques Samyn (grand spécialiste de talent… il a aussi réalisé ‘’Nounours, bonne nuit les petit(e)s...’’)... parfois un autre réalisateur, de talent aussi, qui avait un beau chapeau...
… so shining artistes !
Pour la belle Hélène... ça dépendait des jours... ou des nuits... so funny pleine de vie so cool la chance d'aimer son job, on love's young waves... on light ! Sans oublier les auteur(e)s qui essayent d'apporter un peu de couleurs, de beaux sentiments, belles attitudes (Hi Dorothy…)… donner un peu de bonheur, de joie, plaisir aux spectatrices, spectateurs, dreaming loves... ‘’situation comedy’’ ou Sitcom des plus plaisantes qui fait beaucoup de bien...
Et comme l’on écrit sur les scénarios des épisodes...
(RIRES!)
(Gloup's!)
… quand je fais la liste dans ma vie des « comme par hasard »... je suis bien un homme de la chance !...
les Girls ! les belles Beauties ! Miminou (so lovely enjoy feeling their movie…)
… s’envole les ballons comme des bulles de savon…
(RIRES!)
(RIRES!)
(RIRES!)
‘’ Ô’’ (encore plus belle toute de miel,)
So love love soap’s… hoop’s… love songs ...
'' jolies magic fee's’’ …
présente
... « la reconnaissance vocale » je pense serait une bonne solution pour « les auditions en Justice... »... avec les Scripts c'est difficile de prendre les notes avec exactitude de ce qui a été dit... il y a toujours une petite marge « d'interprétation possible ou de retranscription »... d'autant que l'émotion lors de l'audience joue aussi avec les fluctuations qui peuvent en résulter... une bonne solution cependant « pour avoir une version originale »... d'autant que « les paroles vocales » transcrites en « fichiers textes » ne demandent pas beaucoup de place
Ainsi je me lançais dans l'écriture... à défaut de pouvoir jouer ma musique avec des notes je la jouais avec des « mots »...
« la gamme pantone... »...
(avec les Panthères... roses...)
« Fip ! »
… à toutes heures...
… devant les grands studio de « AB !»... une place de parking pour nous bien sûr quand on passera avec Miminette dire bonjour en Mercédès Rose... (… à droite la petite cantine... où l’on mangeait des petits sandwiches en famille avec du Coka...)... ce n'est pas très loin de l'Avenue Junôt où l’on habite à Montmartre... beaucoup de sociétés se sont installées alentours, des prestations pour le cinéma ou la Télévision... beaucoup de Studios... pour réaliser des émissions ou des séries... on pensera d'ailleurs à notre ami « Nagui ! » avec un feeling cool pro... « Tara t a t a !»... tarte à la crème !... plutôt à la découverte de nouveaux talents avec bien des artistes qui nous chantent leurs chansons « en direct !» avec tant d'émotions... ambiance « live ! »... j'aurai pû aussi passer par « Max Dormoy »... un quartier que je connais bien aussi, charmante petite place avec des petits restaurants très agréables en terrasse le soir en été... un petit square tranquille des petites boutiques... un beau Monoprix aussi... une belle Poste... s’envole les ballons…
… « Pensées multicolores dans une cour d'école un peu triste »... c'est ainsi que j'écrivais les titres de mon album « Sandra !» pour une version « musique d'illustration pour films Tv...»... j'avais d'ailleurs été reçu après écoute par un directeur artistique d'une société d'édition à Saint Cloud qui m'a bien encouragé en me disant aussi que ce n'était pas de la musique d'illustration mais plutôt ''des Tube's !...'' (c’est d’ailleurs ce que je pensais aussi…)…c'est pour ça que j'avais écris « des titres à rallonge » comme le faisait Dali pour ses tableaux de peinture... des titres aussi pour essayer de traduire une atmosphère, un concept, ambiance ou belle émotion (en vérité je pensais surtout aux millions que valent aujourd'hui ses tableaux...)... s’envole les ballons jusqu’au ciel si loin…
Miminou (so lovely in loves)
... faire naître de belles couleurs belles comme la vie...
Mimi Lion's (so lovely Angel's...)
… belles comme tes grands yeux de sucre...
… un peu plus loin l’on arrive en voiture avec Miminou, Miminette, notre petite adorée... on arrive aux magnifiques « Studio de Paris !»... pour tourner des films de cinéma... école de formation aussi... des Studios à l'initiative de Luc Besson réalisateur « du Grand Bleu !... »... (Gloup's!) film à grand succès qui a renfloué les caisses des productions « Gaumont !... » (voyez aussi « les risques »... on aurait pû perdre Gaumont !...)... mais aussi une très belle œuvre émouvante avec une musique somptueuse composée par Eric Serra (bassiste de Higelin « Et je danse encore »...)... in waves melodies...
… beaucoup de bossing la musique de film mais c'est aussi très beau... « une composante du cinéma »... pour moi musicien… à Hollywood les musiques de films sont très bien produites sans hésiter à engager un grand orchestre qui va jouer en direct sous la direction « d'un Chef ! » dans une grande salle en visionnant les images du film... comme on peut aujourd’hui le faire aux « Studios de Paris ! »… (Gloup's!) plusieurs plateaux de tournages... avec aussi « un grand plateau » de 2000 mètres carrés (comme les appartements de Paul- lou Sulitzer... un ami...)... avec une hauteur de plafond de 16 mètres... aussi pour les tournages de films à gros budgets… (c’est surtout à ça que je pense ‘’l’air de rien…)…on peut tout faire comme décors... même l'océan... comme à Hollywood... avec si l'on veut une « jolie bateau sur l'eau. . . »... ou plutôt des gros bateaux de flibustiers... (Gloup's!) (Gloup's!) cela cependant me donne bien des idées pour le tournage de certaines scènes de mon scénario de film sphérique « You Sea (notes) »...
... but you see well...
… elle est toute fondante d'amour comme je fonds dans tes bras quand tu fonds sur mon cœur fondante d'amour je m'envole à la douceur de tes paupières papillonnes sous le souffle si doux de tes « baisers bisou Bag's... »... s'envole avec la Pomme... so far away always on love Paradise... chacun, chacune ou chacune chacun chaque coquines et coquins enjoy life so funny life funny love revival loves for the love revolution on loves colors waves... de l'amour toujours always enjoy love enjoy life as you love...
… aussi la mémoire memories toujours est très liée à la sensibilité de l'être...
… sans doute... so funny millions love lights in hopes can show how it's so shining to feel well… so well so loves… on loves in loves for the loves evolutions « baisers bisou Bag's... » en couleurs Panavision rolls Tube's de cinéma… grand large...
… on loves colors waves ocean. . .
… comme le dit Mr Seydou... (le Boss de Gaumont...)...
… « qui dit que je sais tout avec mon jolie bateau sur l'eau... »... s'amuse la jolie Miminette complice avec sa belle Mum's Miminou toute souriante aussi... « … oui ma petite Chérie... ».. réponds-t-elle à sa jolie petite Miminette toute adorée d'amour...
Mimi Lion's (so lovely « démoniac » feeling another better shining world...)
… c'est bien aussi un film sphérique que nous avons écrit avec cette belle séquence « voyage on loves... » dans l'immensité du temps pour le vivre encore dans l'espace courbe au plus beau de l'imaginaire en 180° ou même 360 sur l'écran fantastique de la Géode ou même encore so flying love dreams en version magique...
.. . flying loves colors in Panavision...
… le « Pleyel » avec ses grandes aîles s'est envolé jusqu'aux Amériques par avion... jouer ses belles symphonies d'amour sur son beau « Stenway's and daughters...» s’envole les ballons plus loin que le ciel l’océan…
Miminou avec Mimi Lion's (so lovely loves telling their love stories...)
…si belle on loves ma jolie Miminette adorée d'amour souffle ses petites bulles de savon ‘’move on loves shining hopes loves dreams’’ de couleurs s'envole en amour le soir sous la belle lumière des étoiles de sucre...
… i find !
Emmanuel DIGNAT
(avec mes jolies loves Beauties... elles sont géniales...)
ça mouille la pluie...
© Emmanuel DIGNAT 2014 (avec ses jolies Chéries… « elles sont Géniales ! »)
SYNOPSIS - Love Message In Music
SYNOPSIS Chasse à l'homme (movie 2014)
lundi 20 octobre 2014
De love song en chanson d'amour (making off)
… ‘’ Chasse à l’Homme !’’
(Moi à Rennes)
… avec maintenant ‘’ inversion des rôles ! ‘’…
… ‘’on s’ennuit terriblement ici…’’…c’est vrai… les ami(e))s !… vous avez bien de la chance d’avoir un ami flying millionnaries… 10 Bmw pour vous… on va faire ‘’ a new game !’.. des Teams avec des jolies Gonzesses !... 10 Bmw 3.18 i… 2 neuves, 8 premières mains de moins de 10 000 kms (j’en ai pour 500 000 euros avec les assurances, vignettes, petites enveloppes) des premières mains, comme ça elles seront bien rodées…vous pourrez laisser de la gomme ! (je paierai les pneus) … il faudra donc ‘’ viser des cibles’’… ‘’une cible ‘’… coup de moteur… ‘’ Paf !’’… un ‘’point !’’… ça va comme ça ?... non, on ne compte pas les points de suture… une cible... ‘’Paf !’ ‘’un point !’’… bien sûr, oui… si vous voulez on pourra faire un barème pour le choix ‘’ des cibles !’’… vous n‘aurez qu’à réfléchir… as you want… des parties bien sûr en plusieurs manches ...comme ça on s’ennuiera moins… la team gagnante enregistrera un Tube’s ! … encore une love song… et ça platine !...
… when rules are not good we change the game !
… Ô Shining loves… where are you ?... so loves you are !... tu fais la pute au bord de l’océan ?… yes… en regardant les étoiles… so funny loves…
… sur la plage…
(Manhattan beach L.A.)
‘’Venice ‘’
‘Do you have french-fries ?’’
Cette magnifique page est en cours de création. On n'a pas fini la mise en forme des textes. Merci bien (mais on peut lire quand même)
SYNOPSIS - Murder 607 (Movie) french
Jolies Magic fee’s
Présente
Murder 607
(jalousie de femmes)
Thriller funny (ébauche)
Paris Thoiry 1992
Author
Emmanuel DIGNAT
Golden Spring's Consulting - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales
Consulting, Creation & Publishing
… sur honoraires !
(si pratique aujourd’hui de ne pas payer avec les Computers ?
Murder 607
(jalousie de femmes)
Thriller funny
(ébauche en cours de création)
Un jeune écrivain rencontre un scénariste célèbre qui lui demande de l’aider à disparaitre pour faire croire à sa mort
THÈMES
- jalousies & rivalités
- Ambitions / Arrivisme
- amour femme mûre et jeune homme / Grand amour sans le savoir
- jeux de manipulations entre générations des jeunes par des générations plus expérimentés (ou l’inverse)
- fracture sociale entre les générations
- Opposition esprits scénaristes (ou créateurs) à relativiser
Poésie / business
espoir / aigritude
jeune / vieux
- Création TV : Originalité, poésie, idéal, misère, pas de travail / standard TV, catalogage, stéréotype, surcharge de travail, fortune
- Considérations sur les femmes par les hommes & sur les thèmes précités
- Rivalité masculine (& générationnelle) : jeune premier de talent « clean » / homme expérimenté mais qui s’est « vendu » pour réussir
LES PERSONNAGES PRINCIPAUX
JULES : LE JEUNE ÉCRIVAIN
Il a 25 ans. Il est en quête d'idéal et de justice. Après le départ de Babelle et lorsque Orson lui donne du travail, il va essayer de regagner son cœur car il l'aime toujours. En vain. Babelle l’humilie, le maltraite et cherche à le déstabiliser dans son travail
BABELLE
25 ans. C'est la femme de Jules. Elle a horreur des histoires de meurtre. Jalouse, elle épie Jules en cachette. Elle est témoin d’un vrai meurtre
ORSON : LE SCÉNARISTE
55 ans. Il a écrit pour la TV une célèbre série " Murder " vendue dans le monde entier et qui raconte des histoires de meurtres épouvantables. Il écrit son dernier épisode qui met en scène sa mort, le 607' épisode. Il s’inspire de véritables meurtres et achète les droits d'auteurs. Il est fatigué d'écrire et déçu par sa production. Il en est malade. A ses débuts, il était pauvre, comme Jules, il crevait de faim quand il a commencé la série « Murder » qui I'a propulsé au sommet. Il connait la triste réalité du pouvoir et de l’argent. Bien que vivant avec sa femme, il ne la délaisse car il ne l’aime plus. Orson est un peu jaloux de la jeunesse de Jules. Il critique les femmes et la bêtise humaine avec parfois du cynisme... Orson & URSULLA sont liés par un terrible secret. Ils sont complices dans Ia mise en œuvre du plan de faire croire à la fausse mort d’Orson pour encaisser un gros contrat d’assurance vie
URSULLA
40 ans. C'est la femme d'Orson, une comédienne déchue. Elle ne l'aime pas mais il la tient en raison d'un secret passé. C'est une belle salope, envoutante. Elle s'invente un passé mélodramatique pour séduire le jeune Jules, tendre et naïf. Elle est le souffre douleur de ce pédé d'Orson et se fait battre parfois.
LE SPECTATEUR FÊLE & SA COPINE
35 ans (« âge mental » moindre). Le scénariste Orson célèbre est poursuivit par un spectateur un peu fêlé qui veut le tuer. Pourquoi ? C'est un mystère qu'on découvre peu à peu. C'est un spectateur assidu de séries policières qui a besoin de suivre des histoires de meurtres pour se décharger de sa propre violence (ou envie de tuer). Il se prend pour le héro récurrent de la série policière « Murder » adulé par sa copine. Mais ce héro été relooké par Orson et le producteur pour mieux coller à la demande des lecteurs. Le spectateur qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eau n'arrive maintenant plus à s'identifier et à ressembler au héro renouvelé. Du coup sa copine trouve moins de charme à son mec. Il demande à Orson de modifier I ‘aspect du héro sans quoi il sera obligé de le tuer. Le nouveau héro ne fume plus, le spectateur essaye d’arrêter de fumer mais n’y arrive pas et pique des crises de colères terribles car il est dépendant du tabac (Il est ultra nerveux et fume comme un pompier).
SYNOPSIS
ACTE I
1. Crime à la Tv dans appartement Orson.
Babelle est sur le point d'accoucher.
Jules est en train de terminer son livre.
2. Babelle perd son enfant. Jules vient la voir à l’hôpital. Babelle l'accuse. Il rencontre Ursulla venue se faire avorter car son mari ne veut pas d'enfant
3. Orson prépare un projet mystérieux. Dispute Orson / Ursulla.
URSULLA : Tu gonfle la tête des gens, il y a pas de quoi être fier !
ORSON : Il faut mieux voir un crime à la Tv que de tuer soi-même... l’humain est aussi un tueur.
4. Jules est séduit par Ursulla. Elle voudrait se débarrasser de son mari. Babelle se doute de quelque chose.
5. le livre de Jules n'est pas publié. Il n'a plus d'argent. Dispute avec Babelle. Ils se séparent.
6. Jules seul, perdu songe au suicide. Il rencontre Orson
ORSON : Certains font semblant de vivre, moi je me prépare à mourir
ORSON : je suis devenu scénariste parce que enfant je passais mon temps à rêver pour fuir le monde et je pouvais par le rêve aimer ce qu’il y avait de plus beau, j’inventais des grandes histoires d’amour pour compenser l’amour que je ne recevais pas, j’inventais toutes sortes d’histoires où je trouvais des solutions ça pourrait te rapporter un peu d’argent.
7. Jules accompagne Orson qui va rencontrer un meurtrier pour préparer son prochain scénario. Ils passent une soirée en tête à tête pleine d’ambiguïté
ACTE II
7. Orson invite Jules en voyage.
Jules hésite. Il retrouve Babelle qui le dispute et il décide de partir
Jules et Babelle sur la tour Eiffel
BABELLE : Tu m'aimes vraiment ? Plus que tout ?
JULES : Mais oui... je t’aime Babelle "
BABELLE : Et bien vas-y (elle montre le vide) Saute ! Tu m’as bien dit que la vie sans moi te serait insupportable... Alors ? Qu’est-ce que tu attends ?
8. Voyage de Jules, Ursulla et Orso. Il demande à Jules de faire semblant de le tuer. Sa femme, complice, touchera une forte assurance vie.
9. Malgré la forte somme qu’on lui promet Jules hésite. Mais on le manipule et il se retrouve entrainé dans le scénario du meurtre. Orson lui offre un contrat en or. Babelle cherche à retrouver Jules car elle est pauvre maintenant. La relation secrète de Jules avec Ursulla la rend folle de jalousie. Elle rêve de la tuer
10. Jules qui a le cœur brisé se laisse séduire par Ursulla. Elle le presse de tuer réellement son mari. Avec l’argent ils referont leur vie ensemble. Mais Jules doit réussir à faire parler Orson pour découvrir la combinaison de son coffre fort car il a enfermé, dit-elle, des vidéos pornographiques qu’elle a tourné jadis et qui la compromettrait (en vérité c’est des papiers compromettant concernant leur terrible secret). Babelle retrouve Jules, lui demande de revenir avec elle mais il doit partir avec les deux compères et laisse Babelle en plan.
11. Des événements mystérieux surgissent dans le scénario. Quelqu’un agit dans l’ombre pour essayer de sauver Jules (C’est Babelle)
12. Le plan foire. Orson est réellement mort. Et Jules n’a pas réussit à savoir la combinaison du coffre.
ACTE III
13. Jules est accusé, il fuit et se cache. Il va réussir à fracturer le coffre et se fait surprendre par Ursulla. Il y a bien des vidéos pornos mais pas de dossier compromettant. Quelqu’un le dénonce anonymement.
14. Jules est arrêté, il se retrouve en prison.
15. Babelle vient le voir.
BABELLE : je sais ce qui s’est passé, j’étais là
JULES : Alors tu sais bien que je n’ai pas tué Orson
BABELLE : ça va être dur à prouver
JULES : écoute Babelle, donne ton témoignage à la Justice
BABELLE : Et pourquoi je le ferais ? il y a peut-être des choses que je n’ai pas envie de dire...
JULES : J’ai trente ans de prison qui vont me tomber sur la gueule... Tu as ma vie entre tes mains...
BABELLE : Toi aussi tu as eu ma vie entre tes mains... et celle de notre enfant...
JULES : Tu veux te venger ?
16. Babelle réfléchie.
17. On retrouve le dernier scénario d’Orson qui met en scène sa mort. Jules est innocenté. Ursulla est emprisonnée bien qu’elle crie son innocence.
18. Un producteur propose à Jules d’écrire son histoire pour la Tv. Il signe un gros contrat.
19. Un doute subsiste dans l’esprit de Jules : Babelle a-t-elle manipulée tout le monde ? Est-elle coupable ?
FIN
FBI – EUROPOL - KGB
Encore bien des étranges coïncidences avec des situations inacceptables que certains « pouvoirs » me font endurer à Rennes, encore caricatures ou « antithèse » de ce que j’écris qui mettent ma vie en jeu à grands renfort de cruauté, moqueries, provocations...
© Emmanuel DIGNAT 1992-94 (avec ses jolies Chéries… « elles sont Géniales ! »)
SYNOPSIS - Woody Wood & Boop (l'Amour en dérision) Movie (french)
Jolies Magic fee’s
Présente
Woody Wood & Boop
(l’amour en dérision)
Osny 1982 Paris 1989 & Thoiry 1992
Comédie funny !
(avec de jolies chansons d’amour love)
Author(e)
Emmanuel DIGNAT
(With all his pretty Chéries & la jolie Boop !)
Golden Spring's Consulting - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales
Consulting, Creation & Publishing
… sur honoraires !
(si pratique aujourd’hui de ne pas payer avec les Computers ?)
Woody Wood & Boop !
(l’amour en dérision)
… avec « Woody Wood » & la jolie « Boop ! »
Synopsis
WOODY WOOD (rêveur, s’essayant à l’art dramatique)
« Miroir »
(en quête de soi)
J'ai deviné qu'une heureuse et infinie tristesse parcourait son regard, mais il souriait quand même et me répéta encore une fois
- Mais non, je vous assure, je ne suis pas multicolore ! D’ailleurs, regardez-moi bien, je suis transparent !
Je le regardais avec curiosité et lui répondit.
- Et moi, Monsieur, je vous assure que la transparence ne vous ressemble guère ! Vous êtes tout ce qu'il y a de plus multicolore ! Voyez vous même !
- Ah bon ! vous croyez ?
Et l’arlequin triste se senti rassuré. Il était maintenant heureux de pouvoir aller danser au Bal Céleste des Grands Perroquets et partit en s'envolant dans le miroir allumé.
« Woody Wood » est un jeune homme étudiant en première année de « fac », il fredonne souvent les mélodies des grands Tube’s (« de l’homme à la tête de Chou ») sans doute aussi pour essayer de se dire que bien des bonheurs devraient lui être permis de vivre car il est un peu intimidé par les jolies femmes. C’est alors que « Woody Wood » un peu « Star filegree » en son style fait la connaissance de la jolie « Boop » étudiante elle-aussi (& fort bien dotée). Ce jour là WOODY WOOD (rêveur) amoureux de poésie sortait de son cours de musique car il s’essaye aussi à la musique « Comme une hirondelle » (nouvelle vague)
LE CONSERVATOIRE DE PIERRES
La lourde porte de bois se referme, elle claque, l'édifice de pierre tremble. WOODY WOOD (rêveur) un peu maigre descend les escaliers, l'air rêveur. Il tient coincé sous son bras une petite valise noire en forme de trompette et qui n'a plus de poignée. Il marche en sifflotant, longe la grille noire du parc. WOODY WOOD est fasciné par les grands arbres touffus aux feuillages couleur d'automne. Il suit des yeux le vol d'un oiseau qui atterrit maladroitement sur une branche et n'arrive pas à retrouver son équilibre. Il vacille puis tombe sur l'herbe.
LE PARC AUX GRANDS ARBRES
Derrière les barreaux de la grille, WOODY WOOD (rêveur) regarde le malheureux oiseau qui ne bouge plus. Inquiet, il se précipite en courant pour trouver l'entrée du parc. Il fait le tour puis cherche l'oiseau. L'oiseau n'est plus là, il a du s'envoler. WOODY WOOD est attiré par le bruit de chutes d’eau. Il repart intrigué.
LES JETS D'EAU
WOODY WOOD (toujours rêveur) découvre un bassin où se baignent des statues de femmes nues. Des jets d'eau s'élancent vers le ciel pour retomber en fines gouttelettes. De l'autre côté du bassin la jolie BOOP (si jolie) assise sur un banc le regarde au travers la pluie de gouttelettes. Elle se lève puis disparait dans une allée. WOODY WOOD médusé la suit du regard. Il reste sans bouger et se frotte les yeux, croyant à une apparition. Il repart et se retrouve dans un coin sauvage du parc. Il découvre une tourelle de pierres.
IMPROVISATION POUR UN REGARD
WOODY WOOD monte le petit escalier qui mène à la terrasse, s'avance jusqu'à la balustrade d'où il a une vue superbe sur le parc. Il ouvre son étui, sort une clarinette et se met à jouer. Il joue, joue, joue. Il s'arrête pour reprendre son souffle et découvre soudain la jolie BOOP (si jolie) qui se tient à son côté. Elle le regarde d'un air effronté puis lui dit :
" C'est beau ce que tu joues "
Il semble surpris, ne sait que répondre.
ET LE VENT PRIS LA PAROLE
Une rafale de vent se mit à souffler. Les partitions restées dans l'étui s'envolent dans tous les sens. WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie) amoureux déjà se lancent à la poursuite des feuilles. Ils se retrouvent nez à nez pour ramasser une feuille, en profitent pour s'embrasser. Le vent se mit à souffler plus fort encore, WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie) se séparèrent pour essayer de rattraper les feuilles. Quand WOODY WOOD (rêveur) se retourne BOOP (si jolie) a disparue.
OU EST-ELLE ?
WOODY WOOD se précipite à la balustrade, la cherche dans tous les horizons puis aperçoit au loin la jolie BOOP (si jolie) qui s'éloigne avant de disparaître happés pas les arbustes. Il ne su jamais s'il avait rêvé au non, toujours est-il qu'après avoir cherché ses feuilles partout mais il ne retrouva jamais l'une d'elle, celle d'une chansonnette qu'il avait composé ce matin même, à son lever
BOOP (si jolie)
Les paroles étaient
WOODY WOOD (rêveur)
Et une petite feuille
Et deux petites feuilles, Et trois petites feuilles
Et plein de petites feuilles
Ies petites feuilles
S'envolent avec le vent
Ies jolies petites feuilles
Sont des belles petites feuilles ...
WOODY WOOD savait très bien que ses paroles n'étaient pas terribles mais il s'en moquait car il avait écrit cette chanson pour la musique.
En amour à la FAC
WOODY WOOD (rêveur) devient fou d’amour love mais la jolie « Boop » (si jolie) bien qu’elle soit aussi folle d’amour love que WOODY WOOD n’arrive plus vraiment à croire à l’amour, dit-elle ce qui oblige « Woody Wood » à essayer de se montrer virtuose pour la séduire et lui redonner de l’espérance amoureuse (& de bonnes idées) en écrivant au mieux du possible des jolis poèmes d’amour love aussi beaux que des chansons d’amour love. « Woody Wood » est donc en première année de « Fac », un peu « intello » avec encore pour particularité (ou signe distinctif) suite à un développement trop précoce dans sa petite enfance, de ne pouvoir voir la vie qu’en poésie, ce qui fait aussi de lui quelqu’un de virtuose pour ressentir (& décrypter) toutes les grandes beautés de la vie... Ce poème fut le tout premier que« Woody Wood » écrivit après avoir rencontré sa jolie « Boop » celle qu’il croyait aimer
WOODY WOOD (rêveur) To BOOP (si jolie)
« Une vie d’amour love »
Au lever du jour un Taxi
Pont de l’Amour passe et m’emmène idiot
Les yeux bulles de bonheur
Bois de Saint Cucuffa pour elle, pour moi
Pour elle dans mon sang son sourire
Ciel rose me baigne orange
Ouvre l’océan ligne du désir
Douce attente quand chaque goutte
Se couche sur la plage
Moussent les éclaboussures de l’écume
Au passage d’une jument Frappant le sol impatiente
Pour que vienne l’étalon Au matin accouru
Il se dresse à l’appel du fruit attendu
Soleil où est-elle ?
(in your heart)
Au lever du jour demi-tour
Un Taxi Repasse la belle rivière
(fleuve de l’amour)
Me ramène impatient
Au bord de l’océan
BOOP (si jolie)
« Encore partie ! »
WOODY WOOD (rêveur)
Elle part en courant
Dans le petit matin
Ses cheveux caressés par les premiers rayons de soleil
Une mélodie la suit comme une nuée de papillons heureux
EIle se retourne et agite sa main
Pour me dire un je t'aime
Qui emplit toute la rue
WOODY WOOD (rêveur en inquiétude)
Chaque fois que je la regardais partir
C'était comme si ses yeux me disaient
Au revoir, au revoir
Mais tu sais, un jour,
Je ne reviendrais pas
WOODY WOOD (rêveur) To BOOP (si jolie)
(Clip Vidéo)
La nuit s'efface sans aucun bruit
Seul le souffle du silence (vient caresser nos paupières)
Lourdes de sommeil
Les hôtels sont fermés
La lueur du jour perce à l'horizon
Quelques photos, des cris, des sourires
(Des baisers)
Doux souvenirs d'une nuit sur un fond de musique
Nous repartons dans le matin
Voiture aux phares éclairés
Sur la route les cerisiers en fleurs
(arbres de l’amour)
WOODY WOOD (rêveur en tragédie)
La souffrance a déchirée mon cœur
Et chaque battement fait jaillir
Une giclée de sang qui éclabousse mon visage
Déjà bien ravagé
Par l'acide douleur
De son absence
CARTE POSTALE (Clip vidéo)
WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)
Les courbes floues de l'image envahissent l'écran. Un œil puis un autre s'agitent dans un bain de brume fluorescente. Des lignes verticales découpent l'amour d'une bouche gonflée, le vent s'envole avec un Tee-shirt jaune, des perles de chagrin gouttent le long du ciel pour s'étreindre dans une flaque rose. Une feuille tombe d'un poirier, une petite fille la ramasse et s'en va en sautant sur un pied.
WOODY WOOD (rêveur) To BOOP (si jolie)
Une abeille sur le sucre papille
Papillon, accordéon
Moustique zozotte, zizique
Tic Tac Tic, la fleur
Titille la tige
Smac, smoc smac, hamac
Bouche balance la branche
D'un regard peinture
Pupilles pures étirent à tire d'ailes
Le lit de mousse où pousse
Une pluie arc-en-ciel
De six cent mille baisers
A chaque occasion « Woody Wood » (rêveur) couvre la jolie « Boop » (si jolie) de jolis mots d’amour, parfois même lui courant après pour lui dire ses œuvres (sans doute espérait-t-elle d’autres billets doux) si bien que « Woody Wood » d’une grande sensibilité en devient parfois triste comme il en est d’un chagrin d’amour ce qui le rend parfois avec un certain sens théâtral un peu « suicidaire » mais à chaque fois qu’il voudrait disparaître au grand désespoir de ne pouvoir conquérir le joli cœur de la jolie « Boop » (si jolie) avec ses mots d’amour love rien ne marche jamais (il n’est vraiment pas doué pour faire croire qu’il veut mourir) et c’est toujours son inspiration poétique qui vient le sauver découvrant alors une nouvelle idée pour un prochain poème ou une nouvelle chanson d’amour love qui sans doute cette fois sera tellement jolie qu’il réussira enfin à être récompensé par les grâces de la jolie « Boop »
(SONG)
WOODY WOOD (rêveur) To BOOP (si jolie)
« les sauterelles »
Tee-shirts jaunes (et queues de cheval)
Sourire d'été, goût pêche-abricot
Les petites sauterelles
Sautent et sautent dans la ruelle
WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)
La biche de lune aux ailes coccinelle
Très loin s'est envolée
Courant d'air, souffle de soleil
Vitesse, autoroute, seule
Pas le temps de comprendre
(Le Tic Tac du cœur)
Si fort dans le sang, si chaud dans les yeux
Brulure, sel, paupières
Vitre ouverte, voiture
Elle agite un mouchoir, bonsoir
L'horizon seul (& seule encore)
Sourire, amour
Envie d'hurler, morceaux de verres
Distance, présence
Sang, sanglots, ruisseau, jonquille
Dans le vide glacial de l'orage
Une pétale de rose
Vient effleurer les lèvres
D'un passager venu de loin
Un jour, au pied du vase de fleurs « WOODY WOOD » (rêveur) glissa ce petit mot pour sa jolie « BOOP » (si jolie)
Pour toi mon Petit cœur
Cette rose tendre qui t'attends
Depuis si longtemps
La nuit dernière je t'ai rejoint
Et c'est déjà le matin la rose va s'ouvrir
Plus belle encore à la lumière du jour
Un jour né de nous deux
Où je serai si près de toi
Avec le chagrin heureux
D'être si près (& si loin)
Ce n’était pas très malin mais « Woody Wood » n'eut pas le temps de faire mieux. Dans la rue, il croisa une fille mais ce n’était pas sa jolie « Boop ». Il était presque une heure du matin, il était seul et il faisait froid. En attendant le métro, il se mit à écrire sur le dos d'un chèque, n'ayant plus de papier
WOODY WOOD (rêveur)
« Croisement d’un destin»
Elle rentre seule une rose à la main,
Elle marche vite parce qu'il fait froid,
Elle suit de ses yeux le bout de ses chaussures la tête baissée
Comme si ses pieds allaient décider pour elle
Où elle devait aller
(SONG)
WOODY WOOD (rêveur qui s’est encanaillé) & BOOP (si jolie)(& l’autre)
« Chambre 312 »
Grand Hôtel, vieux portier, escaliers tapis bordeaux.
Chambre 312, c'est presque un (deux) (trois)
Palmiers & Coca glacé sur le lit
La brune en maillot à rayures
Et la blonde, jupe satin
Cravate défaite, bouches luisantes
Robe entrouverte, mèches décoiffées
Rendez-vous d'hier soir, journal,
Chambre 312
Ce soir là, « Woody Wood » se mit à écrire, enfermé entre ses quatre murs, pour sa jolie « Boop » (si jolie) « Woody Wood » ne pouvait écrire que des poèmes. Il prit quelques feuilles de papier blanc qu'il posa sur un coin de la table et se mit à chercher l'inspiration, regardant à l’intérieur de son cœur pour y retrouver sa jolie BOOP (si jolie)
WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)
« De l’eau dans le mur »
Ce soir un papillon blanc attend devant la porte
Virevolte, cabriole
La clé tourne
Il vient me chatouiller la joue
J'ouvre, j'avance d'un pas
Stupeur...
Les murs ont disparus
Le large est là (l'océan aussi)
Des oiseaux blancs tourbillonnent
Au cœur des vagues
Sur le rivage une fille Approche
Je sais que c'est Elle
Quand « Woody Wood » eut terminé d’écrire son poème, il s'endormi sur la table. Chaque fois que « Boop » (si jolie) s'absentait WOODY WOOD (rêveur) vivait ailleurs, essayant de la rejoindre par la voix des étoiles
WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)
Une lampe rouge allumée
Au dessus de la porte
Silence, ombres, départ
Les premiers sons électro acoustiques
Guitare en bandoulière
Ribambelle, bellissimo, goût des gouttes
Chambre d'écho résonne un chant
Bouquet de notes en pointillé
Batterie bande magnétique
Piste, envoie, Bip
Enregistrement Mémoire
Un peu fatigués de la grande ville WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)partent en week-end à la campagne
WOODY WOOD (rêveur)
Deux chouettes dans la nuit
Poussent des cris qui se répondent
L'une dans un arbre
L'autre au loin
Dans un autre arbre
« Songe »
(d’une douce nuit d’été)
WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)
J'ai marché lentement sur la pelouse humide, à la recherche d'un peu de silence, d'un peu de calme pour reposer mon visage lassé par tant de mimiques inutiles. Je me suis allongé sur I'herbe et de mes yeux tristes j'ai contemplé au loin les nuées d'étoiles perdues dans le noir. Le sol dégageait les odeurs de la fin de l'été, quelques feuilles colorées étaient déjà tombées au hasard du vent et s'étaient transformées en petites tâches de lune, comme si la nuit avait pleurée. Le paysage ressemblait à une toile créée par un peintre fou qui avait voulu jeter des touches de lumière dans un désert sombre et glacé. Sans savoir pourquoi, je me mis sourire, puis à rire à un tel point que je me tordais de rire avec l'écho qui me renvoyait mon rire. Une chouette là-haut rigolait aussi en me regardant de ses grands yeux de lumière. Elle riait tellement fort qu'elle en perdit l'équilibre et se rattrapa maladroitement puis confuse disparue dans l'obscurité. Avec elle, mon âme s'envola, seul sur l'herbe je m'endormis (do mimi do)
WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)
« Signe avant-coureurs de folie »
Une écriture à deux pattes ça court
A quatre pattes c'est la confiture
La chenille fait sa tartine
La limace fait des grimaces
Et le peintre sa peinture
L'écriture sa cuisine
Tablier blanc quand vient le printemps
Tablier nuit après minuit
A la campagne « Woody Wood » fut réveillé de bonne heure par le chant des oiseaux. Il était 5 heures 30 et il vit le soleil se lever, un peu avant 6 heures 10
WOODY WOOD (rêveur)
« Un matin sans elle »
Le chant des oiseaux
Dans le matin la fenêtre s'ouvre
Il sent bon cinq heures et demie
Couleurs irréelles de l'horizon
Plus réelles que jamais
Déjà le coq au loin
A sa glotte qui le démange
Ambition
Les égoïstes ne sont pas solitaires
Assassins facile
Les feuillages s’agitent, les oiseaux se balancent
Aux tresses du saule Ploreur
Balançoire
Un coq d'à côté
Réponds à l'autre coq d'au loin
Et le coucou continue sur un même refrain
A dire "t'es ou ? T'es où ?"
Sifflotement de l'air fraicheur transparence
Tout est encore très beau
Pétales couleurs Ies fleurs s'enflamment de rosée
Il fait plus clair encore
WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)
Branches silhouettes
Tranches de lumière
Un corbeau roque se gratte la gorge
Trois ou quatre coqs se disputent la vedette
Les merles ne les écoutent pas
Chair de poule les champs d'herbes
Cigarette écrasée sur un tas de buches
La fumée sent le feu de bois
L'appel d'un appeau
Musique, roses, sourire, pie
Envie de pleurer
Elle est ailleurs
(Clip vidéo)
WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)
« Nouvelle Vague »
La jolie BOOP (si jolie) prend son bain de pieds. C'est pas vrai ! Elle s'écrase de la crème sur la figure. Cette crème est bonne pour protéger la peau contre la pluie, quand il pleut trop fort. Et ce jour là il pleuvait très fort, tellement fort que la crème ne servait à rien. Mais heureusement, BOOP (si jolie) avait emporté un parapluie. Alors WOODY WOOD (rêveur) a appelé un Taxi. Il attendait en bas, dans la rue, près d'un bureau de Tabac. Les enseignes étaient jolies entre les rayures de pluie. J'irai acheter des cigarettes, rien que pour regarder les lumières. La jolie BOOP (si jolie) se remet du rouge à lèvres violet sur la bouche. Comme elle n'était pas pressée, WOODY WOOD (rêveur) a commandé trois Grenadines. Le Taxi pouvait attendre encore un peu. BOOP (si jolie) ne boit de la Grenadine avec des glaçons. Autrement elle n'aime pas la Grenadine.
WOODY WOOD (rêveur)
Le cendrier est blanc avec une pub pour Martini. Si j'avais vu le cendrier plus tôt, j'aurais commandé trois Martini, mais c'était trop tard, j'avais déjà bu mon verre de Grenadine. Le Taxi pourra attendre encore longtemps, la jolie BOOP (si jolie) est devant la fenêtre, elle regarde la plage. C'est beau la plage. Par l'autre fenêtre, un petit square sous la pluie. C'est aussi très jolie. La jolie BOOP (si jolie aussi) veut tout, moi aussi. Alors j'ai échangé ma cravate contre son écharpe car j'adore deviner les soupirs discrets de son parfum.
WOODY WOOD (rêveur)
Un lac tranquille, quelques cygnes flottent dans le vent clair, le foulard de la jolie BOOP (si jolie) flotte devant mes yeux, les cheveux de BOOP (si jolie) flottent dans le ciel où nagent des poissons multicolores. Une jupe fendue vert-océan - photo - ce lac c'est l'océan - photo - chemisier rayé noir - photo – les cygnes sont des cormorans - photo - boucle d'oreille perroquet - photo - bouche printemps - dernière photo
Il semblerait cependant que « Woody Wood » (rêveur) serait plutôt un « mauvais poète », c’est pourquoi la jolie « Boop » (si jolie) ne reconnait pas ses œuvres à leur juste valeur si bien qu’il n’arrive pas vraiment à la séduire bien qu’elle s’en amuse beaucoup. Sans doute sa patience est-elle dûe aussi à l’espérance qu’il réussira bien un jour à faire de son recueil un best seller sachant aussi très bien que parfois paradoxalement ce sont bien de bien mauvaises œuvres qui font de grands succès ou à défaut réussira-t-il un jour à écrire un texte (de love song) qui fera un grand « Tube’s ? »
WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)
« Au Pays des Merveilles »
Biche, marguerite
de sa bouche gourmande
A mordu mon oreille
Amande
Mon sang va si vite, magique
J’entends des abeilles dans le creux du vent
Ma belle si belle
A cheval sur le temps
Se promène impatiente
J'écoute le murmure de ses yeux soleil
Elle est là elle est moi
Au cœur de l'envie
La seconde nous lie et nous donne
Des nouvelles
Du pays des merveilles
WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)
« le bouquet sauvage »
Quand elle n'est pas là
Je travaille comme un fou
Pour oublier mon ennui
Je regarde les couleurs qu'elle a laissées partout
Pour me dire
Qu'elle est toujours là
Et je le vois galopant
Dans les grandes herbes semées de fleurs
Je la vois riante
Cueillir un bouquet sauvage
Je la vois me regarder
Et me faire un clin d'œil
Je la vois sourire encore
Pour me dire je t'aime
Et je ne veux plus
Qu'une seule chose au monde
C'est la tenir dans mes bras
La serrer très fort, plus fort
Lui donner tout mon cœur
Un jour fou d’amour toujours « Woody Wood » (rêveur) glissa ce petit mot dans la poche de sa jolie BOOP (si jolie)
Sortir un mot
Du fond de son cœur
Ne plus écouter la tête
Cloche qui résonne
Sortir un mot
Sans le dire ni l'écrire
Sortir un mot qui ne veut pas sortir
Mot où es-tu ?
Tortue, têtue, t'auras ta laitue
Sortir un mot sans sa plume
Mais avec des ailes
Sortir un mot muet
Mais un mot d'amour
« les livres en feu »
WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)
Elle m'avait dit de ne garder que les meilleurs livres, uniquement ceux que j'emporterais si je devais partir sur la lune. Quand aux autres, avait-elle ajouté, tu pourras les détruire, car ils sont incomplets. J'ai donc passé des jours et des jours à trier mes livres, des centaines et des centaines de livres. Plus j'avançais et plus grossissait le tas des livres incomplets. Quand j'eu fini, je n'avais conservé que trois livres que je tenais sous mon bras. Les autres formaient une montagne dont je ne savais que faire. Et là, j'eu une idée de génie. Je grattais une allumette et mis le feu. Tout brulait tranquillement et je regardais les flammes, me demandant si j'avais bien fait de suivre les conseils de ma jolie BOOP (si jolie) devenue fille étrange. Mais voilà que le feu gagna tout I'appartement et que mes vêtements étaient en train de s'enflammer. Moi aussi, je brulais. Je pensais un instant que ma jolie BOOP (si jolie) m'avait tendu une sorte de piège dont je ne comprenais pas le sens, j'étais en train de bruler vif quand un jet de mousse vint me frapper en plein visage. D'autres jets d'eau arrivaient de tous les sens et une fumée effroyable faisait qu'on y voyait plus rien. Je vis passer des hommes avec de drôles de casques et je compris que c'étaient les pompiers. L'air devenait irrespirable et je décidais de sortir tenant toujours sous mon bras mes trois livres favoris. Mais je m'aperçu que deux d'entre-eux brulaient et je du m'en séparer n'emportant que le tout dernier livre de ma bibliothèque. Dans l'escalier, des gens courraient dans tous les sens, c'était l'affolement. Je me retrouvais dans la rue au milieu des échelles et des camions rouges. Un attroupement suivait des yeux l'événement. Je voulu regarder mon livre et m'aperçu que mes mains avaient des cloques. Je me tâtais le visage avant de me rendre compte que j'étais complètement brulé. Je marchais ainsi jusqu'à la Seine où je pu enfin souffler. L'air me fit du bien et ne sachant que faire, je me mis à lire mon unique livre, le plus précieux de tous. A peine m'étais-je plongé dans la première phrase que je réalisais que quelque chose s'était produit en moi. Je sentais que j'étais un homme neuf, et j'avais une envie irrésistible de retrouver ma jolie BOOP (si jolie) transformée en fille bien étrange quand on s’était donné rendez-vous quelques jours auparavant dans un café. Quand j'aurais relu ce livre, je partirais à sa recherche. Je me replongeais dans ma lecture et je mis plus de cinq chapitres avant de m'apercevoir que j'étais l'auteur de ce livre, le seul que j'écrivis de ma vie.
WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)
« la vision » (my way)
Tout ce dont je me rappel est une lumière vive, d'un blanc intense aux contours jaunes, éblouissants. Cette lueur enveloppa tout mon être d'une sensation étrange de vide, mais un vide plein, concentré, qui m'attirait et je ressentais une forte chaleur qui ne brulait pas, le tout dans une immensité sans limite dont je ne discernais pas le chemin de l'infini. D'où je reviens, c'est magnifique et même tellement beau qu'on en revient rarement.
Dans le train qui mène à la grande ville, l'inspiration le prit et « Woody Wood » (rêveur attristé) se mit à écrire. Il était 23 heures 11 minutes et 54 secondes
WOODY WOOD (rêveur)
« Amorce de rupture »
La porte se referme
Les marches craquent, l'escalier raconte le vide
Des rideaux fantômes pendent à la fenêtre
Précipitation
Je me penche sur la rue
Deuxième étage
Pavés, poubelles
Elle est déjà sortie
Cheveux, crinière, polo rouge
Elle ne se retourne pas
De ses pas pressés
Elle sait que je la regarde
Trottoir dur, démarche froide
Coin de la rue, disparue
L'air me manque, je n'existe plus
Cerveau, sang, solitude, chagrin
Campagne, blé, forêt
Partir
Levé du lit, debout,
Tête sous l'eau
Peignoir, café, cigarette,
Espoir,
Escalier en colimaçon descendu en courant
Clac, clac les tongues
Une boite aux lettres attend
Elle n'est pas comme les autres
Elle attend depuis longtemps
Ce que le téléphone n'apporte pas
La fenêtre s'ouvre sur rien
Rien qu'un fond de boite vide
Vide d'amour, vide de pensées
Dans la cage d'escalier
Une boite en carton attend
D'autres papiers qui viendront s'empiler
Merci mon Dieu de nous faire espérer
Ce qui n'existe pas
Cependant le temps passe vite « Woody Wood » (rêveur) à déjà écrit de quoi faire une collection entière presque aussi vaste que l’œuvre de Balzac et la jolie « Boop » (si jolie) n’a toujours pas entendu résonner au creux de son oreille la tendre douceur des biens jolis billets doux qu’elle voudrait entendre si bien qu’elle en devient presque désespérée, se moque encore du piètre talent de « Woody Wood » (rêveur malheureux) et finie par s’en aller à son grand désespoir...
WOODY WOOD (rêveur) & BOOP (si jolie)
« Départ précipité »
On court,
Gare Montparnasse, les pas résonnent, le train va partir
Mon cœur bat trop vite
On s'embrasse
Je ne comprends pas ce qui m'arrive
Elle monte dans un wagon
Je ne veux pas voir le train disparaître
Je repars, je marche sur du coton
Plus rien n'existe, les larmes ne peuvent plus sortir
de mes yeux
Dehors le soleil, enfin
Une boulangerie
Je prends du pain pour ce soir
WOODY WOOD (rêveur)
« l’oiseau perdu »
Elle est venue se blottir contre moi
Comme un oiseau perdu
Dans l'immense silence tout colorié de neige
Deux enfants les pieds nus se tiennent par la main
Personne n'attend leur retour
Il n’y a plus qu'eux deux pour espérer vivre demain
Sa tête ébouriffée s'est posée sur mon cœur
J’ai essayé de suivre la spirale de ses yeux
Où le trop plein de larmes a déjà dessiné
La peur de pleurer trop fort
J’'aurais voulu hurler du plus profond de mon ventre
Mais mon cri n'a fait que balayer
Les ruines de mon esprit
Et à ce moment là mon Dieu
Je crois bien t'avoir maudit
« Woody Wood» (rêveur) réussit cependant à faire éditer son premier recueil de poésie chansons d’amour dans l’attente sans aucun doute de rencontrer enfin un grand succès, la jolie BOOP (si jolie triste) jolie folle d’amour love est devenue bien seule mais voilà qu’un jour la jolie « Boop » (si jolie) découvre l’un des exemplaires du livre de « WOODY WOOD » dans une boutique qui revend à bas prix les invendus pour s’en débarrasser au prix du papier. Elle est devenue bien triste surtout de ne plus être poursuivie par les mots d’amour de « Woody Wood » (rêveur), sans savoir vraiment pourquoi elle achète le livre, magie du ciel peut-être (ou grâce des divinities de l’amour) si jolie elle le lit un peu rêveuse ce qui la fait rire alors comme elle n’avait pas rit depuis si longtemps, chaque jour à chaque page elle n’arrête pas de rire à la lecture de ces petits poèmes d’amour love qui résonnent à ses oreilles comme de belles chansons d’amour (si douces à l’oreille) ce qui lui manque tellement d’ailleurs depuis qu’elle est partie
(Chef d’œuvre intemporel)
WOODY WOOD (auteur rêveur) rêvant de la jolie BOOP (si jolie)
« la Goutte de Pluie »
Dehors il pleut.
... ça ruisselle de partout, c'est triste, des larmes brulent mes joues, ça déborde, ça coule et je ne peux rien faire pour arrêter ce flot de chagrin. Les nuages se déchirent, la pluie continue son clapoti. Je suis allongé sur le dos, je flotte, mon cœur est une plaie brulante, ouverte sur le ciel, des gouttelettes d'eau mêlées de larmes viennent éclabousser ma blessure de braise puis reparlent dans les airs en minces filets de vapeur. Mes yeux sont peut-être rouges, je les ferme. Je n'existe plus, mon cerveau se vide de ses pensées au rythme lent des larmes jaillies d'une source inconnue. Je tremble, mes paupières palpitent, juste le temps d'entrevoir un éclair. Puis je ne vois plus rien, je suis devenu aveugle, je ne verrai plus jamais. J'aimerai me lever mais je ne peux pas. Mon corps aussi a cessé d'exister. Il me reste à peine assez de forces pour sentir une présence qui m'enveloppe et m'aspire lentement. Je me laisse aller, je pars. J'appartiens maintenant au vide, je crois que je vole, oui, je vole, je suis nulle part dans l'espace et je vole, je n'ai plus besoin de rien, je ne suis plus rien. Peut-être qu'à mon tour je suis devenu une goutte de pluie. Maintenant je tombe, je me sens éclater en mille autres petite gouttelettes fragiles. Il fait très chaud, je remonte malgré moi, happé par un tourbillon de vapeur et je vais bientôt redescendre, je vais redescendre à nouveau, chargé de vie, je vais redescendre et puis plonger dans le fond profond d'un cœur chagrin, d'un cœur bouillant ouvert sur le ciel et qui attends dans la tempête de recevoir la délicate caresse d'une petite gouttelette tombée d'un arc-en-ciel.
Le hasard fait que WOODY WOOD (rêveur) & la jolie BOOP (si jolie) se retrouvent à une séance de dédicace de son nouvel ouvrage, « Woody Wood » est maintenant un auteur célèbre connu dans le monde entier (ou presque) quelle surprise pour lui quand une jolie jeune femme vient lui demander de lui écrire une dédicace, c’est en effet la jolie « Boop » (si jolie) ce qui lui fait un tel effet d’amour jusqu’à en faire tomber des piles de livres ce qui est aussi bien pratique (& tic)(& tac) pour échanger un premier baiser d’amour, c’est ensuite une belle promenade dans la magnifique voiture décapotable de WOODY WOOD (rêveur toujours) au bord du rivage (horizon de bonheur) « Woody Wood » est même devenu maintenant un peu « macho » mais avec toujours une certaine incertitude...
WOODY WOOD (So happy love)
J’écris aussi des chansons ma jolie Boop !
BOOP (si jolie funny love)
Tu veux qu’on fasse un Tube’s ?
WOODY WOOD (So happy love)
Yeeea Babe !
WOODY WOOD & BOOP (lovely complice in love)
Woody woody wood & Boop !
(Sea, sex & surf)
FBI – EUROPOL - KGB
Encore bien des étranges coïncidences avec des situations inacceptables que certains « pouvoirs » me font endurer à Rennes, encore des caricatures ou « antithèse » de ce que j’écris qui mettent ma vie en jeu à grands renfort de cruauté, moqueries, provocations...
… Pertinence ou impertinence philosophique ?
Un film magnifique que l’on pourrait apprécier sur des airs (ou mélodies) de « l’homme à la tête de Chou » (Serge Gainsbourg) fredonné par WOODY WOOD (rêveur) ou même parfois par la jolie BOOP (si jolie) surtout pour se moquer de lui, avec une adaptation de la musique de certaines chansons en « musique de film » (avec des chœurs) à réenregistrer, il y aura à l’occasion quelques « répliques » (ou versets) des textes originaux (de « l’homme à la tête de Chou ») harmonisées avec les dialogues du film...
.... quelques Titres (présélectionnés)
« Comic Strip »
« l’Ami Caouette me fait la fête »
« je t’aime moi non plus »
« le poinçonneur des lilas »
« love on the beat »
« Couleur Café »
« la Javanaise »
« Je suis venu te dire que je m’en vais »
« Elisa »
« Sea, sex & sun »
© Emmanuel DIGNAT 1982 - 1989 - 1992 & 2015 (avec ses jolies Chéries… « elles sont Géniales ! »)
SYNOPSIS - Stacy les avions (Music movie) french
Jolies Magic fee’s
Présente
Stacy les avions !
(c’était si beau)
Comédie dramatique funny !
le premier film de la Trilogie cinéma « Do your best ! »
Paris 2006 Rennes 2014
Author(e)
Emmanuel DIGNAT
(avec la jolie Coconut’s, Stacy, Princess Joy & les Mum’s d’Afrique)
… sur honoraires & Royalties !
(si pratique aujourd’hui de ne pas payer en pillant les Computers ?)
Golden Spring's Consulting - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
… Stacy... c'était si beau (ça l'est toujours) et le sera encore
Stacy les avions !
(c’était si beau) :
… je rêve
we dream love dreams to stay alive...
… big loves waves (so love light travel for peoples) in this beautiful music love movie !
Synopsis
« Stacy » so love fly in planes !
… j'ai regardé les avions passer dans le ciel avec les larmes aux yeux
« Stacy » c’est un prénom Anglo-Saxon diminutif de « Anastasie» (Anastasia) du Grec « Anastasis » comme Oasis (Déesse de l'amour paradisiaque) qui veut dire « résurrection ». Sur le Web on trouve plusieurs « Stacy » comme des actrices (so love shining Stars) dont certaines américaines (une joueuse de Tennis) de belles chanteuses (de love song) de Jazz comme « Jazz à Fip » (Fip à toutes heures) ou bien même de belles actrices sexy qui jouent vraiment bien d'ailleurs pour des films « Y » avec même une jolie Playmate (la fille du Mois en Poster !)
... in « Playboy »
« De tout je peux faire de l'Art !»
dit le beau Mimi Lion's à la jolie Miminou qui était d’ailleurs
« la Playmate du Mois en Poster ! »
MIMI LION’S (dreaming love)
... si je t'attrape tu vas voir !
MIMINOU (so lovely love suggestive)
i know well...
MIMI LION’S (dreaming love)
Toujours à 100%
MELISSA (so sexy pin-up)
Parmi les 4%...
MIMINOU (so lovely love suggestive)
(au moins une fois par jour...)
MIMI LION’S (dreaming love)
La belle vitalité de la vie !
MELISSA (so sexy pin-up)
On loves shining loves waves !
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
for eternity !
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Je fais de la Philo depuis l'âge de 2 ans et demi (à peu près) et même avant à l'âge où l'on me faisait encore manger...
MIMINOU (so lovely love suggestive)
... des petits pots à la petite cuillère !
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
J’avais déjà une conscience vraiment consciente de la vie à « un an et demi » peut-être ou même dès ma naissance je pense...
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
Ou même avant déjà
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Avant oui je pense car j'ai été en survie avec « mon vrai jumeau », on a fait d’ailleurs fait « un deal ! »
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
... sans se disputer
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
A vrai dire on aurait pû se la jouer au Poker mais on n'avait pas de cartes de Poker ! En plus je ne joue pas au Poker...
MELISSA (so sexy pin-up)
C'est vraiment dommage...
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
On a donc fait un autre jeu, celui des devinettes...
MIMINOU (so lovely love suggestive)
Et « c'est moi qui a perdu !»
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
... donc c'est moi qui suis né !
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
Les belles fées divines l'ont voulu ainsi
MELISSA (so sexy pin-up)
(soit-il...)
MIMINOU (so lovely love suggestive)
Et soit-elle !
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
… love ever love !
MIMINOU (qui s'impatiente aussi de tant d'injustice)
… il faut vite finir ta Thèse de Socio et trouver de la Tune pour vivre !
MIMI LION’S & MIMINOU (affammés... so lovely hopes suffering love)
On ne va pas passer non plus son temps à se manquer !
ANGE (lovely artiste who remember a beautiful love)
Stacy... c'était si beau
STACY (lovely Beauty in love)
ça l'est toujours
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
... et le sera encore
MIMINOU (so lovely love suggestive)
Ange so lovely artiste is singing now a beautiful « Tube’s ! »
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
« Stacy les avions »
(ANGE) J'ai regardé les avions passer
(STACY) Dans le ciel
(ANGE) Avec les larmes aux yeux
(STACY) Il a plu sur mon cœur
(ANGE) Comme la pluie sur l’océan
(STACY & ANGE) so flying love crying under cruauty
(ANGE) We dream love dreams
(STACY) To stay alive !
After an extraordinary ovation from all peoples in the world
ANGE (lovely artiste flying love)
J'ai pris ma guitare Bass
MELISSA (so sexy pin-up)
« The Bass Buzz ! »
ANGE (lovely artiste flying love)
Pour jouer un grand « Tube's » des « Flamands Roses !»
MELISSA (so sexy pin-up)
Money... it's a game !
MIMINOU (so lovely complice)
On a aussi « le fou qui entend des Voices ! »
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
... of the divinities !
ANGE (lovely artiste flying love)
C'est moi le fou !
MIMINOU (so lovely complice)
... qui entend des Voix !
ANGE (lovely artiste flying love)
C'est pour ça disaient-ils qu’ils m’ont envoyé à l’Asile la première fois !
MELISSA (so sexy pin-up)
... en effet c’est bien un fou !
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
« Mozart » aussi est un fou
PRINCESS JOY (lovely charming)
... de même « Balzac »
MELISSA (so sexy pin-up)
Ou encore « Einstein !»
ANGE (lovely artiste flying love)
Des vrais fous mais moi je veux être...
MIMINOU (so lovely Buzzing)
… un fou « full aux As ! »
ANGE (lovely artiste flying love)
Je ne suis pas comme « Van Gogh »
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
... à 30 millions d'euros le Tableau
MELISSA (so sexy pin-up)
... après disparition !
ANGE (lovely artiste flying love)
Moi je les veux avant !
STACY, PRINCESS JOY, MELISSA , COCONUT’S, MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (lovely hopes in love life)
Nous aussi... ET le « music home Studio » avec !
MELISSA (so sexy pin-up)
C’est « Ange » le « Home ! »
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Un « home » Bing & Bang comme après le premier « Bang !»
MELISSA (so sexy pin-up)
C'est pas du « Buzz » d'être interné à l’Asile !
MIMINOU (so lovely Buzzing)
Tout ça parce que des salauds minables, vous volent et vous détestent !
PRINCESS JOY & BEAUTY COCONUT’S (si jolies loves)
Alors que vous êtes un génie !
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Bien après quand j'allais mieux si l'on peut dire... j'ai écrit une belle chanson d'amour
STACY, PRINCESS JOY, MELISSA , COCONUT’S & LES JOLIES BEAUTIES (lovely Beauties in love)
Qu’il chantait dans la rue avenue Custine
ANGE (lovely artiste singing)
Je suis le fou qui chante i l o v e y o o o o u . . .
STACY (lovely Beauty in love singing)
Tout le jour je chante i l o v e y o o o o u . . .
ANGE (lovely artiste singing)
Sous les étoiles quand je m’endors sur ton cœur
STACY & ANGE (lovely in love singing)
Je chante encore i l o v e y o o o o u . . .
ANGE (lovely artiste remembering a love story)
C’est ma jolie « Stacy » que j’ai adoré
MELISSA (so sexy pin-up)
Comme la « Stacy » au « Buzz des Voices »
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Son prénom m'a rappelé « Stacy » une jolie « Noire » de Château-Rouge... j'ai eu soudain
STACY (lovely Beauty in love)
« un flash de mémoire !»
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Je la connaissais très bien
STACY (lovely Beauty in love)
(on peut le dire)
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Sans parvenir à retrouver son visage quand soudain « le déclic ! »
MIMINOU (so lovely Buzzing)
(buzzz...)
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
C'est elle que j'appelais « Stella » sans savoir pourquoi !
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
Stacy so loves ever loves...
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
C'était « Stella ! »... je me rappelle parfaitement d'elle... elle était belle comme « Betsy » mais c'était « ma Stacy d'amour » avant qu'elle ne disparaisse...
MELISSA (so sexy pin-up)
So mysterious...
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Avant que je rencontre ensuite...
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
So loves ever loves again
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
… ma jolie « Betsy » d'amour toujours pour qui je chantais
BETSY (si jolie lovely Beauty)
« Ô shining loves... where are you at this time ? »
MIMINOU (so lovely Buzzing)
...avant qu’il disparaisse à son tour
STACY, PRINCESS JOY, MELISSA , COCONUT’S & LES JOLIES BEAUTIES (so lovely on loves with a tears)
Frappé de tant d'injustices !
ANGE (so lovely hopes in a true Justice)
... alors que j'étais si heureux
STACY, PRINCESS JOY & LES JOLIES BEAUTIES (beautiful loves)
… flying in love on love shining waves !
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
L'essentiel meilleur que le dessert !
MELISSA (so sexy pin-up)
Miminou lui a fait un gros câlin sur son cœur...
MIMINOU (so lovely Buzzing)
as you love
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Je repensais alors à ma jolie « Stacy »
STACY, PRINCESS JOY & LES JOLIES BEAUTIES (beautiful loves)
SONG !
ANGE (lovely artiste singing)
« Quand j'aime j'oublie pas »
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
Elle a donc « disparue »
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
... elle était réfugiée Africaine, elle devait faire renouveler ses papiers
STACY (lovely Beauty in love)
« my papers ? »
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
J’étais donc assez inquiet et c'est aussi pour elle que j'ai fait tout mon possible
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
Et pour elle(s)
MELISSA (so sexy pin-up)
Pour proposer des «loves shining master peaces»
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Ce que je fais encore même bien plus dans une situation globale
PRINCESS JOY & MIMINOU (so lovely Buzzing)
Avec des chefs d’œuvres !
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Qui permettent de faire « évoluer le Monde » dans un sens bien meilleur
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
Avec beaucoup plus de bonheur(e)s
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
D'où par exemple l'écriture du « WPP°» ou de ma comédie musicale « Orphée » avec elles aussi bien sûr
MELISSA (so sexy pin-up)
Comme bien d'autres influences plutôt bénéfiques
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
... mais qui me fût aussi fatale par la destructivité de certains autres !
MELISSA (so sexy pin-up)
Informés on ne sait comment
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
Qui l'ont ensuite abattu lâchement en toute déloyauté !
MIMINOU (so lovely Buzzing)
Tous mensonges aussi avec « le double dossier prétexte » à son encontre !
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Je demande alors au « Juge d'instruction »...
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
Qui a constitué ce dossier parallèle ?
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
... qui n'est d’ailleurs pas visible par les enquêteurs officiels de la « CNIL ! »
MIMINOU (so lovely Buzzing)
« Happy pomme d'Api !»
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
On peut voir aussi toute la beauté des « shining love master peaces » que j'ai créé ensemble avec elles...
STACY, PRINCESS JOY, MELISSA , COCONUT’S, MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (lovely Beauty in love)
On love feelings !
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
So shining loves !
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Un jour j'essaye d'appeler « Stacy » un peu inquiet...
MELISSA (so sexy pin-up)
Pressentiment ?
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Son numéro de téléphone n'était plus valable !
MELISSA (so sexy pin-up)
Sans doute avait-elle quittée Paris ?
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
Ou était-elle partie dans un autre Pays ?
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Je sais cependant « au feeling » qu'elle est toujours en vie
PRINCESS JOY (lovely charming)
Quelque part dans le monde…
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Ainsi toujours resterons-nous ensemble...
STACY (lovely Beauty in love)
Love ever love
MELISSA (so sexy pin-up)
Il a regardé passer les avions dans le ciel
PRINCESS JOY & BEAUTY COCONUT’S (si jolies love)
Avec les larmes aux yeux...
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Bien sûr avec tous mes millions je me suis demandé comment faire pour la retrouver ainsi que d'autres que j'aimais beaucoup !
MELISSA (so sexy pin-up)
Peut-être des « Agences de recherches ? »
MIMINOU (so lovely Buzzing)
C'est aussi très délicat... pas facile...
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Il ne faut pas non plus déranger mes belles amies dans leur vie privée
STACY (lovely Beauty in love)
Chaque année rien qu’en France 50 000 personnes disparaissent pour différentes raisons !
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
J'espère qu'avec « le Grand Procès »
STACY, PRINCESS JOY, MELISSA , COCONUT’S,MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (all lovely charming)
« Le Procès des voleurs, violeurs & killer de love dreams ! »
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Avec ce « Procès » qui s'annonce faute du paiement amiable de mes « dommages & intérêts »
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
Plus de 3 milliards d'euros avec encore 28 milliards d’euros de compensations à reverser !
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
J’espère qu’il n'y aurait pas d'autres « risque de disparition soudaine» non seulement comme ce qu'il a déjà été pour moi à l’Asile
mais aussi pour certaines de mes belles amies « Noires » ou d’autres pays...
MIMINOU & BEAUTY COCONUT’S (si jolies love)
La victoire du « Grand Procès » est déjà démontrée !
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
J'ai donc beaucoup réfléchi... comment faire pour retrouver ma jolie « Stacy » ou mes jolies Beauties disparues ?
LES JOLIES BEAUTIES (all lovely charming)
C'est très complexe dans bien des cas pour bien des raisons !
MELISSA (so sexy pin-up)
Alors comment faire ?...
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
J'ai cependant trouvé une solution pour mes love Beauties...
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
Elles sauront bientôt qui est « Ange » partout dans le Monde !
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Bien sûr elles pourront m'appeler avec toujours beaucoup de bisou
MELISSA (so sexy pin-up)
(mais aussi bien des possibilités...)
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
… as they love
STACY, PRINCESS JOY, MELISSA , COCONUT’S,MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (all lovely charming)
It’s a chance you are still alive !
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Même si je ne pouvais plus pleurer, empoisonné quand j'ai été interné lors du deuxième « Bang Psy ! »
PRINCESS JOY (lovely charming believing in life)
Les avions toujours les larmes aux yeux...
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
C'était effroyable de ne pouvoir rien faire, ni même s'échapper avec en plus l'une de mes plus grandes Amies qui venait de perdre sa jolie Mum en Afrique !
PRINCESS JOY (lovely believing in life with tears)
Une Mum adorée qu’il connaissait bien...
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Impossible donc de la consoler alors que je m'étais juré de tout faire pour l'aider !
STACY & LES JOLIES BEAUTIES (all lovely charming)
Il aurait déjà dû être millionnaire et pouvoir éviter la disparition de la jolie Mum !
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
... en espérant bien sûr toujours le succès du troisième ouvrage du « WPP° » que j'étais en train d'écrire
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
« flying ideas »
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
... je regardais passer les avions dans le ciel les larmes aux yeux rêvant d'amour
STACY, PRINCESS JOY, MELISSA , COCONUT’S, MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (all lovely charming)
... rêvant de liberté
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Sans même ne plus croire à la Justice avec mes dernières gouttes de sang je continuais d'écrire « flying ideas »
MELISSA (so sexy pin-up)
Avec déjà toutes les idées majeures de sa Thèse « GO ! (Thesis) »
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Je faisais ensuite des dessins n’ayant plus la force d’écrire, des dessins magnifiques de jolies femmes Africaines « Be for Always » toujours
à l'encre de mon sang... je mourais peu à peu sans savoir encore une fois si j'allais m'en sortir, contrôlé, surveillé, démoli avec en plus la perte abusive de mes « Droits »
PRINCESS JOY (lovely believing in life with tears)
... la perte de son logement à Paris... rue Custine...
MIMINOU & BEAUTY COCONUT’S (si jolies love revolted)
« études de résilience sans doute »
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
... ou simple assassinat... l'air de rien...
MELISSA (so sexy pin-up with tears)
Peut-être les deux aussi...
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Toujours avec « les ponctions lombaires de mes œuvres » je regardais passer les avions dans le ciel...
STACY, PRINCESS JOY & BEAUTY COCONUT’S (si jolies love with tears)
... messages du ciel comme des promesses tant attendues depuis si longtemps... (en 2002)
STACY, PRINCESS JOY, COCONUT’S, MELISSA & LES JOLIES BEAUTIES (all lovely charming with tears)
Qui n'étaient toujours pas arrivées ! (en 2006)
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Je ressentais cela comme « une trahison » assassine de mon propre pays... dire aussi dans quel état était mon cœur !
STACY, PRINCESS JOY, COCONUT’S, MELISSA , MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (lovely Beauties in love)
Avec des promesses qui ne sont d'ailleurs toujours pas arrivées à ce jour ! (en 2015)
ANGE (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Comme je peux le dire depuis plus de dix années même si avec mes jolies chéries...
STACY, PRINCESS JOY, COCONUT’S, MELISSA , MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (all lovely revolted)
We will do a true Justice !
ANGE (lovely artiste with tears before he will be Mimi Lion’s)
... les avions dans le ciel en larmes les avions s’envolent au loin mes rêves dans un ciel d’or
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love with tears)
« Grand Oiseau de Lumières... »
PRINCESS JOY (lovely believing in life with tears)
... une pluie de larmes in love
ANGE (lovely artiste with tears before he will be Mimi Lion’s)
... sur un océan de chagrin
STACY, PRINCESS JOY, COCONUT’S, MELISSA , MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (lovely in love with tears)
... qu’on appelait avant « l’océan d'amour Love »
ANGE (lovely artiste revolted before he will be Mimi Lion’s)
Il va bientôt pleuvoir averse...
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love revolted)
Un véritable déluge !
STACY, PRINCESS JOY, COCONUT’S, MELISSA , MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (lovely in love)
Great Pilotes... nice passengers, you have chance to be in this Plane !
ANGE (lovely artiste revolted before he will be Mimi Lion’s)
Beautiful « hôtesses de l'air » i will write a love song for you...
STACY, ANGE, PRINCESS JOY, COCONUT’S, MELISSA , MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (lovely in love singing)
… ça fly pour moi !
L’AUTEUR (lovely artiste revolted before he will be Mimi Lion’s)
On revolution !
C’était donc à Paris en 2006 quand j'ai été victime pour la seconde fois d’un emprisonnement à l’Asile (au « Centre de Luxe ») dans un grand « Park clos » au bord de la Seine pendant l’été où je saluais déjà les avions qui passaient souvent tout près du sol juste au-dessus de l’Asile, on peut le lire d’ailleurs vers la fin de mon ouvrage « flying ideas » dont j'ai terminé l'écriture là-bas (de même que sa Thèse de Sociologie) cette épreuve & aventure est donc le sujet du premier film de cette Trilogie magnifique avec « Stacey les avions » (c’était si beau) de même que j’ai dessiné toute la série magnifique de plus de 250 petits dessins de jolies femmes Noires & Africaines « Be for ever » à l'encre de mon sang (« Always for ever ») avant de m'effondrer pour tant d'années... anéanti... déraciné (gravement empoissonné) en survie extrême... mourant le cœur en sang !
… à travers les larmes rêver de s'évader... ou essayer encore de rêver !
(dreaming freedom)
(love too)
Échapper à l'injustice... (essayer de retrouver ses amours) si toutefois l'on existe encore... peut-être avec ses dernières forces faire quelques pas encore à bout de tout avec peut-être encore juste la lumière de son cœur... (flying in another world's)
L’AUTEUR (lovely artiste revolted before he will be Mimi Lion’s)
Avec l'écriture ma Thèse de Sociologie « GO!(Thesis) »
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love with hope)
« Grand Oiseau de Lumières... »
L’AUTEUR (lovely artiste revolted before he will be Mimi Lion’s)
... j'ai en tête plus de 3 000 pages !
MELISSA (so sexy pin-up)
Quand on voit rien que ce qu'il y a sur une seule page !
STACY, PRINCESS JOY, COCONUT’S, MELISSA , MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (lovely in love hopes)
Avec des dizaines de chansons d'amour...
L’AUTEUR (lovely artiste revolted before he will be Mimi Lion’s)
Et plus d’une cinquantaine d’œuvres culturelles & artistiques internationale magnifiques !
STACY, PRINCESS JOY, COCONUT’S, MELISSA , MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (lovely in love hopes)
... as our loves shining master peaces !
L’AUTEUR (lovely artiste revolted before he will be Mimi Lion’s)
D'autres « projets de mise en œuvre » comme la recherche d'infos ou de références, recherches dans « ma mémoire »
aussi pour compléter ma Thèse avec encore la synthèse
MIMINOU & BEAUTY COCONUT’S (si jolies love)
Pour « le Tome II !»
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love with hope)
« GO ! »(synthesis)
L’AUTEUR (lovely artiste revolted before he will be Mimi Lion’s)
Sans oublier le « Grand Procès » qui avance peu à peu mais déjà assurer ma survie quotidienne avec tous « les risques & menaces !»
STACY, PRINCESS JOY, COCONUT’S, MELISSA , MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (lovely in love hopes)
Stay alive !
L’AUTEUR (lovely artiste revolted before he will be Mimi Lion’s)
Essayer de penser toujours in love surtout à mes jolies Beauties & jolies Chéries...
STACY, MIMINOU & BEAUTY COCONUT’S (si jolies love with tears)
Les jolies babies...
L’AUTEUR (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
« mon » Hôtel Particulier...
STACY, PRINCESS JOY, COCONUT’S, MELISSA , MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (lovely in love hopes)
… avec « mon » music home Studio !
L’AUTEUR (lovely artiste revolted before he will be Mimi Lion’s)
Beaucoup d'autres choses encore...
STACY, MIMINOU & BEAUTY COCONUT’S (si jolies love with tears)
Qui sont confidentielles...
L’AUTEUR (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
(si je t'attrape so love Miminou...)
BEAUTY COCONUT’S (si jolie love)
… prélude
MELISSA (so sexy pin-up)
... soupir(e)s
MIMINOU & BEAUTY COCONUT’S (si jolies love)
… so love tears !
STACY, ANGE, PRINCESS JOY, COCONUT’S, MELISSA , MIMINOU & LES JOLIES BEAUTIES (lovely in love)
… de bonheur(e)
L’AUTEUR (lovely artiste revolted before he will be Mimi Lion’s)
Plus de 15 années que je n'ai pas eu de vraies vacances ! A bosser tous les jours chaque seconde
MIMINOU & BEAUTY COCONUT’S (si jolies love)
... ou presque ?
L’AUTEUR (lovely artiste before he will be Mimi Lion’s)
Mes œuvres ne sont pas « tombées du ciel !»
LES JOLIES DIVINITIES (so lovely loves flying on loves waves)
… un petit peu quand même ?
MIMI LION’S (so lovely Business man)
Now a new Movie !
« ça mouille la pluie... »
FBI – EUROPOL - KGB - Ambassades - Commission Européenne - Journalistes
Encore bien des étranges coïncidences avec des situations inacceptables que certains « pouvoirs » me font endurer à Rennes, encore des caricatures, parodies ou « antithèses » de ce que j’écris qui mettent ma vie en jeu à grands renfort de cruautés, moqueries, provocations...
© Emmanuel DIGNAT 2015 (avec ses jolies Chéries, Princess Joy & les jolies Mum’s… « elles sont Géniales ! »)
SYNOPSIS - De l'autre côté des étoiles (Movie & Jeu Dvd) french
Jolies Magic fee’s
Présente
De l’autre côté
des étoiles
Film fantastique
Paris 1992
Author
Emmanuel DIGNAT
… sur honoraires & Royalties !
(si pratique aujourd’hui de ne pas payer avec les Computers ?)
Golden Spring's Consulting - Projectives & Stratégies Culturelles Internationales - Consulting, Creation & Publishing
De l’autre côté
des étoiles !
film fantastique funny !
Synopsis
« Nuit du Matin »
(Clip Vidéo)
ELLE & LUI
La nuit s'efface sans aucun bruit
Seul le souffle du silence vient caresser nos paupières
Lourdes de sommeil
Les hôtels sont fermés
La lueur du jour perce à l'horizon
Quelques photos, des cris, des sourires
Des baisers
Doux souvenirs d'une nuit sur un fond de musique
Nous repartons dans le matin
Voiture aux phares éclairés
La route les arbres en amour
ELLE & LUI
« De l’autre côté des étoiles »
ELLE
About a « Crash-Car »
LUI
J'étais comme une balle de caoutchouc qui pour ne pas s'écraser rebondissait entre les planètes. J'allais très vite dans l'espace, tout allait très vite, je n'avais pas le temps de savoir où j'étais, je parcourais à une vitesse folle des distances infinies, j'étais une étoile filante engagée...
ELLE
... dans un ballet spatial extraordinaire
LUI
Il faisait chaud. Très chaud. Je baignais dans un lit trempé de sueur. Je n'arrivais pas à respirer, je n'en avais d'ailleurs plus besoin car je me nourrissais d'un oxygène venu d'un liquide brulant qui imbibait ma peau. Je sentais qu'une bulle gonflait à l'intérieur de mes poumons. J'avais peur...
ELLE
...la bulle devenait de plus en plus grosse
LUI
...j'entendais les fibres de sa membrane se tendre dans un bruit qui s’étirait en puissance. Je sentais qu'une force prodigieuse devait éclater mais je redoutais que la bulle craque. J'avais mal, je voulais courir et alors que je m'élançais j'ai sentis que la bulle montait hors de moi, elle était en train de me délivrer sans avoir éclatée
ELLE & LUI
Elle s'élevait lentement dans l'air
LUI
... toujours à l'intérieur de mon corps et chargée d'une puissance concentrée et inconnue. Je devenais heureux, je laissais au sol toute ma souffrance, j'entrais dans une dimension d'immensité joyeuse, j'avais atteint l'espace. Je n'avais jamais rien vu d'aussi beau. Je pouvais voir loin, avec un œil parfaitement limpide, l'envie de jouer me pris. J'ai visé une planète ronde qui me plaisait beaucoup à cause de sa lumière bleue. Je voulais me jeter dans sa brume colorée, j'avais envie de la boire. J'avais l’impression que la bulle avait épousée la forme de mon corps
ELLE
...à moins que se ne soit l'inverse
LUI
Je n'arrivais plus à détacher mon regard de cette planète bleue et je ne tenais plus en place, je voulais l'atteindre. Je me suis élancé dans l'espace et j'ai nagé dans sa direction. Je prenais de plus en plus de vitesse
ELLE
...et il se mit à rire comme un fou !
LUI
Je me rapprochais rapidement de la planète bleue qui grossissait devant moi. Je me posais aucune question, je goutais avec plaisir l'agréable bonheur qui m'imprégnait de vie. J'avais la sensation d'avoir des yeux tout autour de ma tête et je profitais de ce voyage pour découvrir les mille et une facette de l'espace, j’étais maintenant si près de ma planète...
ELLE
... que son ventre bleu couvrait tout son champ de vision
LUI
Je n'avais pas réalisé la vitesse folle qui m'emportait et j'ai été surpris quand je me suis mis à nager dans les effluves de brume bleue qui enveloppaient la planète. Mes mains faisaient tourbillonner des volutes épaisses de la brume transparente et douce...
ELLE
Ce contact sensuel le gorgeait de joie !
LUI
... je m'amusais à faire des cabrioles en riant aux éclats. J'étais comme un poisson, heureux dans ce fluide réconfortant. Je ne voulais aller nulle part ailleurs, je voulais rester ainsi à me baigner, jusqu'à l'infini des temps mais mon plaisir était sans compter sur la vitesse qui m'emportait. Je ne m'en aperçu que lorsque je vis apparaitre devant moi le sol de mousse bleue de la planète. Je réalisais que j'allais m'écraser la tête la première.
ELLE
... le « Crash ! »
LUI
Je n’eu pas le temps d’avoir peur, mon estomac s’est tassé et j’ai senti qu’une force remarquable me propulsait à nouveau dans l’espace, j’avais rebondi et j'entamais une nouvelle danse à une vitesse encore plus folle. Je prenais beaucoup de plaisir à filer ainsi...
ELLE
... aussi vite qu'une météore !
LUI
J'étais déjà sur le point de rencontrer une autre planète. J'éclatais de rire à la pensée de rebondir encore une fois. J'allais embrasser une terre rougeâtre et je valsais de plus belle, projeté dans l'immensité de l'espace comme une simple balle de caoutchouc. La vitesse ne cessait pas d'augmenter, je rebondissais dans tous les sens, de planètes en planètes. Je ne voyais maintenant plus rien, un vide inconnu s'ouvrait devant moi
ELLE
... faisant gicler des gerbes de lumière !
LUI
Je perdis peut-être connaissance, un changement de quelque chose eut lieu. Je me retrouvais blotti en fœtus à l'intérieur d'une bille. Je ressentais de temps à autres des chocs violents qui venaient frapper la coque de la bulle. Je devinais que j'étais en train de rouler sur une surface en pente. J'obéissais à une sorte de mouvement cyclique qui me faisait descendre la pente puis remonter très rapidement après un choc plus fort que les autres. Je devinais que des éclairs d'une forte lumière me frappaient le visage. J'osais entrouvrir un œil...
ELLE
... la bulle était transparente !
LUI
Je me trouvais au ras d'un sol glissant et coloré et je fonçais sur un champignon gigantesque. Je cognais sec et j'allais rebondir sur un autre champignon qui m'envoya rouler dans un trou où je pu souffler un instant. Je fus fort surpris lorsque je vis passer devant moi une autre bulle...
ELLE
...avec une personne nue recroquevillée à l'intérieur
LUI
... d'autant plus que cette personne me ressemblait, j’essayais de faire coucou mais un ressort me propulsa sur la piste glissante. En remontant je croisais l'autre bille qui redescendait. Je me retournais pour la regarder et je la vis s'engouffrer dans une caverne noire.
ELLE
Elle ne reparue pas.
LUI
Je fus très inquiet. Je me remettais à redescendre et j'allais à mon tour disparaitre dans ce gouffre terrifiant. Je redescendais de plus en plus vite et je me mis à hurler lorsque je vis se dresser devant moi une énorme pelle qui me tamponna avec une force vigoureuse avant de me faire remonter vers les champignons. Une secousse me fit dévier et j'allais cogner un mur marqué d'une étoile. Aussitôt un feu d'artifice éclata...
ELLE
...balançant des éclairs colorés dans tous les sens.
LUI
Cette grêle de lumières me propulsa dans un tube de feu qui déboucha sur une piscine. Je tombais à l'eau, ma bulle flottait, agitée par des remous, j'avais peur de manquer d'air. La bulle était percée et de l'eau commençait à entrer.
ELLE
Le niveau de l'eau montait...
LUI
...je ne pouvais rien faire pour me libérer, j'hurlais. Je vis alors fondre sur moi une main géante qui me prit délicatement. Une voix forte résonna. Les parois de la bulle se mirent à vibrer et se désintégrèrent lentement en poussière dorée. Je fus transporté dans les airs et me raccrochais à un doigt géant. Je découvrais une énorme tête, de la taille d'une montgolfière. Je pensais un instant que la bouche allait m'engloutir pour me manger mais un sourire amusé se dessina. La bouche bougea pour dire
ELLE
« Tu étais tombé dans le flipper, tu as eut bien de la chance de faire autant de points, autrement je n'aurais pas pu te sauver. Tu ne crains plus rien maintenant, tu vas pouvoir dormir... »
LUI
La main me fit redescendre et j'atterris dans un petit lit blanc, le lit était en train de rouler, je me laissais aller, confiant et bercé par le bruissement régulier des roues. Je n'avais aucune idée de l'endroit où l'on m'emmenait mais je savais qu'on s'occupait de moi et je me laissais conduire sans résister dans cette promenade incompréhensible. Je suivais machinalement des yeux une ligne pointillée de lampes blanches accrochées sur un fiI bien au delà je pouvais contempler...
ELLE & LUI
... un ciel étoilé splendide !
ELLE
« La Vision »
LUI
(my way)
ELLE
(Our way)
LUI
Tout ce dont je me rappelle est une lumière vive, d'un blanc intense aux contours jaunes, éblouissants. Cette lueur enveloppa tout mon être d'une sensation étrange de vide mais un vide plein, concentré qui m'attirait et je ressentais une forte chaleur qui ne brulait pas, le tout dans une immensité sans limite dont je ne discernais pas...
ELLE
... le chemin de l'infini !
LUI
D'où je reviens c'est magnifique et même tellement beau...
ELLE & LUI
...qu'on en revient rarement
(Paris le 6 Septembre 1987)
FBI – EUROPOL - KGB - Ambassades - Commission Européenne - Journalistes
Encore bien des étranges coïncidences avec des situations inacceptables que certains « pouvoirs » me font endurer à Rennes en France (comme il en a été à Paris auparavant), encore des caricatures, parodies ou « antithèses » de ce que j’écris qui mettent ma vie en jeu à grands renfort de cruautés, moqueries, provocations... Ou encore bien des « expérimentations » à propos de ma vie, mes richesses intérieures, essayer de m’arracher ma lumière comme ces « Bastards » m’arrachent le cœur ou se gorgent de mon sang et toujours à me dépouiller de mes œuvres & de ma fortune !
© Emmanuel DIGNAT 1987- 1992 & 2015 (avec ses jolies Chéries… « elles sont Géniales ! »)
SYNOPSIS - D'où venons-nous Coconut's ?
Emmanuel DIGNAT
MUSIC STORIES
(in Backstage)
Boop’s is a lovely magic fee !
(Avec toutes ses copines elle sait tout… ensuite elle me le dit…)
… D’où venons-nous ? Je n’en sais rien mais pour moi comme ma jolie Coconut’s nous sommes des « Martiens ! ». En vérité nous habitons un grand royaume étincelant dans l’espace (avec aussi quelques jolies Poupées de Vénus) on se promenait donc (cool cool) dans l’espace avec notre magnifique vaisseau de prestige (entre les étoiles) lorsque nous avons aperçu de loin une jolie Planète qui de loin ressemblait un peu (au Paradis) avec des idées un peu complices on s’est dit qu’il devait y avoir de l’eau pour se baigner d’amour love (à la fontaine de l’amour) j’aurais voulu envoyer une « sonde » pour voir si l’atmosphère était bien respirable lorsque soudain notre Vaisseau « tomba en panne » (de pile énergétique) si bien que je dû atterrir sur cette Planète Bleue que nous appelons « Terre », ma jolie Coconut’s se demanda même si ce n’était pas un plan (prétexte à un câlin) alors que je me demandais bien pourquoi elle n’avait pas dans son sac une pile « Solaire énergétique » de rechange pour que nous puissions repartir
Bien entendu (après l’amour dans la soute à bagages) nous découvrîmes une Planète en très mauvais état, irrespirable (peuplée de sales gueux) nous étions à Rennes en France semble-t-il où nous essayons toujours de survivre en attendant d’en repartir (pour notre plus grand bonheur)
© Emmanuel DIGNAT 2015 (avec ses jolies Chéries… « elles sont Géniales ! »)
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Copyrights Photos - All Rights Reserved
Photos de JEAN un grand ami de ED qui était prédestiné à tenir le rôle de GOLDEN BOY dans ce film magnifique d'autant qu'il devint lui même rapidement un Agent de Change virtuose sur les places boursières internationales oeuvrant alors dans une Charge financière renommée à Paris. Ces quelques photos montrent surtout le temps de leurs études en 1985 dans une grande école de management à Paris-La-Défense ou encore la fête de la musique (à Paris Saint-Germain-des-Prés) de même qu'un séjour magnifique à BATH au Royaume-Uni où l'on voit JEAN faire du cheval avec une grande aisance dans la magnifique campagne Anglaise en 1989. Il en est encore d'un bien charmant dîner chez ED à Paris Montmartre en 1991 (avec sa petite amie Philosophe). Ce synopsis de ANNABELLE écrit par ED en 1994 à Paris Thoiry était destiné au premier film de long métrage qu'il voulait réaliser après ses études de cinéma au 3IS d'autant que son ami JEAN doté d'un grand sens relationnel humain disposait de nombreuses relations & proches amis à Paris ne serait-ce que le célèbre producteur André Génovès qui lui-même aurait sans doute bien voulu couronner son impressionnante carrière (par une Palme d'Or). C'est cependant avec beaucoup de chagrin que ED retrouva son ami JEAN en l'année 2000 à Paris mais qui venait d'être bien mystérieusement victime d'un ACV assez grave. Il en sera surtout par ce synopsis magnifique de lui dire toute notre grande amitié d'autant que le rôle de GOLDEN BOY avait été écrit par ED comme un costume sur-mesure (spécialement pour la soirée de remise des Palmes d'Or à Cannes) ou encore des Oscars aux USA (ma chère)
Un Auteur (& un scénario) avec un Acteur (ou une Actrice) & un Producteur (c'est bien souvent comme ça qu'un grand film commence...)
Page Web en cours de mise en forme & d'encrage (merci de votre patience)
Hi ! Don't you feel the wind... as a love dream surfing on our hearts ?
Cinq, sisse, sept,
houite, neuf !
ED le Mimi Lion's
NOTA (à Toutatis)
Nous sommes vraiment désolés de ne pouvoir finaliser la mise en forme des magnifiques scénario de ED (le Mimi Lion's) en raison des très rudes conditions de survie qu'il doit encore endurer dans cette sale ville maudite de Rennes en France dans l'attente de la levée de cette curatelle assassine qui lui tue la vie chaque jour comme depuis plus de 10 années de ce déracinement en exil meurtrier des plus révoltants de cruauté. Il vient à nouveau d'adresser le 14 Novembre 2017 un tout dernier courrier au Tribunal d'Instance qui précise bien tous les arguments nécessaires en faveur de la levée immédiate de cette curatelle criminelle & politique des plus monstrueuses. Il n'en sera plus d'aucun délai au risque d'une catastrophe historique qui nous l'espérons ne lui en coûtera pas la vie alors qu'il est toujours victime des graves menaces de ces ignobles violeurs sadiques & pilleurs de fortune qu'il conviendrait même d'abattre à vue (merci bien)
LES JOLIES CHERIES (Singing with Mimi Lion’s)
En Suisse !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
... voilà bien l’exemple d’une bonne idée (à 500 000 $) pour un film de cinéma, négociable à Los Angeles !
LA PETITE CHERIE (Who love Walt Disney Cartoon)
« Hollywood ! »
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Ou bien New-York !
LES JOLIES CHERIES (Singing with Mimi Lion’s)
La belle pomme !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
... ou bien encore à Paris si l’on a des relations
COCONUT’S (Si jolie)
Sous le manteau !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
... voilà chérie pour les quelques notes en retard
COCONUT’S (Si jolie)
En attendant la symphonie
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Je n’ai pas le temps non plus de me rappeler de tous mes Speech tout au long de ces semaines à préparer les nouvelles éditions
de mes books... dans la soirée j’ai préparé mon dossier de demande d’aide juridictionnelle pour la Cour de Cassation avec toutes
les pièces que j’ai demandé pour compléter...
COCONUT’S & LES JOLIES CHERIES (Si jolies loves)
(le tout)
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
L’ambiance était si « hard » ce matin après la nuit de dimanche sous la menace de l’acier que j’ai mis aussitôt la petite Chérie dans l’avion...
COCONUT’S (Si jolie)
Sous protection de ses Bodyguards !
MIMI LION’S (so lovely singer, telling his version of the story)
Pour filer tout de suite...
LA PETITE CHERIE (in tears in the plane)
« out of francia la Puta ! "
TESTIMONY (Mardi 28 Avril 2015)
Le ras-le-bol continue... je suis très éprouvé... une telle maltraitance à mon égard, je poursuis la rédaction de « Mes Volontés » (Contrats, récompenses, gratitudes, investissements & testament) de même que je mets à jour ma plainte pour le Grand Procès des...
« Voleurs, violeurs & Killer de Dreams 707 !»
... encore des vagues de dizaines de millions d’euros !
(but never in our pockets ! )
FBI – EUROPOL - KGB
Encore bien des étranges coïncidences avec des situations inacceptables que certains « pouvoirs » me font endurer à Rennes, encore des caricatures ou « antithèse » de ce que j’écris qui mettent ma vie en jeu à grands renfort de cruauté, moqueries, provocations...
© Emmanuel DIGNAT 2015 (avec ses jolies Chéries… « elles sont Géniales ! »)
Hey bonhomme ! Ma Biche c'est
"bas les pattes !"
Les Chouquettes au sucre !
C'est un As mon Robbi !
... En attendant on va pas pleurer misère !
... T'es géniale Boop's !
Bastards !
Mimi Lion's is really the best !
Probably you will discover some other beautiful e-girls in this so mysterious movie on the air of innocence...
At the sunset
in Mimi Lion's house
Hi Pupee… it’s the game !
It's me Pupee
(« This bastard begin to make me nervous ! »)
E-Girls - Dance with me
This is a secret love song for Mimi Lion's the best screenwritter in the world !
She is so funny filigree !
The end or the BEGINING !
C'est moi le Martien !
Et moi je roule en Jaguar !